sont simples. Le4éernicr;est ;ïnoindre que le tiers du troisième,
qui est ,4e plus lqng. La. distance de l’ànale à la caudale,}n’est pas
si grande que la hauteur de la queue. La caudale-'est fourchue,
mais ses lobes sont 'égàuxJ&lIe ^"vingt .rayons,, dont les deûx supérieur
et ïnfénèur1 sont simples , ■ 'tous' les autres sont“ branchus," La
pectorale est’,,m^^ncpre^elrè a seize rayons/La vëntlràïe est-un peu
plus petite qu’elle ; on lui coînpte'neuf rayons, dont le- pretnier est
■ simple^Ls^wonf attachés très en avant de la dorsale,à une distspce
qui. est une fois et demië dans la longueur du corps. |p
D. 10 j AT 28; €0 1 9 ; P. 16; V. *9.«/'
i F ÿ a dans sou aissellenihe ’éteaflle'pointue triangulaire^'plus
grande que cellësqiie l’on voit ;à la brème. |
La ligne latérale èst nue, presque droite, légèrement .courbée
en bas : elle, est placée,très-peu au-dessous de la moitié, du Corps ;
elle est ntarqqéé par üne suite de gros points relevés' sur" chaque
écaille. .Les écailles sontrplus grand es qué-^^nfes^qe la ‘Êrème;%n
’’én compte quarante,-deux dans la ’T^gumi^et' q'ulnze clahsda
haùteu? : elles soiit striées11 domine cellæs de la bv8mër~Là couleur
^gétieràle est d%n beau blanc d’argent a'rêflfet^^TOFés, avec unC
teinte .verte'sur. le das/ vLe dessus de. la tête esJLvert ; les nageoires
verticales sont noirâtrés-; les peotorales-et les ventrales sûntjirou-
güftres. L’iris de l’oeil qst argenté ; le tjers de .sa partie supérieure
.est -d’un beau vert ,m,êlé,,d’or. Tout le corps- est marqué ~ d g p ès-
petits points noirs, que l’on ne voit pas dans la'brèmç. Lies*!èVres
sont blanches. La langue est encore moins visible que' ceue de la
brème;.
Les. viscères ^offrent pas de différences'notabj^^yec
ceux c£e la brème : quantj^u squelette,! a
je trouve quarante vertèbres, quatorze, côtes ^seulement! Le dessus
du orâne est méplat, au lieu d’être arrondi ; l’apophyse épineuse
de, la troisième;vertèbre est plus étroite et moiriS profondément
fourchue. Ce, qu’il importe bien de hotejçjl c’estv que les pharyn»
.giéiis ont'les dents sur'deux orangées,--cinq sur le rang-externe
et deux sur l’interne.
»Outre ce^exemplaires, de la Seine,' nous avons eûcore
cbmpâfé entre eux^eeûx que le Cabinet du Roi a reçus
de la Sommefepat-M. Bâillon; de Strasbourg, par M. Ham-
ml§|'<die.fElbe , - par MM. Thienemann 'et Nitsch, et ceux
que.j’ai moi-même pris dans l’Escaut à Çand, dans le lac
dè IJarlem, dans la ,Sprée,„ à Berlin, §t dans, le lac de
Tegel chez-M. Je baron de Humbolcjt.
| :le n ai pa^Aai d’individus qui dépassassent un pied ; et
ceux de^eette/taille,, danst? lagjSeine * onr dans la Somme,
sont très^ares. • *
Le nom le plus commun que les pêcheurs de Paris lui
dorment, est celui de harriot; oji entend dire aussi- quelquefois
hazelin. Ily-fraie,, depuis le commencement de
Mai jusquà la ira;/de Ju in , ét/ordinairement a trois
reprises,différentes.Les eeüfs Sont tous séparés, et déposés
dans lesrràcines detsaules lej& dansiesherbes. Le male n’a
jam a is le corps réouvert de/fces, .verrues que l’on observe
stir les -brèmeSi £
Je.ne vois pas se poisson compté dans les Faungs les
plus septentrionalësÇde l’Islande 4ou du Groenland ; %iais
redevient commun en Suède,. orfron le -nomme Blicka,
Braxen. panka, Braxen blicka j dans le Smoland ourdit’
Braxen flicka, et en Scanie.^selon M. Niïsson, on nomme
cèttfeespèce Bjelk. Selon Linné et Artedi les noms séraient
Bjorkha, et selon M. Nilsson, Bjerkna ou Bjàrk-fisk, et
aùssï Blicka. MM. -Fri^-et Ekstrom disent , dans leurs.
Pqjssons de Scandinavie, Bjôrkrian. Ils en donnent une,
fort bonne figure coloriée,<et discutent dans leur description
la synonymie de ,oe poisson d’une manière complète.
Je dois cependant faire remarquer que je n’ai jamais
observé,isoit en France, soit en Allemagne, les. nageoires