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le nitre efl; recherché ayèc t in i lî e foin pour la d ftruétion des I loMmes-, les Citoyens îb n t '
^W È S t Inc'tmMdiésiipit Æ f.^Æffe s ^ psi.l&ro'mpns j à i® ôm s;:^ a tl^ ^» e -, ï é f f i f a l pair
argent des vexations -des Salpêtriers. Le Monarque attentif à foulager fo Sujets, i p r ô n a i
Wn p â ^ jd q
■\fSü' d-* A".-, g.riftf’J A yÆift^ ^ p U M g î ^ e n occupe b.aubqiÏRidcns L s
înterv&llei. quljÿr A ù iT th ^ ^w d -id ‘s loix, le.j-ugcm^nt d * j-Ei_2i£"2^t' £ * ‘lUtIU> n ‘vaux fur
la Chymie. Les pfjtoéMAsp^â.tfefegp.^ifefe^nis.oa.dolo.j^Æ f f i ^ ^ ^ ^ n èsiCoinAtgP'P8,
a ^ A ^ s ^ lm a î lS - t f o e i e uü.piei;ck w fq 5 5 l& -|Il. tn ûfi.'dcnnune'des IpuLs c rjftJJjl^S
«hexagones; -.d’autrés les.renvoient à .J k f lttte ^ f tte ^ e ^ ^ à tf g w a jip a r ié ^ ^ B
■ Le •WAfoAfinyiitoufeïcornmun.fe cry ftallife fous unt.loini»t,ubiqi J.txjyon,^Qnfottqu'iR
y ehfcjirois^pèeési «Le reJ,mariiMi.ceiut de •fonWÆeJ^ejfeligemme ou ^ ffilsiq u® ;4 ,irànfcsùrept':-
foil %’isE Sicouiêursiri] yen^&mcrxilaux plus.ôu mom lo n g ^ qu-en,tifloWtenceTiJnel^
«Vu. le i t c u n - i l é j i i K r t ' d r Ü a lex \ itiopfe ^ ^ ^ ji ^ s > ) e r r c s tdur^^oritfcA4e ^nYortii!-;
par la cuilTon. On prétend- que M. Mérat favant Apothicaire d’Auxerre -, a trouvé du fel
. gemme dans l’Auxetrois. Cri connoît en Bourgogne plùEeurs fonta ne {idées, ce qui çonfirate
l’exiftence des mines de fel. H y a à Santenay \jy ;m \z Fontaine'fai,ée, connue du tems de la
A nubli ]ue de Eduen , à qui elle étoit d’une grande
nfe d.eufeiietm e t ^OE tfp ^ deJfbJ^ r y t t i d ^SalM(.esLidcih.Cci^^â.Il Âlaljejas Bailliage de
-^reurnoffLÎ^^^unSvonmiSTame7*qiiimito>6Sâÿ1Cÿlul]ES8fegiy ci^.comblai, jiu isoui^ ct:
liWii.mjx .îTiTl» qffld julics .endroits Llle.eft girtfce pat u i j n p o f . r<)U r.quplffn vviqRSêyâii
pmler. O n trouve, de |Pareil ^ b i u iQ ^ ^ d ^ N a m r e ^ JV n ç e e t \ AUiyr^s , a L'ouilUn.} en
Auùois, à Su. lur-Sun^, A.cTnenlaits.cjui des icnFic.it nmtilts nicm%a.phar^c^daJBroMn6&
,1’Efat, .parbla vigilance jda^HM^Bdfcflppenfè
occafiopnCnt. jJ>y a fur jefocoht.ii.de l iTjioi u§je, da » un pre ,âu bas *L Veaelayi. ui ie.-min§
, [ ï] ' Kfâre- Quarré /MédèçiM.de Gharôlie&j piîplïà ,:!
