' dequatre fois celle de la tête ; viennent ensuite sept antres rayons,
plus forts, libres presque jusqu’à leur base, et dont,le premier est
eneoré d’u» quart plus élevé, que le premier panache. Les suivans
diminuent jusqu’au septième, qui n’a plus que moitié de la hauteur
de la tête : tous les sept ont leur extrémité dilatée par une
membrane. La dorsale se joint à ces rayons et se continue tout le
i long du dos, sur une hauteur moyenne à peu près des la’ moitié
l de celle du cotpsr Le nombre de ses rayons, jusqu’au1-dessus f de
l’anus,i«st de ?quatreTvingt-dix , sans, compter eeux des deux
panaches ; mais nous ne pouvons dire avec certitude ce qu’il est
au-delà de l’anus, parce que non-seulement il est difficile d’avoir
cette partie entière dans dés poissons qui se rompent entre féi
mains de Geûx qui les prennent, màisicjSéSréparce que ces poissons
sont sujets à perdre dans la mer'"même une partie plus ou
moins considérable-de leur queue, sans cesser dé livre.
" Notre individu le plus entier, long de huit pieds trois
poncés, .
qui semble avoir le bout de sa queue bien conservé quant à sa
longueur, et y montre même cinq où 'six'très-petite iiîéts, (jue
l’on pourrait regarder comme des vestiges de rayüns de caiwale,
a là partie dorsale entamée et rongée, mais cependant cicatrisée
su# huit pOUçês dé'longueur.
En caïcul^m et èp jügéànt par les interépineux çe qü’il péut
r - y avoir eu de' rayons dans cet espace, le nombre total doit avoir
été trës-approchâtit de trois'çént qukrânt^ tops simples.
B. S; D. 340; A. 0y.|C. - ...; P. 14; ,V. l.
Je ne puis rien dire de certain sur la caudale pmais
d ’après l’examen que j’ai fait de fextrérnité de la queue
dans trois individus, je doute quelle ait éïë aussi grande
que celle des trachyptères. figure donnée par M. Kîsso
dans shsSeëqtiipe édition, t.,IÏI, n.6 43, montre une caudale
relevée et élargie cpmihe «elle des trachyptères. Mais qirelle
çpnfiapCQij^ut-on'aefeordeî»|à une figqfe où tout le ;reste
du pops on a l’air d e)tr.e;>le;produit de’rimagination ou de
}a mémoire, du peintre! b
Il lui attribue 'dans le texte une .çaudaie; rougeâtre de
douze jrayoais-ji^ns indiquer (toutefois la grandeur de cette
aux ventrales, doét le premier, seul allongé, ferait leifilét.
:Les autres nombres sbnt d’ailleurs tfellemqnt différens, qu’il
‘noué’ parait 'èteltain que M. Rjssô a >ttiès-mal compté ou
qu^»in^^ïvîdy. é'tfit encore plus mutilé que fbs nôtres.
Voica Jes^nombres domiqs^j|^bbe ’naturaliste :
m g ^ .j2 4 6 j A, Q*,C. '12 ; jp.<11 ;fV..4| « ;
vLa péati dev ce* yméscm* test garnie de petites verrues osséfeSes,
* lisses, hémisphérique^, qui," verS l'e tranchant dit y entre, deviennent
un -p;ém^côniqifeï.^p^xvërméS’ n’y 'Sont pas 'réparties également,
' 'éïleS'%l|âbïetit dïsjîo^es :sùr 'dés' bandes/l’origiiudinales^ rétrécies
! ‘ et'fé®î^es d'espace11® “espace, êt sépareeS par des intérvàlleMplps
*"* lisses.'1
La ligne latérale ésjt un peff^^deSsons'dfa tiers infériêfuï^ïfe la
aü^aâutéuf, âxi^télm ’àVatilySm' elle /remémte J)ôu#%bpÉftiy^ebmme
^^^fô^mâîrel- àu. hàpt ‘01’ Poplrctilei C’èsfurie ligné îégëraétent
riffl$ée^otitinue^ lfese, 'ét qtfrn’a aucune de'eeé lêpïnes qui arment
î! celles des iraChypières. Tomsoti corps Brille,d’un vif éclat d’argent,
et est ^Jçyrïié dé m'éfnchetures^^rdâ&esf chatoyantes comirïè de
l’opale jffiispôsee^eh ’quifeonce peu’ rérgûlier 'et1 de martière qu’il
SmmM à 'Sept ou huit 'Sur uiré? li'gnë Verhcade; les nageoires et les
"'Pïtikclie® lônt dun’ beau vif.
Nous avons délit qit que l’individu le plus' complet,
sur lequel, cêtte désmptîgn faite^ ésblôn^ de, huit
pi^ds trois po-V^b^Np^s en $vqbs deux autres,, moins
.entiers, qui, d’apres, .lés ^ rtie s . que, nous en possédons,
dévident avoir au mqitis n*eÉf pieds six pouces j ils ont été