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& mauvaifes, parce que la corolle n’efl: pas une partie effentielie à la fleur ; parce qu elle fe perd
tçnqugiqqgï cdiglaji^ÆMes^^êîB^M^qfii.en fon tjo u r vçes Sn^kutrâfpays ; pareâàu'eUe/e
•dénature & fe multiplie par la culture ; parce qu elle varie pour fa forme, pour là couleur, &
^ Jm ^ Q li r f e Mjme]ffi-s^âBptfe~aGoideritdlss.A changeantes dans; la;,jriê^fflBfeàc.e pffitoé.-
<pi*na pcaraffiérft.^éia^1«qm .fait. la.bafeMiinëU'rn^tBo'de--^1 la divifion des claflès J afcwBfc
du moins fur le plus gf'atdA^mbie^d’une manière invariable
& fixe ^^Meaefetji3^^eêâjpjS^£^^a»Mlanttcs.. le.st-.nlüsædmmùhes .&;l&stipM S ^ , comme les
iàm««srdâe P an on s . &j:outes les plantes Apé{al9s^ne.p'feU.Veflt .parfttp clafieeSjlans
les fyftêmes des Corolliftes ; parce q u il faut recourir à d’autres notes caraâériftiques dans
les plant-fc&priyces d t ltiAulles.j ,ce qui efo.îjffn.ttatrc;.à Ci I&Avü lanpeUejSeffiqdc ; .parte qt; J
d a^ L^ ^ aS eS jgL lm iS fp p^ d g la fom ^ q u .d u ^ om lÿ a tfe '^ ffia le s ,-iL l p t1 employer d’autres
parties, ÇQmm&jleS_,fiüitS , fe&..Çÿdip{.'i., & lÜÊflie^k». teurllcs>&J.es Is.t n.-t-qnniir
tin lLont des cLfîts eu ordres o u le tlion s ; parce qqe l’exlfien^e.d-jh c^MljJtup'i'-iye^cfl de
, tresV'courte durée fe q u t f f l s la i j r y a lô ^ le s plantes fâris~ k^®.&ftèrê,fendamental ; patchs
que. les_formes des corolles fon t trop^voifinej les unes des autres^ ik luth eut tro'p-ptU'
difiinuftespqurque les defcriptlons,^qieatfq qm # e h ^M Ë |Æ ^ ^ ^ | i ^ S;fecé\^M^Ilak fehesT.
comme drml'itoit dans 1A oml^iljjÿçeS',, parce que k . c Qrçlk cft muîik pour iMi&S& ffiyP
genres^ qui ont des fleurs m t k s '& dus'fleijrs-^jemellçsrfeparees ; ‘.enfinapaiie^ qtfiltoJ&i des
pltme d'ijne niimeJantdl^KCgmme_lçs.Miacécsjqui ije pensent le f ip u t r , ôe quLOit.cn
ineme-tems des lLurs mon optUlcSSq îo iff^a® *ÿ''fles flcu3§5?r6gLiliere$, &. fnjrépulieres
ce „qui dérange fous .IA Itftemes des X ,o ro lliftts fi^ ^ ^Æ e .-S^ ^ l'
Les fleurs étant - deflinées ■ par-la-Jiature à l.'CréDmduebiin d ^ je^fecfi».pàr Ie|
- graines', dles.Àiit^ urvucs' des- ChgZ-i^ "cilicc & lai& oiTûlle.Lne
fôfit que1 les enveloppés "extérieurési Oﮣhftûigu!U et s Or^ nes'ui r -> k |i
pxeufiers £'.drifedc~ la y^ u iM an t.e .id. sîdi d *
leui b dtjgsmc ^rjfoitx oruaitfinée qui lert'de trame à' qtu lques étoffes.' Ont^jiftingiié. txcsijj
partieç^ns Ip étamines; kvoi^des^z&tr#I^Sÿpmeîs< ^ f e e t m d a p r é
qm'eflïksiparEt^eflèntielle. Les FdetsfiSnÇ'àps elpeces dÿpecfiQûles^jdÀlmfmons
{apportent l|Ç|qngnoets. Ils different nqmDre^J^«©s4 rsinges, par lsjp|?SW, l j |:
|> ^ ip |)aq n•^Mj^^^^^^Ms^i^Wlouient eh’fcnig^^ g î ^ f f f ô f-pédieulfe oçlTilÇt rféparé-
'des autres dans toqtel^ longueur, & p lu s-9 l^ oÆ ^ i^ d ô t*^ e sffiiç tst^® fit^ ffia ir^ îi|,tft'
^ dautrefois les "filetadont reurn ^piSrffeoâs.,'ie*n une mafle, ôi|, ‘
en piquets féparés; ailleurs ils. lont réunis, &. forment comme im e |g à^ E a n sx'Lqutlh5
d ’autres claflès, fuivant les principes même de iâ.méthpdè.s
(Que- feroit-ce fl on vouloit parler du nombre &: dé. la
rMi^ifflon■ des genres, traiief; des raifons pour les augmenr
ter q u ,!^ diminuer? Si l’on dgfcend aux «(pièces; qui-font
lesfcius-divifionsdes' genres, quelle foule. d'objeâions J
,Oii. trouvera les ,mêmes efpèces répétées .deux o ü . trois
'fqisjlfous unemomenclature-différente, 1 a fynonymie défigurée
& les phrafes fpécifiques peu .propres à (ervir dé