ÿBifônjen/l>6^3 ? chez Guy.ot, un volume in-40 aflez rare,
intitule : L'es, merveilleux effets de 'ia Nymphe-de Santenay
au Duché de Bourgogne , où. ejl ' fomma.irem'éni traité de fort
.origine, propriétés & ufages. 0n.tiroit.pIus 'dgn||0ncè ^excellent
fel , par bouteille' d’eau. Le Direâeur de la Fermé
de Cfeai’on" a fait jetter en ^ 4 ^ de mercure
dans 1er trouId^QÙ.,pjoyenoifc l a & maçonner ce,
trou. Il fit" enfuite gâter l’eau du Balfin par des vuidangesj
••inais liiâ^fQ^ceJibrttt^arante? pas plus bas. Le Préfident
du Grenier à Sel de 'Chagny qui avoit long-tems examine
.cettefontaine., qü1il^ e ^ d o )t/comme‘une fource3erichefles
igpiùr. la Ferme, Mémoire k, ce fujet en-
M de Trudaine, ^üiij)^|oit|i dj|4<?n, à jj^taplxr.uné Saline
comme à Montmo rot , mais il fut .-arrêté par des repré-
lentâtions. Voyez îur- l'es fontaines Talées, de Bourgogne
l’Orbis ma/itimt« de l’Avocat Morifot, /?. 17p.
- L e Tel ' de Fontaine efl plus blanc/,plus doux, plus
çur- a^ ô jp ^ :.âcréa^ o in s ferreux &;Æ^inis cor'rôfî^qûê;lè
fel marin, Céft îan|f doute; pour le' ferviee dé Thom'mé
^•^e^'la n a tu re . a^'m flîibtïa ( ekb (Jüelgùes lieux priviTégiés-'
'éloign’és de la mer?; ; ce Tel adouci pour Ton ufage. ; Mais
^ ^ n ^ f^ ^ it^ d i^ cM t^ iQ um a !n g ë ^m QTOpKrOT^ d étri—
ment ; car la Gabelle« dëeuplero'it la confommation, en
,- rendant le fel marchand, & en dim inuant le prix du fel
. Qé- moM e j . ce T^i*fup.priqi'eroit, .ën1. même tems; ïes’î’&éùs
énormes de régie1 que l’E ta t fiupporte en> pure pette.- On
ne parle pas d u c om m e rc ed e sfa la ifo n sen v ia n d e& p o if-
fon ; de la vente dü fel aux- -etrangers ; de la multiplication
& de%^rcbnfér^atfônx^ m ^ f a a ù 9 ^ urmë?@rdiëntÿ
s’en pafler j. de là fertilité;-des terres & .de la préparation.
deL^r^.çraî par les fels, &ç. &c, Ôev font fans' .dib'ute ces
'èonfîdérations' '& 'la.. .préexcellence^aé's:?feMr%è France fui;
le feV^eorrofîf rdê Po rtu g a l, '& 'îti^îî(éæ i 'terreux de . Polo
g n e , qui avoient déterminé I e ,.^ ^ ï r a l ; i2é. Richelieu â
avancer dans fon teftament : ^qu’il tenoit’ fcômmec,un feefret
des; meilleurs Sur-Intendans des Financés, que Ies; -marais
falans & les fontaines ïa j^ ef^ td ièn f 'la'relfource de l’Eta t
obéré pour acquitter ïe? d e tte s , & pour le tirer des plus
«grandes .crifbs^./ v’ ,'
L À £. -%*
qe 'fel remarquable ; cette fource filée peu ciblante de la rivière de Curé, pairoît s’êcrè jouée '
d e tous le s obflacles. qu’ôn voulu lui oppolè . Il full t de creufer à la profondeur de -dfeux
pieds, p^fflH|Ej:',ù n ^ ^ ôM ^ ^ m ^ ^ ^ ^ ^ cKau d ç@ S p f^ ® $ w r$ ù 4 ,cîbgfgÎ3^ fâ f e l âÿrés
lëvapórafièn; Eés ComrnE n’ayant pû trouver l a fource de cette mine inépuifable, one iàic
jpaffér la Cn i l par 1< pré; ma is la ri > 1ère s’èft retii e.-écl riaine e â telle quelle étoic auparavant;
L ’herbe & les j;lierres d’alentour font blanches de & y attirent 'une quantité prodigieufe •'
1oewSférerir^Æ ^ lr e sM jiS la u ^ ” t'aIfdjsMag^s!inom'mSK)U^réiir^^l§æM|lSàûx’dépéri-Blst
faute d'.- 1 :e' fecours. Seroi r-c : 1 quantité des S dînes , qui font en fi grand nombre dans
le s 1 deux Boùÿgognes, qui aurait fait donner le fobriquet de Bourguignons file's aux «
^QÉmBW t o i y g l^ M BfwirîSiés l é c ^ p i ï l^ ^ R S é f . ’dans’ EHllvÆfî
Hij}orïq,uè qjii précède, pag 4^).
