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poij^nyppriLh <. n ym iî,^ , pÿi*r
"Los, dnfKjuictSj iç .u ' -oi -fi usdc.iintù^di'.l’Bhoi..1- lJi]o ii',:^ ^ is^ l? teC 4^.u^#lf^ OE_Tr38ïïi->,!
jnurs de i’avant-cour. I i iallon' fiujJÿ.yn^'^s.-^ftanipLS iluipldÆ"?^TOMMd'jprt^jl3i^^
■ K u rn ffijr^ d J u ju i l d r c r j & i, ?l l fi jji i \ u /ur-yüivm r! n, n b ’y - .j l ii^clM~S^ ^ f f l ^ j r * „ d«erii:îai?.~
ce beau vers de \ irgile, qui exprimoit fi bien les mouvemens ^^@^eM!Ç3sH||
• . Ao/z ': «-.
>eJl>^uuJffi'j.tlehfin‘•dçâffou\cr^un hihfl Ir )f<_J]1'ur u Bôi'ai pic,'r™[™Sro
p]u(?.urs t( nribvX^'^u.a^t'uJffle^!|î^BlnT^"\G.Qi!^cru^n inCTZl^ïrW^Sc'u:
iL* ctfjfÇ'd*- (m)CTfaifin&-\"pagl” raiJ^CrpoitLVjtr*ntidiMiagrat ’p ^H iS îp lïS ^ ^ ^ n ^ r a^ ^ ^
peine e^mineife’, ilJcA*£ratnifeîüliHlLnm,^ | la™ ^ ^ â j^ i i ^ L^TOH'7^ 1?^p^l^W i! | jf l6W w
s^Kj>^geMëié^M&am'é^d.e * 1 a' naênayiValk. 'en 4r^^^feÆ^^^fflri3h3hAltSoiÆOTÛrei,'LJ.îEl u ré ô
■ I I ] I l m’engagea i faire des <ilires au'célèbre J,J.Rouf*rau,
4.veevlêqueL j’ëtois intimement lié pendant le féjoür qu’il
fit à Dijon j pour le mettre à la tête de cet établiflement.
c,Qn'T(àit que ce irPBübfop^e^&i^ux^^ëtôît ; ^en^reMênt
livré à rëtudè rdë la. Botanique ., àÉn..d|©^|^^^^sf d|ë¥ .
tude attrayante.,des .végétaux , les §bjuflaces,»d^Ççm^àdté|
envers,un des plus b,eaùx-génie§c qui aient paru; La répu-
.iatton^de^cet excellent homme j èn^uroititidnrïé à d’Ecole
^ è j sD S ^ ^ en y_ attirant une foule d^AudiSu^d^Soptes ■,
les parties |ÿ ^ la France. Mais je né fusf’pbih^^r^^Muî?
le u x pour réuffir dans cette ’ négociation M-, '. Rp u § ||u
voulait .v iv f^'M p éfe^ cd n ten^TOÆm ^ l^ il^ a jamais: §ât
ér^Cer.'ïL': .
' ^ i ’tebitddé i devtou^voir ‘'en .grand, :iïifpir^Iqrifuitè a
JM. Le Goux le deiTein d’attirer M. Goiian fon ami , célèbre
jPrôfë3em® ;; de '-Montpellier dont il a fî bien . réta^li^lé-.
.Jardin de 'Botaniq^î&îfavaftfrecommandable par plufieurs
ouvrages fur l’Hiftoiré-Naturelle ; entr autres par le Caca-
‘^ ^ a e ^d ü /p la iü ^ ’dû-- ^ d jh ''8 c ' dés envjrdhs^Tfôt? Montpellier
1 & par fon' Voyage., des cPyfénéès^^wtr^es^àzns
lefquels ’ onf trouve" des oblervations des- p'î!^.tcuyièuffes
.& les plus - exades; J en écrivis à M. Goiian, avec lequel
j ’étois alors en cairrefpondance, & <qid< A ^ ^ o ^ ï^ lln p n * -
meur d’êtré, affocié à l’Académie sde Montpel-lier^ il 'me
^promit dans plufieurs lettres de venir’ faire à DijonT,le pre-
.jnier cours ; mais fes cfççppatfônijjne la lui«!5ht pas peimis.
