hauteur est comprise trois fois et.deux cinquièmes dans la longueur
totale; Le, museau est obtus .0 ^p p^p é; r l^ oùgueuR?de la têteiest
cinq fois et demie daq|da longqtjir tQtilf j i ’oeil, ^igUjér,du bout
du museau d’une fois, son ^diamètre» est âssez grand • JA n ’^Lpas
toqt-àffait.du tiers de la longueur qé.la tête; la fente„q&d’Quï.e'est
en arc âss'ez régulièrement arrondi;Je profil du dos monte par un?
courbe régulière1 ju&qu’à là‘ *bâsè du premier1 rayon dé >la cforsale,
lequel ëst implante' ëùr5®e nhlièif d ¥ sîteîb^arbeebtrê 1^ 1 du
museau et la naissance delâdaudale. La longùeuf tle la nagéoirfc
égale, à peu de chose prèsj la hauteur du second rayon, et. mesure
1& cinquième de l’ar-^ entier du dost L’anale, beaucoup îpliis^en
. arrière que la dorsale'« *est aussi un peu, plps.Jongiie. La caudale
est peu fourchue; les pectorales sont petites; les.ventrales touchent
à la naissance de l’anale. .
D. 10; A. W d j 9 ; P. l | f v . 9! . *
Les écailles sont minfcesy striées, péu adhérentes. J ’eri trouve
trente-néuf rangées entré l’ouielég la caudale.
' La ligne’ latérale offre une différence remarquable entre elle et
éfllè^uês autres Ellé eSÎ éxcéssivemerùg{:ouri^fls&; ellè se
montréi bèbimé à Fordilfàïrè j%ir la pr entière ecSâïTe^jui su if^ ^ fr -
‘ scapulaire, par ‘une petite - tubulure un'^ül£f jaunâire ; elle paraît
descendre ou»s’infléchir comme celle dés aùfreÿ ables, mais elle
■ j s?arrête subitement à~Ia si*ième: çcaille. Oja ne ;peut la suivre'plus
loin. U me paraît que le dessinateur de M. Agaçsiz h représenté ce
qui existe-de *céttè ligne, par les deux traits indiqués'-sur les-premières
* égaillés;'
Cependant sid’on po ursui t, par la dissection, le. rameau
dp nerf de la huitième paiï’ë qui, suit le raphé médian
des muscles latéraux du tronc des poissons, on le; trouve
aussi long, et dans les mêmes conditions que celui des
autres ables. Je. .suis.«entré dans çe;.detaiU sur çefr organe
.remarquable de la bouvièreparce quil. prouve que Bloch
s’est trompé en ce qu’il a dit dé la ligne: latérale dd ce
poisson; d’un autre ©été»* cette ligne est si courte, quelle
ÆMdtepp^a un -ttès-haBire‘observateur. M. Heckel * a nié
l’existence d é ’eëfle ligne latérale ^ans le poisson. J ’ai cru
devoir aussi insister sur; là présence du nerf que fai'suivi
sans difficulté,.parcq que }'è|crqis que Ion a généralisé trop
vite \$s, rapports dq cette branche $e nerf de la ligne latérale
-iivqg ,cet-organe glanduleux; oHi plutôt que l’on a cru
qu’ilg^ a entre la ligne latérale 'et' lë nerf plus de liaison
qu’il n’en dxiste effectivement.’ Souvent des branchés assei
fôrtdsf'ét 'tisàèz longues dfe^cé nerf suivent lel?tofps sous la
peau, sans qu’il y ait dé ligùe laftéralê'^ét^ dans le cas dont
il $a?git ,-ucëtlë âbsence* a lieu sur le trajet" présqlié tout
qntier du îh'erf.
La couleur est, verdâtre ou brunâtre,sur le dos, selon la nature
du fdndVet argentée sousde ventre; les nageoires sont transparentes
et teintées dé verdâfre, avec une .lisière niai terminée et quelques
petits traits noirâtres sur fe bord de là caudâle; mais il. faut remarquer
que, pendant le teûips du frai, qui a lieu dans la Seine depuis
le'rpqis de Mai jusqu’en, Août, ,1^ flancs et le «entre prennent une
jd ^te inte laque et rose pâle, et que le long du,milieu du tron-
v çon de la queue il y a une petite bandelette bleue plus .étroite en
avant, ou comme pointue sous la dqrsafe, qui devient, par l’intensité'de
Sa<’couleur, un véritablè ornement du poisson, tandis que
- cette bandelette est à peiné visible pendant le resté de Fannée,
M. Agassi» l’a figurée sous ses deux livrées, ^L 4B, n.osi
et 2, dans ses Poissons de l’Europe centrale. .
L’intestin est’ pelotonné sur lui-même en faisant cinq circonvo-
ïutiShs ; il est très-étroit, aucune dilatation ii%;marque l’estomac ;
les autres viscères ressemblent à ceux des cyprins en général.
Irk rO jF& m ., i&36,- f:ili;»' p;'233f tab. XXI.