djffçriptioni plufieurs plantes, même connues des.. com- ■
m e n ç a n s a u x q u e lle s il n^aVoit f pü^encQre .trçuyer, de
place»,
Mais ces nuages njobfcui'cilTerit point la gloire du pré-!-
mier-'Botanijte -qu’ait ■'eu la France, “^ u f ; â ^ i t feirmêmé'
remarqué ces défauts &. pèrfeétipnné’ fa m éthode, fi la
mort ne 1 eut .prévenu.-- On^n*a'f|it ces obfervations que
pour montre%'Cpm^en ';ç%vXèroit. ^jTp^è ^^ux' progrès de
-i.yfl^fpü ^ ypulpity.aapbtér exclufivement cette
méthode, pauç.’rejetter; cplle de^Linné, ;
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génération dans les fleurs i ils font quelquefois au nombre de deux ou trois fur le même
P f ^ ^ p P r h s
à quelques parues de la fleur. Souvent ils font diflina s des•'
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autres figures .variées ; ils s’ouvrent ou par le cô té , ou par la pointe, ou parla bafe ; ils
" Les caPfules des fommets ou anthères font remplis d’une PouJJière prefque imperceptible,
qui conftitue la troifième partie de l’étamine. Cette pouffière eft la véritable Semence prolifiquet
ç etits g ra!ns orS lP^és .rompent/à la chaleur ou à l’humidité, & dont on voit jaillir
des atomes, élatiqués; C e i .gmn examinés au mic ^
f o f i c tW c f
P °uffièoe > >ue & r lea® tiède,, .eieft-à-dire qüe fes .grains font une eïpèce d’explofion; &
Ion en voit forur .des jets dnine liqgf ur fùbüle qui ne fe mêle point à l’eau, &..qui eft.
I ^remPlle de Petits globules verdâtres & élaftiques q le la chaleur force de .jailli cd ;s capfules
qrn les renferment. ' Cette pouffière contient beaucoup de parties fulfureufes^.. ^uifquefle ,
brÙle la flamme dnme bougie comme de . la réfine p id v é r& ',. quoiqu’efle ne fonde point
d uî>' 1
quelques plantes, comme les Pins les Cyprès, & c en donnent en fi gfÜnde abondance,
qu’on, les a prifes quelquefois pour des plui, - I k "
loin par les vents. C ’eft dans cette pouffière volatile que. réfide fpécialement l’odeur fuave
• ^ lîeurs flenr^ comme “ üe de la V ign e , du Réféda, &c. Les meilleurs Obferva-
■ ténrs, entrWres le femeux Néedham, penchent à iCrqfe que les pouflîères des étamines
font comme, des capfules , qui • renferment avec k liqueur féminale plufieurs germes ou
embryons de la plaqte - tout formés, & d’une petiteflé au-delfus de toute exfreffion. -
t f1! f i t ® ! qne diils un pai-ticulieï de Bota-
. nique quexje pourrais entrer dans des détails futEgne *
fui l’ufagc:& IafForme de toutes" ces parties confidcrces
comméii;Épa/z&y |
fur -la manière «iont eïes' de c él ébrat i on
• ; des i^dc^ ve^éf«/ej. -Il faut voir la peinture vive & animée
clu en fai^Ie > chaimant ^Auteur du - Cort/2«£ia P/oruvz, lorf-
dit .-que ^ « ^ « a ^ ^ ^ m a ît r e ,, s’^ p £ o k |^ fé ^ ^ d e r^
les fleuis qui fommcildoient .eijcoïc au, ‘Icvci de l’auioie,
anthères a W to p o in té t d’une ai-
> lcs étamines ^e r^idjflbient jpar' râ|ÉbV
:fe4l?n ^
do,mo la v ié fortoit des prifons oit it é to it re te n u , &
■ tQü^flâ ^ ^ . ’d ^ e^Qjent pâr cette pluie vivante
tuyaux d e là Trompe ( c e i t
i',-. DÈ 'EO'c/tK pè'SÆ l
r ° rgane feraelleyi laiiToitTur fes b o id s’les. marques dé 1
7-,^ t;- '..Coi..-* ” 555*9?
■ R | * 1 * H tardi a d j vï *. ,
i t l d. Jg x "Z I , , Jl - I M ,,
■ «ftitiirii'-r'fin Wiïiinii^fiî J* WÊËÊ
Il faudrait liré ce Poëme e n tier, d ont il n’y a pas un
leui vers qui ne préfon te .1 e r âge gtac eufe & • me il j 3 |
trnffion. nouvelle; c-eft-làCqn-0n . fe donvaincroit que in
» # * " e f t pas une fciénçe de m o ts , comme 1 M R H
, à la Poéfie. » f
K l t f e r l i