du museau de deux fois son diamètre, La hauteur du tronc est
un peu supérieure à la longueur de la>tète. ..
D. 12;
Les écailles sont assez semblahlesï«itssi celles ïi§§fharhfeau,
mais elles sont plus grandes; j’en:Gompte quarante, sur le côté^dâ
ligne latérale est peu marquée par le milieu ide la; hauteur..
"Un grïvélé grisâtre suiplia fond gris-jaunâtre paraît être lamou-
leur du poisson.
Noês?fâdivMus‘ ont J8ix policés : ils’ ont^té ënvéÿés- de
Madras, soit après la mort d?è M. Duvaücel, !oit âpïès
celle de M. Jacquëmônt.
L e C H O N DROÜÎT OME P§§i Du'VAtfèEE: |f
* ÇCkondrosionîa DuvauceUi,
L e même zélé et rcburagëux voÿageu^avaijt?«'aÎAS^ rer
cueilli une belle espèce que; je ne retrouvé dans aucime
autre collection. -
Ge poisson ressemble-au meunier à s’y méprendre,par lâHç,pjne
élargie de son"crâne, par | | brièveté du rnfe|pm,quîjest arrondi,
et qui ne recouvre» plus la bouehe comme dans les précédons.
Sous ce rapport il s!àoigne beaucoup du nez ordinaire, puisque’
la bouche est fendue à l’extrémité ; .cependant la lèvre inférieure
v est .encore cartilagineuse;%la supérieure l’est aussi un peup les infèr-i
maxillaires.soiîtèncoTe élargis, et les dents.pharyngiennes |jnoptfent
aussi, par leur ressemblance avec celles des autres'espèces.*» les, affinités
de cette espèce*avec,les précédentes. J’,en compte, trois rangées:
l’une de quatre, les deux autres de.tr,ois. Let cc$H>onne^est milice
et comprimée. D’ailleurs. lo profil du corps s’élève par une courbe
soutenue; la tête égale, la- hauteur du tronc et le cinquième|de la
longueur totale;:;l’oeil n’est plus 'éloigné d« boiuL-du museau que
d’une fais et demie le diamètre, et il est distant de l’autre de deux
diamètres et trois quarts; l’anale .ést -très-cotffte; lajlorsale, aü
contraire, est longue;
- ;C,HAP. XIV. CH.ONDROS,Ti3¥ES. 3 0 j
B |
Il y atiq^rapte écaillesfsur',lpc©té9,la; ligne latérale est,très-peu
marquée,;.la couleur.,, *est uniforme^Fgenrtée^, :
‘ ■ Kmdividu a hiàitpôtîcës dis ldfrg : il vient de Madras.
Le C HOiBD ROSTOMEipE; DkeEON. ’ .
-^C%onak'ofto%d' DÏÏlonîi, nôb,)
oici encore|..jin^cbondrostomei»©friginaire des ejàux
doii^^ d’Abys^êié, qui me pàraït une dé^ises espèces
éri4an%èïÇkfe.yp|^^ que les' dents
pharyu^eduies peutènt tl%s-bien ’servir caractériser les
espèce!, niais neMemeefelësr genres ■ de#?cfpfiuoïdes.'
■* Ge poisson^rèfsemMæ'," parison .faei^s', 1 " plusieurs de'rfos" barbeaux
de l’Indecorps trapu ÿ(|oTÏvêrt dè gra&des: .écailles, avfec
une dorsale?' ;etr une%iale courtes-, IpréÇétM diu»» gros» et fort rayon,
et dont les pharyngienne^ ^[i|Êènenfl|.eb des Idènte'dd chondrosîpme
^yAlUûrpp^, et de celles des ,jè&]aèceydê ,1’Inde. Le profil du dos,
^ scuitenit Lusgu^âla^rsale, ^hâf4fe,sur.la, queue;.La courbure du
. Rentre est f(St^et devient le pluqfô'ènvéxn au-devant des ventrales.
La .hapfeu^ a,cct éb'drpif Æf'dü' qnart^cïë la longüéur1 tptafe-, et
âu'rpali®^dexprès d’un^tïe.csm epè ue lancier - ^
La dorsïlë .es't avancée-sûr« la première « S t ic du dos^* l’anale
tuë^-étroitè; la Gâucfale pèu J(^a|glapei'ÿif
B B H j j
Les écaàüqs sonj grande^,, au nombre de trente sur le opté ;
la ligne latéral^.,es^Mtdbe. par^ep bas aria région pectorale, et
droite1 sur le reste ,du corps. Le poisson ësàplombé sur .le H as, et
argenté--sons le ^éhtKé’ t
' Le mus,eâu est rond et obtus; l’oeil a un diamètre qui égale à
- peu près le cinquième de »la^têie il est haut sur la Joue; la bouehe
<i est, fendue en arp, dont les;extrémités descendent brusquement
dans l’anglej dp la b ,p unité ; _Ia lame>pornée de là lèvre, inférieure
est commè celle des .antres çhondros,tomes, et les maxillaires, les