Zjfc n.MS;C R 1 P T l O N
O n ie irou.ve ïùr îles &orce^M*àrtees‘ & fiâmes''parois .des rochers avét^M Lichen
imbriqué , Centrifugus, L. & l’ombiliqué1O mphülodes', L.
| Lichen JRàlmqnSius/i.. Là ïW b N A M ^GnMî-pmïHépdtique
& trouve attachée fur l&.pifd^fes Ghêhe^ld'es'-Hêffies & t o t r q s ^ b ^ 4b^ttmtes les ;
grandes forêts«; eU e^ ap p r o ch& ^W -È ^ f^ ttn poumon deffébhé. Ses lames'fohï g&ndes,
rudes, inégales, potées les.unfes fur les autres en mamerehSécaiflès j vertes eh deflù's‘&
comme réticulées, avec des points, portant de's écuflbns* à leujs bords, cendrées, blanchâtres
& . lanugifteufes 'en fièflous, '&c.
t îwtichen iJIÊidicus. L. Le Lichén terrestre ^feMle's^Panicâut-, dont'« les bords font
i l l fe - trouve* «'dans lèsftbois' avec la belle .efpèceV que- Linné appelle ^rcAea Nivalis,
& l e Lichen- Commise quon dit «botfcontre la rage.
Lichen fllicâîusj L. L'Usnèe vues a i r e ou des Boutiques. Elle croît'fur les-arbres.
M. AdanfoSê-éma fait .un-génie féparé du Lichen. D ’Argencourt la cite feus le noin de
des éciiffons rayonnés & orbieühires-attachés par leuî p en^«Êlïe!forln^dmine ùrï-buifloh
élevé à tiges cylindriques, parfemées.dépùfl'bris, &c. _11 y a lM # l’üéliÊE T l ë u m e , 'Lichen
■ éflàridù4 '*%' l’UsfcÊE b a r b u e ,- Lichen hàrbatus.y
• L ic h e n Pixidalià, L. L ’H e r ï ï t t e , o u - Gridïmdes à Mine W k ' tülcrcüles' jàünes [ 3 ] . E l l e
croît avec' i ’efpèce« f r a n g é e 'f'Fmkiatus> L*-& la ? G o ç c i.F È R E à-tuberculeÿibuges; dan»
les bofeîftériles, &e. Ceft avëc~ces.-M^ns.^u’on«prépare!divèrfës teifit&es,’&principalement
la'' teinqiféf^bléke^ 4 ] * connue fous le nom td’Orfè >'e ou àX^Ô.{1 e f j ’<■c
vâ-m p ç in . On envoyé dAuveîgne ,-fous* le nom f^ err®: fi fctelen
- pétites^càîÙefgfireV;',qüfn'é'ft^tteuSe chofe que des ï^gn^famâffés\fur le s joç |e r /, j&
dont on fait l’Orfalle a\cc lu n n i, la chauv,y&c. Le piulledr vient 'cltfliSlLndep par
les foins qu’ontrles Hollàndois'destrier & d e g o ilir l^P’érell..
447. Chara Vyh,ans,L. La T a H -e r u tn ii. Aufonfi d d eaux, dans lt s marais,^ * C«Û K
e(F% l L a Pulmonaire le Chine, amE ap p d lce , parce qu’on
préfère ceUe qui cro ît fur les Chênes , eft encore'nommée
2 te des forêts, à caufe de fou grand ufage en infuiion
théiforme, po u r les maladies de la p o itrin e , les ulcères
des poumons & le-crachement de fang & de p u s , contre
la to u x , l’àlthme, la p h thylie; on la donne en poudre â |
t e dofe d’un g ro s , o u en décoffion à celle de fix onces.
.R a y d it que les Anglais en font ufage avec fuccèa dans
t e confompdon. P o u r la jaunifle & le s , oblfaruélions, on
en Élit bouillir un e poigrfée dans une pinte de biqrfe
réduite à m o itié, & on en prend u n .v e rrem a tm & fo ir.^
k l e t t t t anffil très-bien indiquée dans t e dyffenterie , les
TOmlffemens b ilieu x , les pertes de &ng & les hémorrhag
ie s, à c au fed e fa v e rtu aftringente Defféchée Strédmte
e n p o u d re , elle eft vulnéraire, Se appliquée fur tes plaies
selle arrête*' le .fang jr 8cç»
' [2J a u n e /v e r tu aftringente 8c propre po u r
Arrêter te s pertes & les dévoiemens. Lémery parle d e
fü fiié e humaine, qui vient fur te c rln e & les os. H d it
qu’on s’en fert intérieurement 'poux répilepfie,H& qu’elle
entre dans les poudres de f ym p gM é ^ q ^ e ÿ i :eÉ t e i a f e
, tringente.,, & e .. Celle des /arbres. réfîneûx eft Odorante ;
le vin où on la fait tremper 1 eft ftomachal ,^jmoditifl,M<.
