faite seulement d après la figure ; aussi ses indicâtionsr dfe
nombres sont-elles fort mexa.cteé.11i
MM. Pley, Garnot et Achard nous- ont envo^^cU* la
Martinique et de PontpÿBico respl|éoiier/ Plurn;ieB, * qu’il
nous a ^té aisé de reconnaître àÿx traits .dont ses'flifnds
sont marqués,:M. Desmarpst nQu|-,en a-donné un qùi lj l
avàit été;, envoyé-de Cuba, et nous en avons aussi uii du
Brésil.
Son corps est ovale et comprimé ; -sans ^ c a u d a l e i<Ta)hauteur
serait deux fois dans, sa longueur; la,caudale^st encore des- deux
tiers de la hauteur. L’épaisseur..du‘corps n’en Ifaitvgue lej -tiers; 4
parnr de la nuque , le profil id ^ c e u d ^ o b l^ q u e ^ ^ ïiïais; fassez
. ,bou^ f ’ en faisant ü^e’^ ^K c o f tv b S e à 'la 'h 5 J
teur de l’oeil. A compter de la' nuque à l’a b o /M jT k f f S u l u r
du p ro fl est de près' du tiers de la ldnguliir topî^; l’oeil
près de ceWe ligne et au tiers supérieur de ’sa'hauteur5, 'en‘ks®rte
que sa distance à la bcmcb&^lj€pft/grandé. La » É f e à même’est
très-petite, et, le bord inférieurjle Fopereufejétant-ïaùssitt-rès'-cou-rt,
son bord mojntarit est j>lac;é :fort^obM.qjuemént .rpVesgnè parajljèi&àu
profil, et deux fpis plus long, que, le
il fait un angle obtus qui e stp n peu arrondi, L’opereqle est plus
de trois fois plus haut que’ fong.,'efi f i p q ^ C t ê t e é ttïg ê est
très^haute et très-coüiTe; sa -hauteiir^domprend sa longueur une
fois et demie : quoique comprimée, ,ga partie ,^ iré n% V n ’est'pas
tranchante, mais arrondie. Le limbe deypréoperculé est strié’sur sa
longueur; l’operculed’est enrayofis, dont l e % e n t r d e s ^ ® S r't
supérieur ^il,y a aussi des stries "sur lliumérd au-dessus de la pect
i n e ; ce qui paraît du scapplairç egtjfisse. , / / - *
Le diamètre de l’oeil est du quart de la hautepr d elà tête; les
1, II Jes donne ainsi: 1_
D.14/lf/A: 3/17'; C. 16; P. 16) V.-1/5.
ÎIous trouvons sur .un grand nombre.d’individus :|f .
P, $j ». 9/23; A. 3 / |2 |^ Î6y||, 3 | I Jg{
orifices de la narine sont très-près de son bord , le postérieur, qui
estjpef.plus1,, petit, le touche’ presque; l ’antérieur est à une petite
„distancé; ettlégèjîèmeiit .rebordé. La bouche est peu oti point pro-
âractile', garnie^ <Je lèvresj membraneuses minces/ qui ne couvrent
Spas les dents,; celles-ci, disposées,?sur une seule rangée, sont tranchantes,
<ab'Lqngues\ arropdie^ au bout et finement dentelées en
jKcie leur pourtour, : j’en igonapte; douze .ou quatorze à la mâchoire
^mpérieure&jet enÿjLrp'n vingt à l’inféÿieure., '
• . L’<M§èjh’gs.t; fendue que da#s la-hauteur : de l'opercule , et finit
visî^ji - visi I^glè4/4utî.pr4©per eule;; .la < membrane est très-petite et
s’uôit &(un isthme,îtr/sdarge ; elle n’a que- cinq rayons courts et
surtout le çinqsdème sont .même tellement
oapJiésJda!Ëi..Sfles chairs de l’isthme-, qu’on ne petit les déeou-
wijI.Mu^isgçstiqn.
; .jLa ,pdpt©rfiè^j%^QWe,«d.eKiisQyalej .est attachée au tiers inférieur
•de là hàujteu.r)> .èlle,- es^quatre' dois, et-un-quart dans la longueur
f^taje^èl go,napte^qj%nzè_rayons;.sç>.n pisselle-n’a rien de remarquable.
* Irpes Vêtit raies sortent unt pe,u plus en arrière que les pectorales;
mais leur pointe ne- dépasse pas là leur. La forme de ces nageoires
test un peû’ prôlon^ee^Kami; totis leurs ràybnl sotil très-raides, à
leur'basé; l ’externe 'seulfjêst'épineux*: il est du tiers plus éoùrt que
le ‘ premier moü. L’interne? n’adhèrë- au corps1 que par une mem-
Ihrapë^tr^cèu^'te. H
La dorsalepotiimence au-déssusl de l’orifice des ouïes, et règne
sur la plus grande partie dur.d'os,- gardant en hauteur un peu plus
du quartîtde '„^elléidu ; Gprps.p’sês épines "sont au nombre de neuf,
-dont ; la .première très-courte,, et ses rayons mous de vingt-trois et
quelquefois.de vingt-quatre,.,de vingt-cinq ou même de vingt-six;
on me voit-point, extérieurement’d’épine couchée ati-devant de sa
basé, poutine dans les amphacantlies, bien qu’il y en ait une petite
dans le. .squelette, L’ânalé commencé sous: le milieu du corps et se
conformé du reste à la dorsale pour la hauteur, l’égalité et la
terminaison ; elle a trois épines, dont la première est. courte et
presque cachée, et vingt-deux rayons mous. Un ruban de petites
écaillés, séparé de celles du corps par un sillon, marche le long