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bie il placée, et même dès: èe temps^là {en r8o3) l’auteur
aurait pu avoir la preuve de la fidélité de l’artiste* chinois ;
car ,1e même poisson, avait-.etc„envoyé de Tranquebar à
Blùch, et il en avait laissé la figure la description, q u i
ont paru en i8oi.d.ans son Système posthume,1 sous le nom
de zeus, maculatus.'
■ Russel l’a donné: la même année'que M. de Lacépédh-,
sous le nom d'ambata-kuttee, qu’il porte- à Yizagapatam.5
1 Nous lavons reçu dgsséché de Pondichlfÿ'en 18 14 par
M. Sonneratpet MM. Ruhl et:Yan Hasselt en ont-envoyé^
de Java dans la liqueur au,cabinet de Leyde,en. 1824»
en sorte que. rién /ne manque mainténarit à sèn authenticité,
et que nous sommes en état d’en donner la description
la plus détaillée.
Le Mené Anne-Caroline,
. (Lacép., t.V , pl. p | %. 2 , p.‘4 7 ©4 ^
(Mene macidata, nob.; %çùs ‘macüldius- • Bl. Sdhir£§ 'pag. 95 ,
pl. 2 2 ; Arnbata-kuttee, Russ.)
Il tient en partie de l’equula ‘ihmuiatrix et* en partie
de ces espèces à ventre tr'ânchant,1 de ces gais, de rajjMtâgy--
réioses, de .ces vomers que nous avonsjjeirits plus^haut 5
mais àu total ’^R t de l’equula qu’il lu rapproçfle. le plus,
Son trait le plus frappant^^est d’avoir: la ligne dm.dos; presque
droite; et celle dp ventre au-jcçntraire d’une^pf|ffi:pté plus grande
que celle d’un demi-cercle, en sonite.que c’esf a la saiîlie de sop
ventre que tient sa grande hauteur verticale. Cette courbe inférieure,
- est' en même temps très-tranchante, et elle est soutenue dans sa
1. Pl. i4 , %• 2 , et p. 479 et 48o. — 2. Russel, Poissons de Yizagapatam,
fy I , jp. 4? pt p l. n.° Ço... I
CHAF«. X«XII. MÉM$Ï ï ’t
partie ' amtérieure^par les;jqss»huméraux et. par ceux du bassin , et
-dansfja’ postériejùfiê-par&lɧinterépineux inférieurs, de la queue. •
t, Lîovale'duréo^sv sansSompte'rtla petite queue ni la caudale, est
dîun~cinquièmè plu^Jopglet huiuffis ndoin,V,épps qu’il u’est haut;
lajHigne.supérieht e, |st '.un akèti jxèè-sUrbaissé ; la ligne inférieur^ se
compose dé,deuxSâribs^anïédeurl, moins Jonghet moins convexe,
lidqsceiidi de lathOu(^e;,au^^^^alês^flaîpostéri.eur Vemonte des ventrales^
a la pcTrtâon dé; qneuej q^i|r!i^^d&^ÿi^r^e|i^h^geqir.es et qui
pestlfort .coürteTgoeOTèi'sâàf^EjuRs Ieisei^ènae^p^jila,! longueur totale,
Uouj; jéamprjs. lËa^AVp^lf^vt'ïon latérale, d%l| tête est presque
rQndfe;çs& hauteur qpli'itdWpèh«deeh’ose saijdngueur,
qu^ jest-de, quÀ^Sh; ladppgmeuR/toÂale./'L^oeâ|est( presque|,ap milieu
•de-iÇ^cçHl'è,' un pey&ÿu-djfi^ji cépRndjmt^ j|
Le 'museau^'dahsf4(état dé r f p f | ^ ^ très-cOurt et? comme tronqué
par &ffiedig^e^|ë^i^Æ^ larfen^de lâ||^uehe petite; descendant
obli^quemeri^e^açrÆçrc;elé; maxillaife, large dans le haut et dans
U&^s^ësfc a»r^^|>à^^t3^^erhi^r^extréi*itéposition, quand
Ja bouche? ^f»-f^iéej^^ | r fe ^ ^ ^Eticâlè ; un, s@us-ôrhi taire m é-
le bord iai^éd^uB;’ è|t, dëfa^ptyïul^irg, en«. couvre à
peinedehqrd.pôst^iftur^a^üâftiiJyRërinfédèure rûoi^e alors-presfquè (
bverti^lenfènt-.-'Lbut l ’appareil maxillaire pslgpçotraçtife dans sa plus
grap^èXM^on; il augmente dit double.en dimension longitudinale.
,çhaq,i|e jmâc^pire a un ê j|in^,é^orRjéMâlfe de dents en velours
rasy outrée p^tit voile ordinaiitig^râèmfedenls de la mâchoire
supérieure,^i|^y5 ênça^p^hs«épais},et^b^||e^ âf^/endu h J ’extré-
m^gt antérieure du La langue jpstd’fpjr^ hbrsé^ oblongne,
assez pointu^il>y a^e ^fapRfeté .lé-Jongtdè^-saUigtre moyenne. Le
pr^bpprculojâ son limbejl^g^felâssiç. L ’opercule est deüx fois et
demie aussi haut que largejfAonÿhord est Arrondi et entier, et semblable
a ij^glüi. ,digs,.tr~oi^, autrfes^pièces opeRQulgnses.? L’orifice f des
.ouïes.est.fendu jusque sous l’andade la mâchoire, inférieure; leur
membrane,- étroite-,et entièrementv^cquveçte^par l’appareil oper-
Uèùlaire,' a-sept’. ïayxffîsÿ' le, KoSp interne du premier arceau des
branchies^; dkssfez langues* pêctihatibas, les autres n’ont que des
«tubercules âpres.