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apoar la 1 Ayçicuhuié.-lllffâto^WjJîfl.3^ra^efla d“^ îlï en lefuléî
'Âommage , en difaat ave e fes, eiineräis què ic’é/? ta nvenyïon renouvellee des' G m ', '&.C.
r3fc talion- bien 'q t !w 4 rn à ly^ l^ B Ï Ïb iîn 8 ^ ^M 0 > f t i>'preâëG.çlïeïfrsÇi.'ël tt^jbelle^Kfetéî lût
•iloufcufo» a\ ajjfcjlïti'ÿitj'uilqu clLNàt o* pW 1 illi/ftra T t urinstori,
^^mmBaKutgPdiniÇÙritlbuv ix^âî.f?xprès^^Bljsîflêars, par -Pontédau l'un d„s plus haljijgs
■ Botanifte M ' d î î l f c ^ J a i s p jjfe jÿ tig a jc 'L i& ô é î& Ô fe :^ à .:^ ^ te ^ t é ^ â ?  ,
h o . tte belle #décbuvi rtc pour1' en fai fçftiiàeqffi- rkodr ‘ 'a! t ƒ ^ sM^l^jKL J dl ul -r 1- -'Bla i t s , aufli
jioLffiiguio.quçymty, en! pfeiiatit J a t parrit^]®fenuaUes^^aiirucJvfic acio'n ay lièutdjjjGaJl§|_
& de dg h lit ub?SC ell
ce qui a donné lieu à cet enthoufiafine de Royen, qui s’écrie «’lqut.flüäB<L''is ^èÆ,^>rç^âlp&tLl
ja fiir cette pierre angulaire, fera dune éternelle durée ».1
,->■ < « S i quid liaient veri ,.yaxiis .ptiefrcgta p Flora..
■ i. ci ^ tm â d v fu ;^ fln tam vw i met hoecce domus ». É-
Lee j9eurs^pr ^ a a htajfedfoûlfs‘*'K’*prodliction^cffi Amt1
indilpenfäblemeiit nécefllirès pour le concours d s lèse s ,,-Linné s’elt lèrvi des tutiixcjffim.;
tpafiict mâi&i ■ & il ’a implïné'HL'ùrclioirofl','' lc\u ~qrrîd®i^j qtuT*réuiuon, iLut^luffijStr,
leur occultation pour diftribuf r toutes les pl intes çonnues/éiS. vipgtypuuiïe- C •[& ' 1 ii efi^t^. i .
ces organes lont fenfibles ou"àppârêMt^r:& 1 ; dilünguent en .Fleurs?'viftMëslou invifibLes.
Ainil les,fleurs vilibles dont /er Nocesfont publiques, compofent les viagé-bois preinières clalfes;
& les invifibles compofent la vingtqquatrième .&"dfernièp|^$fô.iïs le nom de -C/t Oogamie ,
mot grec qui veut dire A m sîuBj t'es, comme le Figuier les 1 oaS^ ea^ le s^r i6uJîii.-i..rA ë i
2°. Les'ifères fent/imis dans les fleurs Hemiâphrfdiieif- qui contiennér t les étamines & lès
i piftils dans le même calice, ce qui comprend les vingt premières clalTes. Les fèxes font
fépairés dans les fièurs mgfa. & femdlèf f ç s qui forme lés .wSgtjiine, vipgt-deuK & vingt-;
tJarffArfi'c pjfcc"t"^uiaîiu:iïiffi?*[un ir t n i lu h ‘ "tiui
les fleurs mâles fcfemëlles féparées font fur la même plante, comme dans le Maïs, 1’O itië ,
•"l'é’Noyfef',' & c . Ea®®«e^Hk5{ÏMrelles< l ’on, fe r 1 deux pieds diffèrens^fxomniede’'C l ï ï i î^ ^
iMcailc'ublon , l'Epinars, A c •<5^ J ^ ^ v |^ ^qti!8i u ^ .'^ u i S ^ !@ liqu ijq\ cifes flairs m d cP
& Femelles avec dès hermaphrodites fer le même individu, comn.K là Pariétaire, l’Arroclie ,
le i're fn e , & c . 30. Dans les flèurs Mfmaphrod fer l e s . é t a l é e s ifont diCöäes::,& fépaïées,
ayant chacune leur filet, ce' qui comprend les qUiozepremieres-clalTes : ou elles font cohérëritesj
foltentr’èlles, loit avec le-piftil, ce qui forme les claflès fuivantes; lavoir la fciztcmc,
■ Plonadelphiè ou fleur qui n’a .qu’un frè re, parce qjùe te s .éfatnines' fent iéùiriies par leurs
filets en un lèul corps, comme dans le'Bec-de-grue, les Mauves, & e .'L a dix-feptièftie,
piadelphiè qui a deux freies', Iqrïque les étamines lont réunies;jgS.-.leurs filets en 'deux corps;,:
comniè dans to/Fumeterre, le Eolygala, le Lupin & laT plupart des légumineufes. La dix-
.liuiHème, Poldddphie ou plulieurs frères, lorfque les étamines réunies forment trois,'ou
plusieurs corps,;éomme dans f Oranger., l e M ille jpertüis& c. L a dix-neuvième, Singdtiißc
w È SÊ È Sm r W ß ^ ^ -F à -iv c i? ^
. ^>W 0 £â^ t 'rrï èn forme de'
cylindre, comme dans les fleurs compofées ou à fleurons , & l es radiées. Enfin la viogéièmè
