pectorale; la peau, qui est aù-devant de la.nageoire, est épaisse et
nue, de sorte que sous la poitrine ,tquiïesnplus large qu&dans.les'
autres abîes, les écailles s’avancent par unesimple.bahdelettesétrpke
jusques sous l’isthme<-de& branchies. La pectorale? est d’ailleurs, arrondie,
courte et large; la ventrale, plus petite, est de mêjne forme;
la caudale est fourchue; les autres nageoires n’ont ‘rien de remarquable,
seulement la dorsaîe est un peu reculée.'
D. 9; J ^ i o j c . 19; P.
La ligne latérale est.légèrement^oncave ^il y a quarante - deux
rangées, d’écailles sur le cote ; la-codeur est un verdâtre argenté
égal sur”tout le côté; les nageoires-ne*-présentent pâs de teintes
remarquables.
La longueur des .individu? ê^ d e cinq à six pouces.1
Il y a dej,à Îqng-terîîps (|ue^ai dpnnéla figure d^ cMte
jol^e espèce, découverte par M. Jacquemont, dans l’atlas
de; son*voyage, pl. i 5, fig. 3, nt dont du pourrajt^Lirè’ un
genre distinct, si l’on attribuait a.ggpr détails4 spécm&ues
une valeur caractéristique supérieure a celle que méritent
ces particularités. _ .
J ’yd in d iq ué plus^Kaut,, parmi lès especes^d ab le s , des
po issons d u N il décrits par M. d é c o ra n t s .« I l y 'àd ie fu -d e
c ro ire -q u e le N il nourrit 'en co re . d ’autres* poïssotosWlu
même -genre,- mais qu i ont é ch ap p é^ u sq u ’à. présent aux
re ch e rch e s ’ s a in t e s 'ét ^activés, S o if du célèbre^v-dya^eur
de F rân c fo r t ,!M . R u p p e l, soit dës^autres naturalistes qui
Ont exploité l’Ég ypte . .T a ïtrou v é ,''en *e ffé t|dans les dessins
' de M. R iffau t, * Z t ^ Z
U n cyprino ïd e souâ le nom de G il l é (JLeüciscus G iïïe ) ,
qui a le profil du dos bombé ; la doîsaféhaute et pointuë de-f avant ;
la caudale assez large ; les écailles assez grandes ;* lê1 corps et'les nageoires
gshses;''
M | | XIII. A BLES. 2 6 3
le |hPiu ;de Risarre ( Leuci&cus B icarré
g
• a h <»cGrps-^plus^gKêle^très-,étroit-; la caudale, remarquablement*
grande-; l’an4e>l©n,gue eObasse |pà .dorsale haute et pointue; l’oeil
très-petit, ainsi qpe de&pcikhes ; des couleurs grises, teintées dever-
'• d&tre-’sur, lé dos.-,
; Un. ’trQÎaièp^; Iqus le 'hqm de Gïr (Leucîscus Cir),
ade corps,é{rqit; la..dorsaîe haïr a i t plus lpngue; l ’anale très-basse
et coèrtë'; la ç|i^hJ,e^de largçiir.p^clinaire ; des écailles ,a peine visibles^
Op .dgniçoit q u e -çêa^cp^^&p^utians ne peuvent servir
qu’à Jipdique|;f^ â îxçpercheSi des naturalistes.
LaTnpfft du (ÿssit de.Æ Riffaüône font voir que le
»dm d e 'S ib f < ) v u à e 'dônn#'par M. de Joannès à
I ulic ësi'^géneraq^* -et qu’il s’applique*à
à’aut f eont jlli^^^-ëprfeslsrijat^n au moins pour deux
e ÿ è i^ m a i s ’.tr'sp. v#gue*,'pdut|^;téhjf‘compjiè*, comme
viens de le fàirëè pour lesj^fe^édPe'iîtes.
nur ayons p p d’indiquer aussi les-p^pepes dont
nous n’avgms çotnM®^^^^u(rpfar les peintures chinoises
wnnp^pp É n o ^ n o u s m e pouvons soupçonner
la fid è le j qfiï^,f<e,ri^ant riéun^jin {^e5^grand nombre?,soit
par des calques., g^s-^n-sje^ bibliothèques de Londres'et
de-Holland^'soit par,4e%nr|gi-naux rassemblés àyhp.-soin
par M.'Çuyier ou.pa£‘ rnohmêfrie, nous trouvons dans .ces
divë^ll^îlfures/'qüf'ne -spnt pàS coptéef l’une sur l’autre,
des^représeptatrons d’esp'àèçs identiques ou -au moins très-
vol&iaos.-f
On sait au^*que*notis avons reconnu, sur la nature
même, la ficBité de^èfey peinturés ; déjà* M- de LaGépéde