OBSERVATEURS.
PIEDS
D o rn a jo , la plus h au te sommité ca lcaire d u c o n tre fo rt
d e la S ie rra N evada, e n tre les vallées d u Xenil et
d u M o n â c h il.................................; ...................................
P rem iers chalets au re v e rs su d d u P o rt d e Vacares ,
f* au lieu d it Ha lo d e G u a lch o s. .....................
Boissieu. 65o7
; 7 4 7 1
T re v e le z , h au t d u v illa g e......................... 5oo4
P en o n d e S a n -F ra n c is c o , S ie rra N e v ad a .................... 7 9 4 °
Caverne de P a n d e r o n ..............................
Pâturage s d es Borreguils d e D y la r, p a rtie su p é rie u re .
Col d e V e le ta , au su d d e la p o in te d e ce n om . . —
9 7 9 °
- 10 1 6 0
iPicacho d e V e le ta , d e u x o b s e rv a tio n s .............
Le même d ’a p r è s .......... .. . Clemenle, dan s les Paseos
d e G ranada .
Clemente lui-même, dans
sqii ou v rag e va r ied.
d e la V i d ., p . 1 6 , mesu
re trig o n om étriq u e.
Boissier.
9 4 7 2
1 0 7 2 8
10 7 2 2
Mulahacen, u n e seule o b se rv a tio n . . : . . .
10 8 2 3
1 0 9 8 0
n ad a .
Clemente, m e su re b a ro métriq
u e e t trigonomé-,
triq u e c ité e dan s B ru -
gnière
1 0 9 9 0
10 9 3 8
1 1 8 2
5 8 i8
Sie rra d e G a d o r, Sommité......................................... | __
Clemente, m e su re trig o n
om étriq u e citée p a r
B ruguière .
Clemente cité p a r Bruguière.
Sie rra d e L i i ja r ..................
6 1 6 8
j 588o
9486
2 4 6 6
455 4
588o
Le tableau qui accompagne mon Atlas de planches est destiné à représenter
d’une manière synoptique quelques-unes de ces altitudes, les diverses zones de
végétation que j ’ai décrites et les limites d’un certain nombre de plantes.
C’est une coupe purement idéale, et dans laquelle il ne faut chercher ni les
formes des montagnes, ni même leurs relations géographiques. J’eusse désiré
donner à ce tableau plus d’intérêt, en y représentant pittoresquement les diverses
masses de végétation; mais j ’ai du. reculer devant des difficultés qui
n’eussent pu être surmontées que par un artiste qui aurait vu lui-même les
lieux. D’ailleurs, une telle représentation, possible pour une montagne isolée,
ainsi que M. Martins l’a fait pour le mont Ventoux, ne le serait peut-être pas
pour un cadre plus étendu, embrassant plusieurs chaînes différentes. Parmi
les espèces dont j ’ai donné les limites, j ’ai du choisir les plus caractéristiques,
soit par leur abondance et la physionomie qu’elles donnent à telle ou telle
région, soit par la fixité plus marquée de leur station. J’y ,ai soigneusement
mentionné aussi les plantes cultivées les plus importantes.
FIN.