rête les vomiftemens, l&s ;flux. | ■
[3] ÏÙHerpette eft vulnéraire .3 aftringente, propre à arrêter
les hémorrhojides, ^Ies*courfcde^ventrer 8c. les. v om it
femens,« .
[4,] I l y?'- a ï^ n e multitude 'de Zic/ze/2^ d ont on pourvoie
tire r dé très-bellès teintures jau n es, pourpres, violettes,, &c.
P o u r voir fi u n Lichen peutlfe^changer'ep^O^w®’», on. f®
met étang u n p e tit b o c a l, & on l’humeifte d’efprit volatil
de fel ammoniac, o u d’eau de chaux première avec uno
pincée de fel1 ammoniac;' au b o u t de quatre ,j.our$ la liqueur.
-devient ro u g e , & en peu de tèms
chargera',de couleur , ü/^n’y a rien à efpérer. Q n
, d d it faire des eflais en ce genre, pOur ,favantage du commerce
& desyjnanufaàures.
I f ] La Prêle puante, ou le Chara> n’a aucune propriété
Ë £ A P R À N C Ei 5T9
ÏD’Ârgêii'couït la Gîte fous l e nom &Sfqui0 Æ^celtüiM‘tÆ ^ ^ ^ S t e p h ^ ^ ‘ÉÜ.e^SL Ë’afitra
d ép o rt ’aveg^MüPfêlç ou qutf'fla^taëmé'frtuàtifeti' de fes feuilles'féales &
^OTtieillées,q^racépk^,râlt%eâ^^ce en ÿ ^ ^ e v iL e s 'f i^ |,'inbbApleftes font potéBifuI
les feuilles, dont la dilpollrion innulaite a 1. t donner à cette plante le nom de C
M. ^an ïq n j^ a ^dsfes* la ,témilfë>'ides^ ^ e o Mlgdë^gi&c'! Il y en" a plufîeux! ;
eipëces, dont une à tiges égffieûfes, &c. On peut- voir ce qui eft dit fîir le C/wra Tranp-
lucens, dans .les latent, de l’Acad. djjjtjSjî. Ah. t ’
• 448. TremèllcwSj^M^Li. Ee NSsroc'DE'PA^CÉ&ï^D’ÂrgenGourt le cite fous l e nom
■îde -iCç%i|m4Aûte ^u^r^mLruic müîpijul^f „rlfib, dun \a d .p J e t '
înfipifie, àr'peucprès large comme la^am,y?plilLÿ&. ondé^ tiréguhèXèmu^ que,l’on tro'uye
étendue à'Ia'ffiperScie de la‘terre, fur les ;|^ ra^ ^ e s ,«Gheini'ns, dànâ.^.p^^^-S&c., Cette
plargë^gélatineufe & JllD^HKk*, çoletyl A l c h i a d £ ^ « H M p ^ t i^ d < $ i e a i i
avant le lever du Ibleil, lur les teireins-’,.fal|l,mfi^b^, & après'les%pi\iiëÿ^ parce que i’eau
pénétrant là partie Ipongieulè, la «gonfle ^'la- met'a portée M’êqe •vr0'®aris/'leà 'teSnSide
«iecherefiè, elle ^ ^ ^ d u k ^ u point de deyenini prefguediBp’ereeptibleii».7yb/?o'g, eft un mot
«Allemand, pays où lês Seélateurs de.Pâracelfe ont, ré|n^lii,Êihg temsT Ils orit débité ■'mille
fables fur cette Àlbfta{îceyvégéfafe [1 ] ,*^oeÜS« d'écojrqient '^u. «Bpaù nom de Ejqs\Cheti,p-{kxiî
Sù/’Cieiyÿqua^^tet^^lài.^Bqtatflftes François, teh>',quq^E^pl'®'ournefortJ G^ofirtii
ont 'édajtçMa vérité. Voyais c e mpt .è^ià^ïBipyclppédie. M. Adanfon met.lè î^oflocldans
VoyeaTplus bas.,
Il y a Jplufieüis-’elpèces de T remilees GÉiATiNKu&sA§?lbs unes qui croiflënt ‘lui les
.racinesj des plantes, fin les arbresf& les troncs; pguti;is,dùr les’ mpuflAsV'âu bord
