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M .ÿJifdllZ 1 A ^ I ^ V C J nü^ufrllnLal j< '>.clevX ir^ ^ ^ w .» .L.jj^i^SA;,i|’iiôuruÆ
T 4S? Vjd ir , d n &x f f i f f f i r j jWl y ^ n . i iX ^ a tu » k j ;
? ^ ^ p ^ ^ ^ ^ ^ t e l t e é l tQ M R ffl^ ^ ^ ^ S a l^ails.jfex^fetion^^ ceipRÆ i a lTOlk il fojtra. en
ng ^ , gùisfruÆipüSSipumttçs, .,iuxquJ',rlc ii,oîôn pl^HipiiLJtîk numide c e fi^ f f lencKfflhfit'
pluif ir .jv - j f j ! , ' l x l ' i jft..v' ' ' ( - W & JÉEll md Aboi»/9 \ d k
lj ^ ^ l^^^ ^ iyrJ.^cljris»tlu fM æ iù r f pdi.tyjf/JJtilr , « . y . t e dans iîüteonS^Miçnÿde
ceux de Sallengre. Feu M. Michaut , Secrétaire de l’Académie de Dijon , connu par lès
tC i;u- y. t j^Svnt ^léfeciiiJ,d^S^T^|gjjl| j^M ^feitres & ieM « o n t:
iÿfav 'd'i’î ^ j i ' 1 jTls!£&|y^ii '^x* , ’ü!!t
* r~M^\1 pfah,iitj, d ns û lettre c
l?-Oj r ‘DP»^.t l^ilU.I|U^^ÜygSÆ1klm|UÀJ-)l1(^&.^f^..|p-.'ÿj^^ ^ Sp|^^ -ni ,n!.Tp. * Av.jÆ
I,e nombre de ceux qui travailloient à connoître les Plantes de chaque partie de la
jij'tcS
ljyjg,-d>.t fw^ î^ \ jÆ ^ l^ A ÿ U n ^ i i ) !o rr^i- us 1 W 'T jy^
l.l||,^!j'i;Biv-{jki i l- ^u r sik yltuiL ru^! _rc l . ^ i id>11/ 1 'ï^ iu jT k fi.a lL .liisW wm n ^ e u S ru l inon,
- ' r[r] 'XI ;ej||®rÉ \ ^ &4^^dmhiBifàtién\ de lar^ôjytncè pie
'mettroit en état de d^mérTdn^ouvrage au Public; mais
‘ mafï'qu^l fecqu^^ ^ a* prive :des V u îts dSa^ ^ ^ n F
êtoit ami du célèbre La Monnoie qui lui .adrelïa fa lettre
- du 04 Février 17 1 1 , £om\ ‘I I du nouveau Ménagiana 3 fur'
- ^erre ^ù -Parlement d i|
kï^j?11 3 ^lun ‘ ^es meilleurs Poètes Latins qui aient paru s
parmi 'les ’ modernes. M. d’Argencourt avoit adopte la
méthod^/les genres & - la .nomenclature , de" TourneTort^'
I l a laideun Catalogue alphabétique des ..P-ldnies^ de
-•■|r^ ^ ^ uatr® v°lumèf «Ht** doÆ^m^femaim'f^i^ut^æ
^ ^ ^ é^ e^ t|d e .^ |gM iu ; de- l’Auteur.- Cette ÿabjle. alpha-
bêtique contient toutes les 'efpèces de plantesj trouyées
<lanst4a^Pj-ovi^e4ledt^nonimî^^^Me^^'ou^lÂuteur
les a trouvées , le,urs vgrïus & ufages d’après 'TournefortI,
M II 7 a dans les Mémoires manufcrits adrefles à fe.u
M. le Comte de Montigny fur l’Hiüoire Naturelle delà
, Province ,/ un Catalogue des plantes; qui>r«croi£Fënt dans
au? environs de^îhâtillon.,...
M. Mérat favant Apoticaire-dAuxerre,, de, lAêadèmie
, d ex^ e^ yillé.^' travailleur "infatigable , qui m’a fait voir
le's' genres & les efpècès- de Linné entièrement traduits de
4k façon, a formé le-Catalogue de.;torôe^,»les ‘ plantes de
^ ^ ^ A ^ ^ i ^ æ é és':itûnat la méthoW de ■ ■ ^m a e ^Æ ^
mais décrites d’après Linné, avec la nomenclature des deux
M- > le! -tDo^etk^^^Kljj Médëdihà&t/ Semur. pofleflenr
■ d’un magnifique Herbier recueilli 'par lui-même-, & d’un .
beau Cabinet d>Hi^irê-''ÎNaturelle..,de ia* Province j a fait
avec- M. le Loéteur iîewo/zû? fon Confrère, -la Flor& du
Bailliage £ Aux ois 8c -des environs" de Semur.. J’ai fou vent
^ ^ b o r i ^ à y é è î c ^ jvîèilla’rd -^ fp e ^ ab le ^ ^ ^ ^ ^ ? v ^ o u | i ,
’ vent fe ,prblterrier;aiu pied» d’une plante rare-,^w.s’écrfen%
Do/7n/îe qpera jnanuum tuarum.'1Je cite
■ PSt entb0ufia'lme, parce que j’ai étc'Êémoiia du même fait,
en herborifant aux environs de Dijon avec J . J . Roufleau.