JjKhdiquai- aM^S-ylW: jMfàgjé; jdè Médîcïke dei^003k^ ’ - à
M : Le Goux., qui voulut y- aflocier-’ l'Académie ', dont
il' étoit déjà J e bienfaiteur: Par donation entre-les -v if s ,
que fai reçue <& rédigée le 13 Février 1 7 7 3 , i'I ëft dit
que M. Le-^®u>x délirant fecOnder les vues dé l'Académie
mesgSoienc^ ^ l^ rts' ‘& >f^ ^ l^ ^ Bett:re’s’,éétablie à. Dljmr^a^
? l ^ J ^ ^ ^ ^ ^ q |^ M d ^ P i f l e m e d ^ ^ ^ o |è r t ü ï d e s .Lettres-,.
-Patentes de S. M. du mois de Juin 1740; lui faciliter
l’étude des Sciences-les plus .utiles , ■& procurer ;'à ladite <
^il^Wlfpif^g^^'d-ûh'
Toins de M M les Académiciens, les Plantes tant exoti«-
ques qu'indigènes", ("oient élevé'es & éntretériue^^&. qui
foit ouvert au tems des exercices à tous ceux de ladite
.Vdle qui voudront smftruire ou étendre leurs connoif-
rfances en Botanique : rfowarioTz ir/'avocaWe 'à Zat/ire
^Académie à3un Jardin de Plantes^ & j dfàeriÛdricës^àfkfrarg’è
lement ledft^^ w ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ u^L^^démie^ feuePc^î-
ter lè 'C 611,ëgei d è^édé c ine I f f i i e f upit aux iuonféf^oeé’s
ielatives'à ^^ptamqÜe^qü’ëlle' "féræ^r^dansp ^ ^ ^ t l lh
des P l t n t e ^ f ô i ^ ^ ë^p'ériencesfïï^^ïM? &^Êliylnè’
t Démôriftrations Anatomiques 8c' autres à&es' de
pareille h'atùre ‘*que ifon zèle pour le progrès des fcicnces
» ^ ^ ^™ |m î0% l‘'ide^entèr^ô^e^r^é'êr}~|fue*%s^MeBbres
dudi't-iG'o’M'ège1 dfe Médecine y aient''voix délai^éra-
' 'tta t
de r’ecevoir uli'' Bémo h û raté tjr, il ne puifle être choiü
que parmi les Membres dudit Collège, Il ce n’elt dans le^
' cas 60 autii'n- d’eux • ne voudroi-t' fe chargfcr de -ladite dé-;
monftration, &c,
;Bour,g.ogne :
D Ë % [m h P R A% Æ $ rEîÇ K - , -*3è | '
Bourgogne, 1 ouverture du premier Cours de Botanique fie fit dans une Séance publique de
l’Académie e,.^ iï# rül|^ q IStoflin ftag .PtanfM
riî- igpJi m lyy^'fLi. 'j îict^jjji«.rp^uicl d ^ \ V J u i î û i^ lp p r vn ÂfeASidanS
.&■ ÿ h ‘ 1* Â iM’ilifcWoâ diuourt J
prie une tournure éloquente, pour engager l’Affèmblée à vaincre la modeftie de M. Le Goux
P~ |. j l l *<• r ^sl> ' jJc’Æ1 * |ffi^^^l}liailtitvUi ütn^.d 1 , 1*
; b ^ l i u n s ! 1 9
Em]4udijfi.mjn^iunc^fiçmbk^riJTirm. Iiuffc..pjéparé*aldefiam,
jmal^i £ luiju^jfljjiiydcft il. ,bas»câ|;^^^ver5 :
«c Gontçe^les ma^^^^^êriâçg^t,!ta:,vîèy,^
. d^.fecoùrs j I
