y a également une autre figure dans la traduction allemande
par M. Creplin1 de richthyologie des deux savans suédois.
;Ces deux auteurs ajoutent à la synonymie de leur cypr.
iduSj qu’ils regardent \e<cyprinus idbar'us à è Linné comme
le jeuuêdu cypr. (dus, etdls rapporten#à^ett^ge lë^37?/’-
mieroiepiilotus deM. Ekstrom; et à en juger, en êffè't, pat-
la figure® de-la traduction par'|l..;tgi-eplin, et quêtai sOùs
les yeux, je me range volontiers aux^sentimenk- de MkFèies'.
Cependant il faut remarquer que, selon“ M. Ekstrômf-ie
cypr* ijnctoïepidotus reçoit des* pêebeurs suédois Un n om
particulier :.‘als l’appellent Lennare. \
L’Ide est aussi indiqué'dans lIchthyoio^ef%a?ntlinave
de Mi MilâSdn1 2 3,’ et il es tf très-répandu dans leseaux douces
de lEurOpe^.pùfequil se' rericontre en FraU§pijusquèid&as
la Somme. “Nous Voyons cettet espèce citée dans la E^aunh
belge de M. Sëlys-Longch amps4; mais cé naturaliste crdit,
d’après les dotes qui? lui ont-été transmises par M.'Hfe^ïel,
à qui il avaiu-eiiv;oyééses“€yprinoïdes de Belgique^pour en
recevoir ses.conseils éclairés, que M-Meuse nourrit deux
variétés'très - distinctes, que le sa vantf-ichthyolûgiste bde
VienUe-.considéra même comme de deuxyte|>f$M.;<La première
, à laquelle M. Selyè réserVe-le jiom de. leuc. idus,
aurais;
une anal« dont?4e nombre des rayohs variej selon des différens
-individus;■ de:douze à quatorze; soixante écailles à lafejigne latérale;
et la sêcôüde variétë, que M. Selys nomme leucï negleetus,
comffrèndràit les ides
1. Fisch. von Mork.^cp. 5, tab. I.
2. Idem, j>;i8 , tab. II.
3. Prod. ichth. Scand., p. 27, n.° 3.
4. Faun. belg., p. 208, n.# 26r-* ‘
«Pj quatùcze*rayons à' l’anale, et -dont la tète serait un peu plus
lpogiae^h ©ojps plus aloagé-^la bouche plus* étroite, les écailles
.. un peu-plus grandes ; car *1 nîen’ compte que èiflq.uante^cinq le
fcyn g d e -1 a lignet latéral«. ,
Cette différence;pesl véritablement bien légère; et d’ailleurs
M. Selys,expose ayec tant.de clarté e't .de conscience
littéraire *ses doutes,queJ.%n,ne peut faire autrement-que
de se rangfe^^fé|4on avis,.,' en;confondit les deux variétés
en une seule, espèce* M. 'Heokel lui ,disait que la c,audalè
de la t seconde variété'est plus fourchue ; observation qui
-réva pas^fcappé M. SialVs^yet qu’il napprouye pas. ^Ge n-e peut
dJailleurs, en aucune,façon,-être 1e cyprinus J^ses de’jBloch
ou le Aland „d,e Berlin, La figure de l’ichthyologiste prussien
eycel|ê|ùe, et prouve" qu’il a connu, comme
uLest^cilCj.deJe cyoire, le cyprinus .Jeses., Je vois, d’ail-
leuïi^îjipar de;; -Jj-eaux exemplaires * venus du Cabinet., de
Vienne., sous le nom de cyprinus Idus, mais qui sont bien
entièrement -de l’espèce jdu, cyprinus Jeses, que dans le
Cabinet deyVienne les deux espèqeStpeuyent être confondues,
selqn le sentiment dff M. Heckeb**
L e cyprinus Idus de Siemâsen,.Vest-il bien hotre poisson,
op celui de BIoèh&|S’est ce qu’il faudrayérifiqrésur nature;,
parce que ,Siemssen dit que les*-écailles* sont un peu plus
grandes que ^celles du Plôtze j^cypr. erilhrophthalmws) :
«f| qui me paraît les. rapprocher de la grandeur indiquée
par Bloch. : Il le dit originaire du lac de Mecklembourg,
le Schaalsee:
Je ne fe ' érois pas mentionné dans lés- auteurs qui ont
traité de richthyologie de la Suisse; mais M. Beisinger
1 . Die Fische von MecA/.y'pÿÿJi'ÿri'.0 8.