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^Leutàscùsrvànffi6isütiisi nob^ft
Une antre espèce,, due ;pncoré à M.
a lejGOtpS .alongé-et.çomprimé; la mâobt)£r;§ inférieure plus longue
que la supérieure,^ les dents phaiy,pgîenne^ef|pKue&? sur deux
: .T|n4 ^ s >. de :cjnq‘, <în; vok*‘qie-irpôHs|pn
ressemble à 4atre La bmléu^mesu re
le quart du iprps, n On compris fa^laudalé^'têtè'a ia^^be^lon-
güeùr ; la caudale est; cfeurte ellëi est* ciulj îSîs^^^’enîie dans la
| longueur t-oMe;;’ TafdiyÉsaîeWaît ?àu miliêüridéiïa-d‘istàd<îeJdu-bout
du'mireesta-à la, fourehe', de la -caudale M elle lest semblable Scelle
de notre vamdpiseq 1 ana|ë a-.aussi -de.la r-êssemblancel*.
D. 10; Â.
Æiès.écaJJjtes''paraissent*plus petites; la'd%^ lr«éra]e a laMdêmé'
• direction; il y a^quai^nte^sept rangées? drailles sur Je-; c4t|ê-? huit
I au-dessus <çt trois, au-dessous-cte ladigne|faték%le.rs- i
Les cblilenfe p ï u r a i j t e n t . ê d e no^Vandoiscs.
’^ ârlongnçur de rindmduesï dtsëÿtj'jJoSS?*?
'Z/AbLE -RO-TEN GXpÿjEi:—
sv r_Qtép.guhis, np^Mfeÿÿ
■ retronvons' auSjSi une espèce Voisine,^e no^^ro--
tengLéS^ parmi les;.p,oissons. rapportés "par M. Base.,
Le dos "ésf^très >- botnbé ; le yentrèr efct presque dfbitj-les mâ-
' cboires-s°nt^ égajfes^ les dejtts .pharyngiennes sur' deux rangs, -.au
nombre de cinq M de"deux, otitda couronne dentfcuîe^ La^Êaï-
tetir est trois'lois et demie dans là lon^ü'êür¥otalë;1 la dorsale "est |
un peu reculée.
D. 11; A. 11.