Bissent ainsi un mets des,plus délicats, vendu publiquement
daUS*4lif%ües de§5ïvilles maritimes de '
d’Italie^ s#tiS le iîbrii dë
Les Provençaux et Ips Italiens ,donnent aussi' cefnom
de nonnat, notifiât eXi'nonnata, aUx petits poissons eux-
mêmes, et quelques naturalistes' croient qu’ils appartiennent
Jl| n p p e f i pâr ticulifere^’tri
Ainsi M. ? RiSSd ën<, décrit un qu’il appelle dtkerinçi
minuta, e t lui; attribué ^
un corps transparent tacheté de rouge, une caudale poi ntue, -é* J^8''
ï norbbreli1 * d&i'^^oïÊFStfivêtosp <|ïii s^âlfisét’s dui #Uins>ipUul?''les
nageoiee^ pairéSy!forï extraordinaires.
É i
. C’est, a jo u te -t-il, le p lq s spetit^ppisé3ia
Le même naturaliste r en.nomme' jun . autre afherina
marmorata^ t s|ui donne
u n corps- demi-transparent, nacré #) trayersé, Ide, plusieurs lignes; ïde
points noirâtres, marbré ‘de- taches orangées et de pointérnoirs,
unç caudale ronde, .et des nqu^res qui.;süivænt : a
D.é_ 9\ i r «iÇotzî p.‘
Cette‘ espèce, d it-il, parvientà sixceritimètresde longueur
^Wurf peu plus de deux pouceETp*
Ôn la désigne à Nice sous le nomade poutina,-qüi se
donne aussi aui pêtiteg?ifediriës*.V
M. Rafin^que a un nonnat bien (différent de celui de
M. Ris soij qu’il nomme atJierina nurinatdI, e tq u ’il dit *
transparent, long à peine „d’un poiiçe, et auquel J^^âàmpte ||jx
rayons à la première doretïeyet vingt-quatre à la seconde.; ainsi
' qü'â _ rkaMe.’f ■;
i. Lac. -TOfey rpa éér '^ ’*Sir # !Hàe'patte '|>oint'i iéi te’iWfarwi' «yé^étrMr-IUfU
pesque, qui, n’ayant qu’une d0jral#, est,:,sauç cputredit, d’un autre genre,
GeSt difféwntes3 indications' nous* ayant paru peu satis-
lâisantes, nous avons cherché b nous -procurer debcèS
petits po.kspfis. ]Vy$a$igny.jet;,.M.. Bopnelli nous ont fait
a.vpigile npnnat ,e,trle poulina de Nice y et JM. Banon nous
a en’UOÿWcIesKfloni'/MBÈs» de loulon^ mais# nous n y avons
pas trouvé;-les mêmçs nombres de, rayons que M/ Risso z
ndùs aVCMs^ compté ^ n s^ lê «UonnàltQuatorze rayôns à
l’aùafèret^PéS auttèSh'ombresv,ébmme dans notre atherlne
jo’el/, j$t dans, lé' ^od?zAa,^Oommé :dâns notre 'sâuclet. Il
nous ^Jbait donc- bien difficile d§ ne sîp[;re' ce
sqpt v.dçs jeq^f^iudividusj de ç^p^q^l£ »
Nous n’avons rieri^bservé dans nos,1 mers d Europe
qui;, ressemblât à Yatheririci nunnptci 8,e^|M. Rafiriesque, et
Yatherina moenidîa dës'feats-ünis, dont nous parlerons
plus b alite St lhfSeulê^sf&cë^où Ton; obsède un'nombre
âusli^cbnsidéraîiïd 'râ'ÿbW'à l’aitale.
Au surplus, il y'apdes^nonnats‘ddplùs^ieurs^autres gois-
sonW^t 'leü ileiaïande nqjqs <|n^a ^ap g 9 |t|.tae Marseille
qpi |u';,commseat^lg ..petits gqbies,. jNous^ng* gommes pas
éloignés defcroirê*qm$Yatfrefina marmorata’ de M. Risso,
quidaur-ait huit' rayons; aux vehtral<É!^es'tiain nonnat de-
; gobie et non pas |d’athétiné. • J
L ’Athérixe P>ê4 i(e , P ri&r 'vulgairement
R osI reL om R osere, de 9 votes de VOcéan.
^liljkherina *pres]?jrtef^ .nob.)
L’athérine de' noncotés! dé l’O^ëa® ne ressemble entiè^-
la? ïM^dîiteiraéée^S moins
alonsgée ’que le sauelet, plus grande tête plus :grbssé- qüe
le moehôn’, elle, a le mpseaü moins 'tacGourci que le joël*