avec celle d’un petit saurien ou.d’un chalidet Ce savant zoologiste
lui a trouvé pour caractère le plus saillant, entre tous ses_conge-
• nères, d’avoir les- nageoires' assez longues et trapézoïdales.
B. 9; A. 15; C. Æ8; P.’lérV. 8 ou 9.- ‘
La couleur est un vert jaunâtre, sali de brun sur Te dos.
Ce poisson est peu diffëréiyr du la iSardella bianca du
lac Persile ou Pesile, qui a cependant la tête un peu. plus1
along-ée, eé^qui dépend de’ la longueur du museau, dont
l’extrémité ëstéloignëe_du Bord de l’orBtte d’une fois et
un quart le diamètre de Loeil.
i La çquleur ^générale est argentée ,_.avêc des teintes vendatres ou
jaunâtres^, sur le dôsgüné bande grise; longitudinale s’étend de‘
l’opercule a-la caudale. Les nagpokjesJjsÔht pâles à "teintes jàùnâtres.
- 'Cêtte dispositîon-de^èouleuTS'rappelle eelfes des' Leu -
ciscus mutrcellus et heûciscus Savighyi. ' M ÿ ’Gdsta ‘ l’a
observé dans la petite rivière, de Staffoli ,f?et dit qù’ôn
la confond" avec les autres poissons blancs, ,et surtout
l’ablette/sous le nom^fe Sardella. L a plaquê basilaire,
représentée ta_b. X IY , .e r jet e 2 , a une forme patticulière
et remarquable par son écbkncrure; elle pço’uve.'que cetfe,
espèce e s ^ ^ e n . ^ t in c t e de tous les aJjlès id^nt nous
avons* parlé.
Ü *A b l e h a ch e t t e .
( Leuciscus dolabratus, Holandre.)C„
M. Hojândre, bibliothécaire instruit de layillé de Metz,
et qui s’est occupé de publier unç Faune du département
de la Moselle^ a distingué parmi les- ables une espèce
qui. a
la hauteur, plus forte que la .tête n’est longue, est comprise cinq
• * fois- et demie dans la longuéur totale du 'corps. L’oeil est gros et
. ijsit^rév spr^le hauti.de$la^j 014e : son diamètre est compris trois fois
çt deijpie dans-la tète. La mâchoire .inférieur? dépasse un peu la
supérien-rje „qpand la. est ouverte. *
/f. D. 11; A. 13 oail4,|©|é. flfë
quai^tg-cin# écailléy^nsTa longueur. .Tout le poisson
est cl’un bnl argentef grisâtrjB.'.sür le. dos; il y i un peu fie ngir
• *dan's dâ^fôurche de la caudale.
1 J^ûus^avô.ba^^^.un individu d e s p ' ë c e , long de
guàtfe/goue^ét demi, parlek'spins de^M.-pelys^âe Liège,
et qui priffgaïis la M. Sélys lmdiqgë. comme
un poisson rare; M. HolaMre l’a?pf^(j^.yert‘ dans la Mo-
^Mlëttet%ès affluens*. : on LeJ prendrait au premier aspect,
^ffeàuse dalèdW éclat^ar^snté, pbur une ablette, mais lé
nombre^d^l^fayOns Ten distingue.•.
Z /A ble oChroo onteI-'
W^p^eÆî^im>oêhrolddn; Agassiz.) V
J e ^;Or^i|\ re'ti;0.â;ver^ parmi les ablettésrque M. Nitsch a
eny’dyee^'de l’Elbe, le poison dont mon aini, M.Àgâssiz,,
m’a;érivôyé Mfdeàsiît sous le nom düAspius ochrodon. Ces
individus1 offrent aussi plusieurs différences“ sensibles avec
l’ablette .ordinaire etayee l’alburnoïde.
Ces poissons. ont le corgs plus large que les précédens, ;car la
hauteur n’est que le cinquième de la longueur-totale. Lé dos est
plus soutenu derrière la nuque;fla$tête,est plus,courte que la hauteur
d%eoVgs. Le museau .est plus gros & pljs court ; l’ceihesfe:
moins grand, car shn diamètre est près dé quatre fois dans laion-
gueur de la tête ; les dents; pharyngiennes, sont dentelées et sur
deux rangs »^omme celles des prvécédens, mais elles me paraissent
plus hautes; l’anale est plus large et plus haute de l’arrière, parce
que ses’derniers rayons sont plus longs. ,
D. 10;'A. 19.