poisson ne peut plus qxereea? la\sucpfrèinr à la manièreides
autres catostomes. C’est, quant^aux flcèvres^un able ordinaire,
mais dont l’appareil ossjeux delà bouche est différent,
et ressemble’ tbut^à-'fait catostomes. Si
l’on ajoute à çe^ caractères celui de la.longueur^de la
dorsale'étendue sur 1 e c om m e " c e l l e de rios'carpes,
on aura unerEée de1 l’ensemble des Varaeîtfelès de ^ces
poissons, que M. Cuvier retirait donc àVê'c’raison des câJ
tostomesj mais qui nie'vont pal^prendre place dans le
genre desLabéofos. D’ailleurs, leÿscïélèognàthéfe ont* comme
les*espèces avec lesquelles ils avaient^ëté* réunis, la tête
nue j'Mllbnnéë-'par .des lignës~ ffie *piores muqiieUx- t-rès-
marquéêsj’ lès* pharypgfeiis portent desbdehtsVën pfeîgne
mais plus fines eÆgfilus,[egales-que celles yq^càtostomcsi
La vessiie aérienne èst dîviséë^on remarque^afeOrd deux
grès lo b e s^ ’antérieur est gros et arrondi 3 avec une légère
dépréssion à la face supérieure; la se^dkêè vessie-1 est
coniquè|^elle est deux fois plus longue que la première-,
jet suivie de deux petits lobttfes ÿla sçgonSê5’ cbnïmunique
avecToe&qphage par un conduit aérien:
Le sclérôgnathe que j’ai disséqué esj^de l'espèce du ca-
tostomus cyprrnüs de Le su eu rc’était une femelle* aÿajîl
deux énormés Ovaires, contenant des oeufs -assez ’'gras,-'-de
sorte que le ventre du poison était ©ès^saillànL L’dûtestin
^ t jeriéore plus long que celui du catostomusbostoniensis^
il a cinq fôis-M demie la longueur du corps,;et fait quinze
têplis.
Je ne bonnais: enborë ;que deux espèces dé^ce 'genVe,
qui est voisin clés catostomes^ mais dont la bouche est
très-différente.
' L ’unè‘ dess deux espèces est iiès-répàndue dans les
JÉtats.-éLIni»*etsJdevâelit..assm grande Je ne,.connaisd’autre
que.par unr petit -mdividn^enVjOyéAdü lao Pontchartrain.
i S e t É R H E 'CYPRIN.-''1
” t vSÆgr 'ogpdthhs cÿpriiw&,nob.')_
Il est {aslëz,,'siiagulier qu’un poii&on detvehant??aussi gros
e^n©mmn?ig||§;urdOs» ntarAésYdesfËjtats-Unis, ait été oublié
par le docteur Mâtehill dans^son? Mémoire descriptif des
poissons ^4^
| A causérdéfla hauteur duïIIomJs on dèvait plutôt1 compare
î^ee solérogn^the à Æne bordelfèfe oju à notre 'Cyprinus
K o llarii, quà-.jnue ^ r p e :”-\
’ :f*L?ëpfofil h?èbrerén; effet du bout dd^musë&u veilla' dorsalé*ën
X^’guÿvatft une IS’ourbe^oïu^iïlé : e11ë5necîîn^tVès-rteu sbus? ln 'dorsale
(4 et n.eis’abaisse'queisurU’ënrori'çcDn de la qûbùSê'JLe »prdffîl*du Centre
H est|courbe ^,^e«elève assez? brusquement sojas* l’anale, desserte que
laM hauteur. de la^queue rç^est que du» tiers de hêlledu tronc sous
^ Jaidej^Æ^,à^ce^ endroit lajhauteû^est. t.rofoiois pitnn tie^sCdans la
ljjngueur lpt^lefc-L;épaUs.6UE est près de mpni&5de la hauteur' la
Çpurte„:.,elle uesr p as.Ao^a^t Mnq^i.s Hans là longueur
toHre^îe'/mnselu*,ësf obtus et 'obliqueJ vers la, bouche, et haut
environ dü'tiers de la hauteur de ladite sla puquë; l’oeil eSt éloigné
^ “d'une hauteur du?museauf le'di|méïrè' e$f Hu^ciriquiëme
; fdeda lôjQguéundeda5t%têAll’intervalle enjfé les^lfeux .yeux est bèmbé’
^t#îgal à deux diamètres -- ^js ligpês des poreS; sôm grosses et
^sinueuses 5 JLq py^perctfl^st^rand; l’interopçrcule, à-jcau§e de
cela,, très-étroi^; l’opercule assçz,. fortement strié, et a au-dessous
Un a^sez^grandni^flgj^P^'p.ule- Lisihrnfi de la, gorge.est large; la
membrane Eranchiostehe caisse et soutenue par troiarayonsj les
dents pharyngienn^sbm, 'd’une *'gràîi9'e' finesse, edau honjbre de
centctren*tc sur' chaqu'ej ôssfelbt.iLes pharyngiens supérieurs res-
:Àéhïbleht - Il 45