travail sur les cyprins d’Europe comme de Celui sur les
espèces dii; genre mngil.\ tes distinguera-t-on bieii à l’aide
J$jf^ces j descriptions s à Tafidè même des bonnes figuras de
1 ouvrage que je cite* oû. faudra-t^il avoir-constamment
recours; a la nature pour déterminer ces divéraès* espèces ?
G est un aveu uü peu pénible pour un auteur, mais jelë
crois utile pour faire connaître'la vérité. Je pense que lu
recours aux collections bien étiquetées- sera‘toujours nécessaire
: les descriptions qui vont-SÜiype. sont faite^sur
nature, et pour ne.pas les embrouiller de-dputes queues
passages des auteurs pourraient laisser, j*ai cfrè*devoir .rap-t
porter ces peu de mots.s.ur le squalusâQ&ian<Âem, dans
un articles à part, pour ne plus parler que des objets même
réunis dans nos collections..
U A m æ s q u a l o . *■
(Leuciscus squctlius, noh; Squalius tiberinus, Ch. Bon.).
On r trouve en Italie, un able très-.yqifin de notre cher
vaine , mais qui cependant en est,différent., , _
Il a la tête plus longue ; le museau plus aigu ; la bf)uche pins
fendue j ,1a peinte de la mâchoire plus saillante.
La tète, du cinquième de la longueur totale, comprend Foeil
cinq foisi
Les dents pharyngiennes sur deux- rangs, dentelées,-et tres-s/rii-
blables, en un mot, au leuciscus erÿthrophthalmus. La dofsale« et
l’anale assez semblables, coupées carrément;-la caudale peu fourchue.
Les nombre? sont les mêmes.
D. 10; A. 4 1 /etc.
Les écailles1 assez grandes, peu - striées ; quarante - cinq- rangées
couvrent les côtesj sept au-dessus de la ligne latérale, et deux au-
- dessous.
La couleqrsest un. vert, doré assez.uniforme, Cependant plus* foheè
t sur le dûs. ,La-xlorsale !est plus claire que la caudale j les‘autres ha-
j,'géoires\.ont quelque? teintes ro,ugeâtr§s misées dans leur eouleur
X,ért-clair. I ;
j Jhdivtdus^§pnt lçpg^de huit.poqeesL $?ous les de-
yphs%a^,M. .Sayi, qui n'Qus les a adress^sous le nom de.
Lasca/BjLqm ne^di^^ep^liint dè qeiiX que nous tenons
qtique|é§. rite,;,'Ja;^uipin du prince Charles Bonaparte/de
Mussjgn^ngb*, j
■ Lé.biel/pp.vrage,de la c u n e qalïéraçie en,représente une
secànde. gjpMtér£/■
©Ù le ventre'est,plus argenté,.et dont les nageoires anale, pecto1
raie ej. ventrale sont rosées ; il y a du rose sous le men|û|^y§t .le
long! des flânes, pour dêsiKner Jes .refléts,irises,;, enVr.Qs.ejdè ce
poisson. , •
“On 'le trpuve.dhns le ;Tib.rè,.|et daiis l’Arnod'êa chair est
pefe. .ejsrim:©^ Il atteint jusqu’à tro,is d^res de.pomÉ, Les
dénominations romaines sôpÆ squale,squalo,qm squaglio J
mais on lui donn<|||fesi/en S ^ ^ n e -le nom de lasca: à
Vi&ïljè^elui de cavenoro, çt enfin celui "de Jiassaro.
X ’A ble1 a-lraïw.- ■
{ Leuûiscüs albus", Ch. Bon./
Le meure' savànt zqologiste a établi, sous le nom indiqué
dans cet, article, une espèce d’able voisine des pré-
cédentes-ii'!
Ce poisson a la boucKèrassez fendue ;,la nfâc’hoîré inférieure un
peu plu? longue ,xju& la supérieure |É || museauf déprimé et comme
ên coin; l’oeil assez grandj^doré; «on diamètre n’est pas cependant
le quart de la longueur de la tête, comprise quatre fois et un tiers