M. ^z/e«/2c -cfe'fîeq/?, dont^ îsTaturaliHêk regrette-1
' rontriong-tems'la perte &-ïeK0âMheü;rs, avoi-t cerifacré
à la gloire de la Botanique une^ v ille1 plantationaux portes
de Dijon ,coù,;il , ^ ^ p ^ p ^ ^ ^ à ^ ^ ^ ^ ^ s : ^ l l ^ l a n t ^
^ ^ ^ ^ ^ ^ à ^ à y e . c f i ie ^M e r r ë s ^ ^ g m ^ ^ j |^ u r ^ e Ë l l ë lk
leu r aitificielle. I l m’a fait préfent d’un bel Herbiei des
. Plantes de Bourgogne, rangées fuivant la méthode de Linné :
.fà ,'correfpondanee avec M. M içhaut fo n a n iij eft des. plus
M; Dumolin, Médecin à ‘C lu ô i, a en mamu/érit l’Hif- -
toire Naturelle .du ilfaco/z/zo/j '& 'd,u''P/zaro/Zow 5 avec l'e
Catalogue des plantes,.de ces pays.
M. Be/rtflr/,'.Confeilier au PrélîdiaLde B o u rg , aidé d e '
M. Commerfon, do n t ' i l . fera parlé plus ba s, travailloit à
raffembler les plantes de la Province de Brejfe. Ce Savant
avec, -lequel,ïj étois- en rejation toès-intime, m’excitoit fou-
vent aydonner l'â Flo re de v-Bp-urgogne, Sc me • promet-
^ ^ llf^ feC Q U fs .;.
- 'Mkmëw* Toarerre ; Secrétai■re-perpfé(!^aél, de lA c a demie- ■
de Lyon., qui a donné les Démonjlrations élémentaires de
Botanique à l’u>lk*ge,yd’e J ’Ê co le . Vétérinaire , imprimées à
!;an nées Xa^sÛ'eÇBntn'rt /J\
currù~PiUg.denfei dans lequel , il a 'compris -les iplantes^tlpi.,,
' croifif,n t ei^ & '1W p eu t voir par 'fon Catalogue
rangé fuiyant llo id rc 'd u fyCtêmeïfexu'el -que le h aut Bugey |
fbuEnit, des Plan tes Al>g ines „très-rarps.
|nifi,.iii lî & fon compatrïote^a pofée fur fa tombe. .P - i f/ x ^ i i r Cô2k M K fô ivM é d e c k ‘RnB n ife '
& Naturalifte du R o i, ’ né em r .ip / à Chatillon-les-Dombe *, à quatre lieues de H H E
annonça de bonne heure un goût décidé pour la Médecine & l’Hiftoire Naturelle. Il fit fes
cours 1 %ntpe lier&.H s .M. Sàlj^ge. t e pélèbre Linné qui entrete ioit des correfpondances
l f t o [ y ^ ^ 1 1'1 1 1 revint en
Bourgogne, où il trouva une e%èee d’y « W « m & la-clnataigne d’eau, (7>a/M «ak i î ,L m.)
fur les bords de la Loire. Il trouva auffi dans le Charollois le Sefamoÿes de Tournefort, le
.11 avoit formé un Jardin de
& il coopérait à ceux que formoient à Bqgfrg M. le ConfeiUer Bernard fon ami intime, &
iii^l i plufieurs excurfions fur le Mont-Pilat.
dans les montagnes du Dauphiné & les Alpes. Il étoit toujouns feul : car qui eft-ce qui aur.oie
k s fatigues & fe'>A*y^^âS|ââ£'
Il avoit fait une differtadon intitulée Manyrolot ; de la Bota, I , où il rappeiloit tous
^ 1 ’a Lande > Siue Miftorien de ces Marty 1
» jour. On l’a vu cracher le fang, jpr},4 lw|CT«'^|
» les cheveux fur un torrent, ilè f t forcé de jfe lés. arîacher peu à peu; tantôt prêt à fe noyer
» ou à tomber dans les précipices , il ejü: c 1 lige m de s’y precip tel pour t ' i v É a
» péril plu s évident, &c
I ) I ^e ^ - | u r f.TI^àrnph. J
lT 11. 11 : pouvoit oublier les
Iht ' i j -ÎMi -r^
■ -EU! Ê ’ jotifant'dans le ÎDauphiii ■, 1 fut inordü
,d ’im pHien q u o n çfatirctre enn ge : c e to it prec féi î e M ’l;
une plaie qu’il a W e B H 1 1
CMifa dé (î grandes, doulciire, augmentées, par l ’inquiétude
^dix danger, quc majgrc les remèdés^.ulill';lpHt.à la grande I
i .Clwrtrcufci II avoit, peine à fe roktpn'ïrI'iy-fiit obligé dé
C ox/ v l . . d u f
garder le ii^b^dam troîç mois. Il racontoit quelquefois
cette aventure, mais jamais fans émotion;
[a] I l s’éfoit marié en 17^0 à la Démoifeile Beau qux
■ 'd ^ ^ # S ^ ^ ^ ^ ^H |^A r ro 'u x v,j BèùM-du
- I en eut un fils en 1762 qui coûta la vie à fa mère. I l
{écrivit à M. Bernard de Bourg qui verioit de' fè trouvef
F f f f