la vois .disparaître a v%m JànaJ^egî sj+f .d’aides gg|y peu Ip-ès.ÿanaleU
mais je -n’ai ^rpuvé qu’un seul exemj^.l^ëijbrj plu sieurs j,een tain es
que j’ai examinés^sqt^xie ibpifit,d^ue, qyi optpne'lkne .latérale:
tracée jusmi’a la base de fa caudalef;et^çBico,re ellp' ne pariFsl^^plus
sûr des trois ou'quatre dernières éGaillesRmo’^m^-ef^scmt tres-
jîétites,-]a tërminâisèiî patâis^f’lptè^dt la Hase dë lt'Gaudâîé.’ la
mçne“ ch'oseïàyàrt lieu 'sur uûé cê^jÿ^éïoi^en^e^t^St^ilé'sâî«4
sible. Ypilà dope plusieurs abîés^qui offi'ëri'Ljgfttë variation àjiîgü-
lière dans-leîtral^dg la ligne latérale, dles ‘£0,uieÜE,s; du'jffiêF^q?4?ont
; /assez olies q u v i t ' idains et. su r
fond, dé^dcg II est d’un •beau.b.gonge' d^ré^sur le^o&jliaune,'^apgé
soùs le#ventre; l^eorps.feindrafëlfej>ar dés bandes v>u de grosses
- ‘faites *nO®rè^foiât le-dorpsTest |abpd-un nombre éorîsid'êrà 1) 1 e,( 1 tf
'ptfints jp?gmentaWe^oiris ; tOuT^de'TàèufW^^^ènt d’uïT feku
• rixiîgê de 'minium.' La Jdtlrsâle eêtf g'^fe'^Menèl^^ë^ptlirfî^nM'rs ,
mais! plbsapi^ûi%ntââ^s- : la Êéaujyp|^ës't WrfHcommlIfê^d'e^^es
p'ectorales'îibnt’jaunâtres ; les .venérales'et' l’anà'llf rSiigé^'pMs^bu
'moins or&jËiD’ailleurs les'tèij^^s parient b^péitup selon la sâi-
sdft et^nlen làrnàfSre^Èsséaux::.'j’ai ^loif^nr’vu d£sfylfdnV dans
la Seine ést cèpèûdânf mdïhs nbcnu-la'nfe1?jôe(fâns*-
’^dàïft^^étkfes^vîerèà^Ws en^irOTs^H;l ,aiis ,'H]tu, tiaiént'‘gns-
blafîd ,.,§|nS^afi^béi^racà':^^®dü^e nï de j^une ; d’autrës^élàient
jaunâtres sous■ les parties inférieures.
J ’ai .trouvé ,iebez nos vértons, riÊf foTè" pbtîtylffle^^^Sir^ü“ ffél
assez grosse ijl^ çanal intestinal replié deux.i'ois'SsûïTlui -rbfcste'éNé^
' ^àcs ovariens toùjc^^ très-jlCTolsogp’és; Trente^-cinq' yèftlf>«pÇi la
-1: J onne vertébrale ,; dont- Veize^portent' des c^tès^ffiifaul',ajouter
au nombre les tr^s^vertèbres tautéri^u^es qui soutiennent lj\ejssie
. aérienne.'
Sa taille, toujours p^tite.^neMg^^.pas -ordinairement
trois- pouces jst demi. Il me parait . cepçndaqt^qjjO}?Claris
quelques lacs; de la Suisse elle devient plus graifde^gar
M. Mà^i^iat'ërwri^pu Cabinet s du lloi un vérori du lac
de’Zugr long de quatre peMcês deux lignes. C’est le plus
grand individu qùé j’aie jamais vu.
- 'Une des/riÿtèrps, des environs djô Paris où j’ai observe
le 'f&ônT en plus glande quantité,, ?st la Levrière, qui se
jette dans.l^Epte, uiï dès affluens-de la Seine, entre Yèr-
noneC les Amlelys. IP y en a âùssi beaucoup danis l’An-
delle, urPdes affluons de Tlÿrre, et'qui. coule au milieu
de la'riante vallêe1rde Fèeury^sur An de lie.
è'ât pîùs abondant dans la basse Seine que
dans la Haute 5*je rafiauHî d’amres petitès rivières .dè Normandie,
près le Hâvrè^, ou dê^Hesdin; par MM. Lesueur
ou Bâillon; mon-ami,-M. Rayer; le trouvé en abondance
dans la ‘petite- rivière de la Seul« jfqui fiasse à Anctoville,
entre Yilliers et Caumont, et va se jeter dans la mer sur
la 'côte de la bâssé^Normandie. '
• Or, d'ans toutes 'cés eaux 'les truites »abondent, et elles
s*en nourrissent ayeç'àyidïté. Il y a donc association pour
condition naturelle d’existence entrç le véron et la truite.
. Je|?TO^"|»ar&i les nombreux individus que j’ai réunis;
que, plusieurs’^ vêtons, se ’couvrent de tubercules épidermiques
sur la tetél;et sur le tronc, rcbmrne nos brèmes;
npsîgardoüs et un grand nombre-d’autres ables. Il ne faut
pas d’ailleurs confondre ces tubercules avec ces-petits dé-
Çfiits et figures- par M. Rayer dans ses Archives de médecine
| cémpàrée. ï '
-, Le CabinèlT:du Roi en.a;reçu;du lac de Ballon, de
Gkiebwiller dans les Vosges ,lqù*an le nomme E rling -ou
E d in glé; noüs eu spmmes redevabiès à M. Duvernoy, qui
les tênait^ur unè demande pour connaître le E rlin g , d%
M. le D.r Lereboullet. Nous tenons encore ce poisson du
Datiùbe, par M. Agassiz; du lac de Zug, :par.'M^Ma}0r5
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