H èrait^iiïë I
1 1 »4 au falut- de- t^jbuî^^,ïï;<
On 'fit ^ f u ^ h d S liir jjr un ïfeblirs ,^üj|oS apj^ofte 'dans fèç(uefecet liommô
mo tBl'a lJWcffl r c V ^ l ia ^Æ ^ . P.uuour de rb^pÉyi^^rejfpxjîet p^fetojjt^^tre®^ u en c a
f^& sn ^ ^ ^ ^ r’u1^g^ ] ^ 31;;uu^:|uir'c'lc>lagnionttrttl.i(ijiJ de’Bot iniquj-,'
^ciuu'e’ O^difi^oius.ont en..rccu^d 11s À imp.,, ,
£mi^IVtffHc^Gotucli^ fiirVé^tp^'fiing-t^is',V 1 *SüIS^^Kwà\on rTiuiP
îcfïe pour foullrir <ic pour 'tuiro ilu bien tuL'îix'qèi
» l’environnoient ; il répétoic fbuvent : Que je voie ce Jardin élevé & le Public jouir de fes
Ppifa fupicw lîpPffliU K ii tyrfpal' a. ÇÛ ^ ' *?\
M ^ ^ c in iê r t ja i lx io n t £fc|xmplïs"» S ccfr jvr leskfiiins d c^ b 4 jLiProld lUr,
nS^otiife.'d'Ltîidiaîi* àz do, Cùrieiÿc^ im’iuî’d ^M
bl^ f e ^ ^ Urll^ ^ t,m'q ü q [l] danS ^ Pfoyuice-oM’on n^n.cslflnoilb^pi^patpanc,
^ ^ ^ ^ COtl:cu!jÆ^B lÆ1^ ^ ; . Pn-ren<é.ü -llll? m^ cre .^ I& ^ ç u l^ M e quR par
un*petit,nolnbrefd’Amateurs aflèz perfévérans pour;'fîirtno'ntçriîtous lesïribftaclêk- ^
[i] C’eût à l^établilfement dès Jardins, de Priantes laits;
par nos Roi ^ ^ ^ ^B^taniquejQoit f^n exiftence parmi
';noùs. Cette fcience fi utile à l’homniej & qui a tant .de
rapports, à l’art de guérir, étoit entièrement.inconnue",-.
Iprfque Henri IV , ce Roi ^^ ^ ^ga/.ydèe qui le gaityrç^ait
garde la mcmàWL ce Héros, ce Prince Aimable &. bpn.
.gui voulut prpeu|ë4', à; forp! peuple tous les genres .de.
biens à la fois, voulut é ^ li'r,;u n 'f Jardin de. Plantes .à
Paris, pour ÿ cultiver toutes;les plantés;.u&élles, & celles
!® n ,y apportoit des pays étrangers ; & fur-tout,d’Amé-
rique. Mais on eftima que ces plantes venant des Pays
maupsiKprqfpérer.oient mieux ^ dans iesï^çovinces méri-^l
dionales, .& Mo^e/Zie)^ Henri y fît g©,®jg:-
truire en iyp.8 un beau Jardin., ;au|uelU^jFacuIté. deï cettd
* Ville doit la plus grande partie de fa réputation. Gui de
.la . 'Broùe Médecin de.. Louis X IB ,. efl' obtint en • 1626
"lutablilTement d’un pareil Jardin à Parij. Ge fut fous
M. Fagcfa quîirireçu't fon plus-beau îullre des leçons dé
Tournefprt. De femblables éétabliffeitfërisi .fàits - dans ; les
Provinces, y produiront-les mêmes effets ; e^eft ce qui ‘
a - déterminé à .nous étendre mr pèiüi-fejt dans la
Capitale de B o u r g o g n e ^
é pU F E R N E M E N T I>È’ 'BbuRGO<SÿM. H 'V b 'f