et à ce$ autres descriptions il faut joindre les citations
de ceux qui en ont, donné des 'représentations. Tel$ sont
Donbvan b M.ye Bowdicb1 2 3 et enfin \M<- YarelH, qui. ont
donpp 1§§ meilleures figures de eette éspëee.
Qq6^ifsqps,.:ôornmun en Franee^esti cité.dans In Faune-
de Maine-etTLojre par -M. Millet4. -Ce. zélé zoologiste a
cru même- d ©voir distinguer les individus à nàgeoLEes plus
arrondies/, et a pensé-retrouver en.' eux 1 e% ffyprinus rimi*
laris de Pallas5 6. Il en a publiée uneffigure dans, laquelle
je ne .puis trouve* aucun trait distiucüF4e*#m§s vérons
la forme des nageoires se retrouve .pluS/QU moins/,prononcée
, de manière*- à faire Kêntô^ çonclure que des caractères
à en tirer „ne-sont applicables, qu a dé simples .variétés/;
D’ailleurs Pallàs lui-même déclare, que/sân. Cypr.
rivularis6,réest autre que le Cyprînus phoocmü^ •Gestg.du
moins l’dpiuion du savant M. Tilesius j-^etqe mê*»ra|Lgd
tout-à-fait à cet avis..- 4,
. Bîpus suivons aussi cette espèeéten’ Belgique» -®ù' M.
Selys-Longcbamps a parfaitement obs.ejv,édes, change mens*
dérouleurs d'aspérités de, différêns individus selon l’époque
de l’an née, Lu manuscrit de Baldner en. offre une peinn
ture, dp mâle à l’époque^ou-de la saison, dçs^ amoubs, : il le?
nomme- Mçlling. Gela prouve^queFespèce-esuaûssi dans*
le Rhin et dansas affluens», en Alsace. File estïpgalement
dans le Doubs, comme nous, l’avpns indiqué pluÿ haut,
1. Brit. fish ., pl. 6q.
2. Brit. fr.'voaf. fish ., B Y aw T x fü . 5
5. Brit. fish., -p. 372-.
4: Millet, Faun. Maine-et-Loire, t. II, p. 729, pl. 6 ,-fig. 2*.
5. Faun.^ross: asiat., p. 35br n.° 238,
6. Itin. II, app., p. VJ7>
1. Seljs-Loneh., Faun. belg., p. 1 . .
et nous la' voyons- citée par les naturalistes de la Suisse.
La figure dé’M. Jurine est’ asèez'bonne'1} là même j^ypeôe
exfete fén Imliéyetqéne puis en distinguer le ÇypWLu-
maireuî de Bonnelli. LeWaag etfÀé^ autres fleuvefüe la
Hongrie noumssënt ce m-ëïne poisson, ’ainsi que le prouve
roulage de -If. Reisingerb-’
| "M.NordmanU j qui a suivi la méthode de M. Agassiz, Cite
éorrîfne différêns trois'sortes de vérons; mais j’ai- eu soin,
dans1 la' de’S'oription ''dix pOisso-m,iidie faire remarquer les
aceidèns ^offeri^ pkF’-la ligne' latérale , e-t quant au nombre
dt&'J'!pâille^ peut’- on -a dm et tre >que trois écailles déplus
ou de fnoins Vu-dressuis oü au-dessous- dé la ligne latérale,
quand elles -sont si petités’f peuvent-’avoif assfez d’impor- ,
lahed-pj'©®" distinguer comme"' ‘èspéefe les individus qui
plëShriténf ■ c%si 2^^!,i#^'0tis^i' 1
-Je në* suis p is ibêmJ très-*bèfr tain que l’on doive en
s'çpàrèW 1%,Gjprinifis cTfrjs&prasiu^T1 "
Fèlfs-T-fr# auteurs ^acéOrdent à dire du'véron que sa
éh'âir^sL^É^^ bonriei, mais qu’il est B4jeù meilleur à em-
p l ê ÿ b f d s o ' i h f i i o t pour le¥ truites, soit pour
1 # ^bfS^ls' p e r c ïïl^ ”1
Fàî dit plus -haut que le véron était foltpBmmun dans
là S'eùîe',petite rivibi^#ê la^oinmune d’Aribto ville- fCal-
v;a ^ ^ fï.î Fe"si féitè h i r ^ l '1 duëà' aüx sbins 'de l’amitié filiale
ontdàit parvenir a M. Râyer^lux*gérons, les seuls qui,
parmi un très-grand nombre*:, portaient sur la tête dès
petits bqûto^ de la grosseur d’une tête, d’épingle, d’un
blanc jaunâtre, formés paonne éspwë de petite poche
1. JurinefWiss. du lac Léman, p. 22g , , pK.i'4-
2 . Pisc\~Hung., p. 7 $ , O’-“ 20 .