connu les rapports de son poisson avec le sparus spinus
de Linné, mais nous verrons plus loin qu’il ne peut
cependant? être de la même espèfcé. Les pêcheürs de cette
côte le lui ont donné sous lé nom de Worahwdh', il ne
nous apprend rien sur. les moeurs dq .çêtte espeçq.
Z /A mPHACA^ÉHE DÉ R ü SSEL. i
(Amphmàntlws Hussein, in6b.j Wordhtofahï Russ., io3.)
Gq même, zoologiste a donnera la suite de spn premier
Worahwah un second amphacanthe, que les pêcheurs de
Yizagapatam confondent' avec ,1e précèdent, jet qui nous
paraît, çqmmp.à lui, ^eqpir qn ôtre distingué^ f
Le corps est plus haut et plus côüsrtrqué celui de notre ampha-
canthe-’faéranais, la ligne du profil monte moins obliquement,; ce
qui rend le museau plus obtus. La peau,, ^cppàce, : sans aucune
écaille visible, sélon Russel, est d’uné^cÔM&r blanche, rembrunie
sur la poitrine et-le ventre, noupé, marBrée^'oe noirâtre sur
le reste du corps, et rayée afejàùnâtre* rembruni.
Voici lesmombres comptés par M. Russe!, mais éÔrïts^sufvant
• notre-méthode.
B. & J D. ! ifh ^ A : 1/9 ; ÊJ-20 ; P. 11; v j f c .- . ’
L’individu était long, de sept pouces anglais.
L ’A mPHACASïTHE MARBRÉ,;.;
(Amphacanthus marmofatüs, nôbi}pfi|
MM. Quoy ; et» Gaimard ont rapporte J’archipel des
Mariannes une autre espèce d’une grande beauté, que npus
avons nommée amphacanthus marmoratus. Us l’ontdégnte
et représentée sous èé nom dans la'Zoologie du Voyage
de Freycinet, p.,'367 e.t pl. 62, fig. 1 et 2, et on en trouve
une seconde figure dans le Dictionnaire classique d’histoire
naturelle.
■ Sa forme’ générale est/ oblongue. Sa hauteur est trois fois dans
sa longueur, et/sa tête, .aussi haute que longue, y est cinq fois.
Sa- caudale, quand on l’etale-, ;,est presque tronquée; elle ale museau
■ légèrçpié^t .çqipt, ço^eçe, et élargi entre les yeux par la saillie
I antérieurs. d S e s .prbî^es. Entre les veux régnent trois
arêtes, ddùt les peux latérales se "rapprochent en avant; son er$ne
est yjdé, et cb|igriné‘:.^ s opércuïélet ses préopercules striés ; les
épinfes de)W dorsale èt dëVoh ’anale sofit fortes.
. d . ïSi
Tout Ion corps® est d’un bleu 'clair| Jsëk chan géant en blanc sur
le centre, èt presque entièrement couvert de lignes violettes plus
‘larges fjl&fèiffS int^^hè^r,Gçfesï dfs floues sop| à peu'près longitudinales;
m a i^W sg u dos forment diyerscontQurs et labyrinthes,
- et.que^ques anneaux mfégùnërs‘.,'Cêtt^ egalement répartie
fait payait^e jJg^Oîttf coupue urie* espèce ’de jpaarhyurç. On voit quelques
. nÉb^siççs^suri les nageoires, ; le^ .pectorales sont d’un gris
launatm upiforme,
L’indpidjUj|st long de d pouces. ‘
.xeC’I Ç npAèipqçes à laquelle ; ou puisse rap-
V^ $ e£\î,<r sparus spinus d’Psbqck1, qui, presque tpus les,
cpr^ct.èrès.ides amphac^nthqs^e^ qui dq plps ay^t^ suiblaqq
et les côtés teintés
de lignes ..tor^pqusqs. bleuqs ( lituris coeruleis répandis
v^jd%,pictMs'),- y
Mai&til -faut bien se garder d’y joindre le poisson de
Lcefling, dont Linnæus fait un des^synonymes de ce spinus,
M] ne ’fût-cë qü*à 'cause $$ éis trofe épines anales,
W S/parits spinus, Lin.|iîè( spiàrë ééerènfi«, 3Eàcéps
2. Oÿbeck, <éd. isuéd., ps'2j3;; aliéna.; pPÊES^.