Jfep:., I^S squ^-qrhiiany« ,, ;
aiw,si çue '.une pga^âgapse},'
on voit que les deux slus-orbUap^ et^vaftcéi|. Æojftriitfi''
dans les catostQtnes~^~sufrte bord -de;TÇRvr j . y
' Le pféb” ercule^Sf lâigepainsPqué 1 mWmpér^equi des^nd -
sôtis l’i s t h m e H P sW ® ^ d W 's ^ ^ l ^ r e ! ^ f r r a E S ^ e i v
La ceinture humérale esp p^-'for^dU’e^rîeùr^'el^éstpresque
tout-à^fait cachée sous le bord membraneux de rdperc’ûlh.^
L^jÉ^tq^ee%grand^et,^ue,^peu«^q.ué^ en fUiux; la vèntrâlè
est arrondie et touche,àTanalo: nageoire, assez lar^e. afronHie.
£t qui n’est pas recunæ sous^la queme-eomme cple des calostomes ;
elle n’atteint pas à la baiede là caudale. ,r^lle-r.i est peu échûicraej
lès lobes sont arrondis ;ènfin, la dorsale jestjGOurte'ét^quadrilatère. *
J : 3 ; jy. é ? î^ s^ 'p rfs ;-v.47.'
Il y a quarante-huit ran^e^oécafllesysse^rorlement s triees/Je
ne crbis pas que celles du d=Os soîêïïi sensiblement plus^pîti^y^iê^
vçeUesf, dest qqtés. La ligne latérale^ tF|ès-marquéi%vdesoendt du sur-
,sçapulai,p*yers le bord 4&àa Æçqtgrale, puis >elle*se4f).OMe*droit à
la caudale par l^njjigü d^Ja^auteu|.s g
La cp^u#l%qrg paraît- up-vert dosé. <^^ ^^elui'|die^n.osîtanchesi;
une bande noirp,4 è,gne^e lqn» de ^a^lignelaftéràle, euâl y nuane
■ '. tache .qgifeàt l^h^S,e de lagcaudale^ -i«
Le.ifoie iggt hs^upoup plu^simple. quelieelui .des;. ableslftMÉifse
. .compose de deux lebesy àypeù„ pjrèsf £uau«^ irièdreSfrtét;E<Mts; ,’eï
placés de ehaqM.icà^ ^ JË g ^ ^M tfËk^àb^éi^ia ^ t l l^ j^ i lc c ia w»
ses nombreux lobujesjpnne voit memeà l’ouverture de l’abdomen
que la simple bride qüidey réunit etquij^s§e "sons legiaph ragnie.
Llntestin Jest ^sezulàrgev. et ne) faig-tjue5 deux^ e plis, Lavvèsiie
aériènne-esLdouble, et semblable.agffille deync^^yprins.•.
Cette description fcst faite ’ d ^ r è s deux- indiv idus ë i ^
ti ère,me ntlsem b lab le s êt d e . même tà-ilfèf lJun ^èrivôy# dé
Philadelphie^, paf f - JÆ .^ e ^
OygMM.^fet";e^myjP'^pari IVb.^Mîl^ g ’t. ,11s ^0%t lQ®gSvde,tE)bis
pouces.îv*
•M» Cesueut a découvert èette espèce dans la petite
rivière Pipe de PËtat de Maryland : on la homme L ittle
Sucfier.' (be'■ h’èst pas cependant ^organisation des catos-
tomèsy. quoique son nom vulgaire puisse foire supposer
que ce poièson en ait quelques habitudes : M. Rafinesque
(lo ts cit.y n’èm parle que d’après M. Lesueur.
Z /E xo&Êôssé macroptère;
( Exoglossum macropterum, Rafin.1 )
- Je n’ai pas vu- cette espèce| et'l’on, peut regretter »que
la description de M. Rafinesque soit un peu. trop vagué
et le'dessin pas assez caractérisé pour faire bien connaître
ce petit poisson.
Il a là tête presque carrée ; lé front tronqfté, tuberculeux; la
bouche.'protractilej'/seusjun museau côurt et obtus; là lèvre infé-
rieur-e à cinq lobes; elle est pÿramidalé; l’ïris est grand et'doré;
| ,Ja.'dorsale.est plus près de la têtequfe de la queue; l’anale atteint
>,»à la caudale, qui esf fourchue; la pectorale est lancéolée, et atteint
, à la ventrale. Celle-ci, est insérée presque au milieu de l’intërvalle
, entre .'elle çt l’anus-; mais elle n’y touche pas quand elle replie.
D.*12; A. 10; C.‘20; P. 12. !$,
Les écailles sont très-petites.;La couleur, argentée, est variée de
noirâtre, et le corps est articulé dé signés, de cette teinte. /
M. Rafinesque a trouvé*'cette Espèce aux- chutes de
l’Ohipjv ou on la nomme Stone toter, à^cause des tubercules
pointus de $a tête. p (pst un tout petit poisson, long
de deux à trois pouces, qui ne sert que d’appât.
l.^Rafiri., Descript. pf'three new gin.\o ffis k ,, Journ. acad. nat. scienc. Phil.,
yoK I, p. 420,Sxî^ 2, pl. 1.7 , fig. 4î.(et oon fig. 3, comme le dit le texte).;