'd’A'M'rot^andëJ,(i ia*)f dë Willugbbÿ {S. i 6) , ’de Duhamel
fsèct. Yjpl. i ) 1 *, de^Penuapt (juif ipM) et de Bloch (pl. 4 i)f
^ ^ p t e nq'd^e^iff|fc®és d'edMsphcé de la dû\’ée commune
nofe^,^njb|ent être bien fia^'mais nous en avons reçu de
la jyiçjiifnr^ia^^jd a^reg .individus, qu’il rious parait impossible
$$ ’iseftfg'jsegardei» homme d’une^spèfçn différente.
I^ e ÿ r o i r e f djl corwÿ sont fés mêmes ■ mais les àiguil-
' lotis d’orsa^y*MntjÊeâncioup pîiià /grbS‘Jlè$?épines
1 de cinq
: J où de'îsixj^&s^i^e^^çèMsës-qai portètii lâbeuxïèmé, & troisième
et' rn.ême la'‘qtiàiTiiètii'él;|sp^t?de,fig|^K"ë^nssoiiF,,oVales 'et bombés,
bien autrement forts que dans la dorée commune j «enfin, gj,çe)qui
.„, gsçje,plusjcetnamn^ble^ Ikisaçapulairei au lipu d’êfreplat et terminé
'eu une.iapl itfoéni ii&.compie^qkii-i l’espèce ordinaire, forme pp^ros
aiguumpiumd, tres-pointu'a loti' o/litffrSgtp’,’ ' et portant à sa base
uÉrf: amr^, éjn^e^'tlm^ramOTiyhmalemetït ’ferarîe*pdte/*Iplâtie,
i3 tranèbmte^â‘5ai Ipfp^mlnïé un poignard: La poitité Jqtié' f$6 s hu-
■ méral dbatiWati^d^siM^di Mpe'êto’ràlë £ ésK’àus^i tforte et plus
t dans|$at plupartod'g&rsüjets^dl Fespèce commune. Les
nomijnfesijgont les mêmes 'fjyràiPSn pj£s/> '
P. 10 --■■2%fA.; 4 - r i§ ^ ïC i'l? |,^ > ; .
'f|ges -çaractèfi^Siiae tiennent pejup au|?exe, car biridiVidji dont nous
. les ,a^rtsia k és^.^Puni,e ^e,nielle, que^oUs .avons comparée à des
lfe,femefies d&^s^c^^ym^ire de la même taiHe, N.qps nous sommes
assmal en jçra|çe quelles mâles de l’espèce commune ne sont
pas plus- fortement a ® ® » : quéÿësnemefîèsr "*
;TT Cep^issbria été rapporte des,eaux dedia'jCorse par M. Peraudeau.
. Sa longueur 'èstFdfe dix,-sept p outils'•' sa *èeiiïÉe paraît d’un brun
* nbirâ't¥€»fél?'îlj||^n^y> (voit point de^adbîet mais 'c’est peut-être une
altémfiony dub^ài son#<séj;®àr dans la - liqueur , bien qu’elle ne soit
1. Celles çle Sal|iaîii et' de’ Duhamel représentent cependant les deux dorsales
comme réunies ; mais c’est évidemment une inadvertance.