ides, ^étangs, fur les pierres des-rivières & rùiffeaux,"fur les côtesiirionüé& &les bords, dé
médicinale. .'On^ la dit aftringente. En quelques' pays on
^ramaffe '^our |M ^ S n é^ ÿ u Déêal". Wais il y à une par-
ticularité. a remarquer fur' une é%èce dé que Linné
appelle M. l’A’bbé Corel, ProfelTeur à Reggio, a
remarqué dans les fluides de cette plante un mouvement
inc'onnïï*£àvant lu i, quîl prend pour une vraie circulation,
èEf^i'fuppofé^mr doübleN fyftême ou genre d#'vaifleauxi
comnfe dans 'les -âhimanx> Voit: efe' effet dans les racines
, dans les tiges principales & fecondaifes, & dans les
petites brandies qùriùi tiennent lieu de feuilles, un fluide
ou de'-petits corps Uglu tin é sq u i 'montent ‘8c'qua?rqéfcèti^ ■
dent; M. «célébré. Phyfîcien de Florence
dit que cette prétendue circulation ‘eft interceptée à chaque
noeud; que Ici; ;efpaces' compris^ entre; les noeuds de ;cette
plante, ■ ne font k.qtte des cylindres ' emou fféscompo fés
d’une fèti|| membrane très-mince, diaphane^ rëptiêè, aux
deux extrémités^ 8c fermée aux deux bouts , |^©^ïe;;i|ur
tant de petits tubes' de 'verre, à travers lefquëls oh voit
monter un fluide rempli: de corpufculés plus ou moins
nageans ; que chacùrî de' l‘ces tubes itetminé par deux
.. noeuds oppofés, eft abfbluÉeht dénué àè vaifleaüx : que
c’eft une force incophuè^' qùï'-faï&it' monter ua’moitié de
la colonne; dù fluide dans chaque tube ifolé, force l’autre
moitié à dètcëhdfè|Tan.S’, q u e lle ’ Suide' fe mêle; que fccf
fm ^ v e t^ n ^ u i^ u li^ ^ ï^m Q é p e n d a n t des cy lin d re s^ p të ^
‘^gr^;;^piùfqu’il p eu t -fuDfîfteijiQatlS' l^ s u n s , 8c être éteint
les autres ; que cefluidie eft compofé de petites vellies
'jM sfo p ^ n o in ç applaties, fuivant^a .comprefEo'n, &• ayant
un 'mouvement de rotation fur elles-mêmes indépendant du
mouvement d’afCjèh'fîqri '8C\ d e ,,'ciefcen,te ' du fluide qui-les
fêntiàînë', ’8cc. 'V o y e z la l e ^ e ' iiê M. ^ f& n aÀ ;dm V ''Ie ;
$Joumalf/dàx/P,fiyfî^
[ î ] luë' Nojloç que IVCchéli a'saeeritii. fous levriohl' de!
jLinkia • terreffiis ^eta^hoCài & que ’d’autres
appèlïèht-'ü/neftvplajuarum^ müftmïifugax$ltt ' eft une- èC~
pècé="de gelée' tremblante qui f è ^ ^ ^ p m p ^ fâc ilém en p |
, 8ç qui^f^dilfo.ut préfque entiëcemerif d âm ^ ’èau. chaude^’
-Les Alchimiftes prétendent que par l’art on en peut-ifre*
guh’ ' p ie rre ^d a n s ^la
veflie.' D ’autres ^ ^ o ^ tem ^ T ^ 'e ^ Q Î ^ ^ ü e , (^ e f t ud^boo
.idiffolvahr', que fa liqueur ^Htillé e prife,‘intërieurament ÿ
calme les douleurs internes , guérit les ulcères invétérés
8s les cancers, &ek.©,n. Rapplique auflii extérieurement^
Lémery dit què le N o fto c ; efl émollient ^ -adoucKTant -£•
vdlùéràire, réfolutif,;8cc.