' l?>] .ff, fel terreux d’un goût afliringént -,, àuqu el la cryftalli&ion donne une figure
oét ëd ou t huit côtés, fe trouve dan les terres { ;1 ûEeufes & bitumineufes C e t m 1 n li
dai.s 1 gJtTO'OiEaBBBHKfcffin» I l s ‘C h'ibô.is dé 1 , S. d>lu”îC?P\. idcfflraens.
a Atixene, onKraauvéguaniÿéî’d’Alun fur I f fnojitagne wSiafant. ■
La rivière ü’VonncaaiCew.'' découy ert dans les environs de Régennes & d’Auxerre «, un banc
dé’ glàife 1101. .«c ^ v 'iuA b î^ ;^ & par conféquent très-faliurcufe ^IrcnffiksCtU'Bytaxs.*?!! H
1 ^uiiXcjun^* ^tllcrAceiiCw.de IA lm ^M n uiicTrs^uAJirS'^napi
1 Alun (b r cccl 1 .in_eiÆxmî‘éA„n^ ^.p , l’cx .i.iu . fu $ S jjj5 re ÿ t iy il|{fi tr * »
Tl en cft• de incine5d u J?/X^o /;‘ aûu&^Ll terjuiix 6t m^ulliqiL , qui ]
.. liajLe.mc.crim.lófaiiue. iju dHih Æarr^aOMSle^rol^fdnfaiiÿHs-a-iil
en rhomboïdes,,& à la fécondé prend rinfiigiH^doclec.acdK^E^âf^cjS®?'^ les arûoil ères,
^ n ^ i^ f c s r & LiijUtnineuff , les argillc & les glaifes qui font toutes plus 1ou noins
.vitriofcques; dans le mines de: fer qui font C communes en Bourgogne & à la lùperficie des
terres. Dans un pré près le Clâteau de la C ro tte , Bailliage de Montcenis, il . iffln é tp'Æùne'
yfjLLij.u£e‘& * r tr iô Ii^ i^ ^ u 'e ,î i * K w i ï ‘,î'éVi!:Si-& cpp qnir^L ?c^Tuni'iCU^ô?T:?.ïffchcîc;*clic
tein t.l’argenr en jaune Erès-yif. On peut voir l’analyfe quon en a donn ée dans le /ou; *. c .
Phyjique, Février 17 7 3 . L e ruilfeau qui coule des Charbonnières de Montcenis
\ iLr.oliflûam ^ c£à;;r b.
Lës:;3:&(5^1èil'fent des filbftances differentes .des fels, en ce
.dà^ff^iu.. mars...dans, les .huilts, ,&._qumï ,un£4a.QroDfi6t4j.de s’a3uftTOc,r\&13 ^ i a p a n & '
une odeur fétide, pénétrante & fouvent nuiiible.' A environ mille pas de la fource du rüSÎSji
de Grenand , village du Bailliage d’Arnay-le-Duc, il y a , dit-on , une mine de Soufre
très-abondante £ 1] . Elle elt à ne’ü fg ie d f.d e .^ ^ ^ iU w ré î la terre qui eft au-deiliis eft rouge
■ Le ‘S’o^B; -miij^aes entreliies dé. la- fêi*re &
» ° “ ® Pyntes,.fquir fe'rvent^de,*matfÎGfe‘ij
r.jQUj d^ munéraux par le- gr-i'MagejsS&c. Amais il n’y appoint
-4e diftérenGe ■ entre ces 'efpèces;id‘e>jS,o,uEes ; ^^o'ff^ôiïs^
également naturels ; il n^^d#arrificiéiXqa.é. l^fépa^atian
avec dgjs fubftances dans . le^dél^K^it' faa^yit'
mméralifé, & fa t avant de le
'j^dulei^n' baiôpt.. Gomme le^S,ofu|r^ëft?J un mîxie très*’
fimpîe^formé1-paï il’union 'de^illâiâde.'vitriolique auépïin*
cipe inflammable ; -6n .£dt difi
•ftre eir.Hër£fdu nctfurel j ûn mettant’ en. digeftiori unè-|)^r4:
tie d’à’cide.vitnpflîqu^C^i^Mpe^yec'ttfoif parties d’hüile
^oûy<\aûtre ' nîatiè're inflammable^ ' ^«én fàifantMaM^ce'i
•mélange aù^Ppnÿde' lable j” I^S'o’yifre artificiel ^attatche-.au