claffe, ceft-à-dire femeüe-mari, lorfque les étamines iéunies-font attachées fur
lep iftil, comme dans les Orchides, & c. 4 . Les .étamipès détachées de grlndèu^gale^^knebt
' lei rcJ P r . î i J j î cl:f esL ^ 1S U Y a d ?s fle®Ês! dont les H *
grandeur dans une proportion confiante; ce qui compofe la quatorzième claffe appellée
Didynamie, c’ell-à-dire double puiflànce, lorfqu’il y a deux étamines p!us longues,
a ^ B m g C S f iù t ,u lb ~ .>. ù r ^ p . H | H
fix étatninesj favoir, deux petites o p p o fe s , .& „quatre plus grandes , Comme dans les fleurs
cruciformes, ƒ . . Enfin les treize premières claffes font formées par le nombre des étamines
d’où elles, tiient leur nom; fiivoir,-k première Momndrie, c'e(l-à -dire un feul mari ou une
7 feufc eatnine , comme laPeffe dVau, & c. Diaridrie ou deux étamines, comme le Jafinin ;
Triandrie ou troi étamines,'comme les graminées; 7 andru c tt quatre étamin ^ 0 ! ^
L H n n i ,] i ^ ii< u i j fâ am i ; , o o ® l ' ^ ^ e t b l 5r *
. Maronnicr d’Inde • ÇÆwdr/e pu huit étariiinçs , comme la Bruière, la Bifforte ; Emiéandrit
ou neuf étamines, comme la Capucine, le Jonc fleuriy-Ddcandrie ou,dix , min...........'»V .
l ’Alfine, l’OEillet & les caryophUlées; ou douze étamines, comme le Cabaret,
t ^ 111,1 tir' f e
ou plufieurs maris , depuis vingt jufqu’à. cent étamines attachées, au réceptacle ou pé.dtmcule j
comme les Pavots, le Nénuphar, & c. <i'.'-yp^qm^
dem i ères claffes. ls>
, Les étamines ou U rtie r Ä s ayant ferdes fuffi pour la.diflribution. d toutes lés plantes
en vingt-quatre claffes, c’étoit un trait de génie de recourir aux piftils ou parties femelles
pour la fubdivifion,des: gaffes en différens p u ^ ô ^ | 1 ] . Le,nombre des piftils a fuffi
pour fous divifcr les treize ’premières claffes en Monpgynie, c’cft-ir-dirc uiiè femelle ou un
.piftil; deux piftils ; T ,^ 1 1 « . trois;,piftils,;&c. Les autres claffes rirent leurs ordres
. ou fous-divifions d'e k ' difpofition des grain ^ de la forme du truT , ou de la ni u n êi re
î des. :^a£|ères||aflîqijes. -.Enfin 1 ï ordres fe partagent en différ n f ^ H [ u i former m mf
[1] 'On a ingénièufoment comparé les r fa j^ id é s plantes
B . «ne armée. E n effet, 'une airmcc‘ comprend tous, lés
m i S L U U a m *
Pa t Bataillons, cc font le so rrfre ii SciKiq t fl 1 -
Ion fo divife..en . compagnies j ce ‘font les »enrér. On fent
■ ’Pÿr c c mpar.lifon les '.aya ra g e s que la Botanique re -
d’un arrangbmént. méthodique £
.im poliiblc d’avoir üne.i<iëe. claire.de' cotte imVçnfcCÙan-
û td de vége'taux qui couvrent lq fu r à c e du g lo b e , cSÏqoe
y n iio it idirc à Ccfalpin r iyÿ:' /«rOr^ncs Iredio-rtnrsr B la n çp
1 ' j 'r 'T tJ u i& r *î
fluclttaû neccjje eß. La rature;. qSçn e le maftifblfi; q oe p ïr *
1® Viuidtd i|de (es ‘produaio'ns, nriuL.cn cache' fouvent
..■■l'ordre f u i t e ; , ce' qui fait-que iV r a n g e ^ ^ ^ l^ é ù a
héceirà res p o u r clalÉi
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j< 1 f>. S b Ë H M ,c jlr n ; Je c * ^ p I 9
t a f a m ^ f iM î ,<piu » e iîe ÿ ip ro cW a d . P & a ^ | '
& plus'olfe aura d ém é rite . Mais jamais il „-y n n r j.d é
»icr/ie* •ftriâénjçnt n a ip i//e -eit:- Botanique ; parce quë
W S U j Sf:;P°}lrra jamais pofleder.l’hilïp fé de to u s les
v PSdt?ù-'i, lu f r conféquent te n . o t i ' t anneaux dé
la> chaîne qui les lie. II y aura to u j& s des plantes ifo-
lces qui ne po u rro n t .en i . dans aucune il illc,' &
feront bande a p a rt: on bien, il fituil'ra'm ultiplier lès fa i
piilles. autant que les genres, ito y e z les notes-fuivantest