en a faitv®éGemmeo$yrqjuST admet dams ©es c^Mîltré^ la présence
de cette espèce. Pallas 1 l’a '.compté* dans"sa* Faune
de Russi# ® en gisant que la vandoise est surtout i abondante
dans les eaux de la Russie; s,ept çn^pon&le,*• OÙ telle
‘est méprisée et devient la proie d.ea|en(ans xâsife.
- Tous ^e.s;.^qJteursHa’a£Gojdent à dire^que la ^andeise
aime Jes^eaux vive séquelle nage >av.eq Rapidité, 'Sirutei* souvent
au-dessus de Te au,s©e qui lui a valu le Sfi^mr-de
jaculus et de dard dan,S\beaucoup d’auteufs^ou de^pjo-
vinGps de France; quelle multiplie b’eaueoup, frayanf en
Mai et^en Ju in, ainsi;1 que nous"4 ’aVQns s o,uyent~ Ofe^i^vù
dans la;*(Steine. File id4pias.se '.rarement u*ne;> ldy re.♦ Cêfl la
Suiffre du Rhône “éft la- Seeffre^du Doubs prèf de. Saint-
Hippolytëi
On a voulu de "retirer .la vçandoife, quiîesl
rtt^sF^rgenJ^e,de pigment blanc; edÿrillant, ||m m e onde.
fait.de Tablette. Mais.Tesfeene.e d’O rient , obtenue de^cp
poisson, a toujours -une., teinte ^grisâtre qui a\fait<abaÙiL-
donner/ees^esSads;: Cela tienti^ee que jlslpigmenUa igenté
est toujours' mélangé/de pomts'J)igmentak©s noirs ,-quiî^p
se voient 'qu’à de forts grqssi&emelïs^e-t-qulffal^serit par
leur mélaùge la pâte» argènteë-îque l’on .destine . çt "ÿrïcùtpr
les perf^s^;
Z /A bïæ ,ronzîo]$;.
^ rn d iscw rq a ^ à s^Agassiz,2 J
M. Agassiz^qùi.s’est .occupé avq£ non moins* de' suite-et
de succès- de l’étude des; poissons d’eau doune de-. l’En-
1. Pall., Fàun^ ross, asiat., III, p. 3i8, n .°2^6.'S .
2. Mémoire sur les poisson^ du lac de Neuchâtel, p. 7^'tal$ §3 "flg/i.et'a.- ”
tope^Gentrale^que des*,poissons fossiles, a- reconnu q u e ,
sous, -fat dénommation à ^ fp rim stleu ch cu s, la plupart
des^atuteurs .confontfeient,plusieurs espèces distinctes. E t
appliquan^par^eulièrement >son attention aux especes du
4a î># |NB ia cbâte l jÿil aVfaiîlv^Ànnaitre, dans un mémoire
iLfséBéilpâ*mi4#e'fx de d ;É iSo c i# é id ’histoire naturelle de
>aette v ille , ; -trois» espècesrvoisines qu’il nous a commum-
4ü è ë s# ë t q f i '- s o ifa i'e ffe t distinctes de la vandoise que
je^Vîete-ide déerke.f | p * u,t •’
Ilf^rjioïnmé larpremière (Lt&uciscus rodons >
‘dd#la'<Ha&lS^^ d ii^ ô is dans ladofty
,gUétk totàleMUé.de la tïte^st'-ün p'ekjfràs* petite ; les^ dents pharyngiennes.
sont ^ ^ u n .: seuf rang et légèrement denticulée^ le
i l i^ a u « ^ paraît; d ’àjilçsTS, plxis^ond, b bouche moins fendue
^ r°rsa e
^ S n e l ileH H 9 ^ f tU ^ p o jn tu r ■ enjyahc
R* WËÊë ÈÈÊÈÈÈÊ
Je^0impte quara.xite-cmq à? quarante-huit rangées”d’écailles : elles
sontiplus petites que celles des espèces, voisines. La couleur .est un
^ert^têndre, agréable,, et fondu. dàns%¥af genté du* ventre /le tout
gîacVde'bieu.^ui paraît surtout par r|JèxirutC quand le poisson
' ëst Èois’de l’^ u . M. dU'4»à T’époque du frai le corps se
^^cOjlyfepe4nomèwusel taches d^^igment noir, qm disparaissent
âptls la pcmte.! J
J ’ai fajt cette description sur un individu long de huit
pouçeL* 4ui a ®té envof ë de Lausanne au Cabinet du Roi
.par .M. Majora Le même naturaliste a-égalèmént donné au
-Cabinet un poisson de^ç#tteijsspèce et de même taille,
envoyé (^u la cM Zwg^e%.:finfin, je jprç&s Revoir encore
rappdrtér à cette espjbcfeun individu plus petit, qui faisairt
partie d’une collection fait©1 sur l’Elbe par M. le professeur