CHAPITRE "É lY Y 1
D es CJh&ndroMomes.
. ; 1’alte.ntion 4|s«Pf~
tuialistesf sur les^yariadoos dn$ esplGfg-^si; ga^mb reuses: du
genre des Ables, afin de réunir d$n$sfee: seul groupe le§
dmsâopss trop nombi’eus^i^^Resvîp^rdes æoIo^ote$. g o dera
es y je me hâte de dire qlteda division^génériqup fëite
du (Sÿprinus naSuà'est exGéPenfoj parce quelle repôsjlfcur
un- càèàct&re ravaiûâble qui né ^'è perd dans’aucune èfejped^;
quelles que %oien t d’aiiléuTS destêombinaison s que l&na-
ture va'faire Autour de Cettejforme earaCt'#istique.
; Elle consiste ^ aiïs’da lame eornéo-4Ga^tilagkaeuse «qui
revêt "laNlès®e' iàié^eure v et qui • petit «eoirêiré' facilement
détaehéeaÿrès une macération plus-ou m-oins'd'ohgâdMla-ns
l’alkool. Je fais^eette remarqu^jppeîroerqu’il réest^pastrare
de trouver des chondtostomes/vconservés, dans;« noS e a b i-
nets^qui. ont perdu cette lame ,;,ettdont,la l;èvre;afors'-est
charnue Gomme celle des autres poissons.« Ou reconnaît
toujours que celte lame a existé,,àtme sorte; detcaEèn-e
molle et charnue* élevée sur laîlèvre, quEscïwait»à la sou*
tenir, et à former à« safoase *une sorte deuepli de la peau
dans laquelle les élémeæ^%târé lamelle sont, séerétés;,
camme' les ongles à l’extrémité de nos dqigts.
L ’étude de çe.genre, dont nous n e^ n n alésons encore
qu’un petit nombre ^espèces des fleuves de lkpGÎeH
monde, est curieuse, et vient donner,un puissant*appui
aux propositious/établïes dans les chapitres pré§édens, en
faisant voir le peu de valeur que les dents pharyngiennes
et sfosibarbillonS ont poui’pcaractériâer les genres des Cy-
piinoadesitKom^se-ulement les dents pharyngiennes varient
,dl:forme on dénombre dans lès espèces,*mais les unes
onfe'de^TbàHfRiil'Onfs àd’angfoîde-la bouche; doù il Résulte
que le naturaliste quifffmdirait 'suivie l'es principes« de- classification.
qnirPfo fait,,sub/ii#Îae^le.s ables, devrait séparer
des r ,h o n d rqfdiomeX'dlEihror)e, qui ont les, dents pharyn-
giennest sur un 'Séul|rab^', lés, .espèces ou du Nil ou de
l’Inde-, qui ont le^^pharyhjientîes sur^trofsrrangs; puis,
•etflin^ lpsj'e^pçS1 de la Peiteef qui ont des barbillons aux
mé^hoires^Ea.admettant âfofk^prinGipë^il faudra tenir
^^mptei^^différ'0no1esî!sî'f!ijëmarqïipables!dans la lèvre du
chôn^osÿorae de Java s et alors,« on arriverai à constituer,
^TOC^es^oudrostpEn^, une famille naturelle .dont toutes
lje^qspècesseraienttyp^sjdn.genres. Eu agissant ainsi,
mm ne fait, autrui elanse, que de' déplacer, la valeur des mots
famillés,r;genr-es,4epp^es;#t ^aEié,lés.,*£)nï6uroharge la mé-
th,odf.el,*Ja mém^rerdes*Kpavts qui ne*font pas, mieux connaître
les distinctions «es^nti elles,* entçe*tes-différens êtres.
Ce n’est pas„qüêqë croie qu’il ne faut pas former un genre
« S « une ,&quïef^^|pe^, ’ ou qu’il faille', essayer de jdiviser
en plusieurs,,c§upes4 un,gei^rCi tçop nomhreux en ^espèces ,
ce,«^ait>id’une mauvais^philosophie* méthodique ;
mais il ne faut ledairc que quand l’on trouve dans l’organisation
un trait caractéristique tranché^ qui* ne peut pas
être nettéfoent exprimé et limité* dâns la diagnose d’un
gèriire. “
C'e’ soirf rés râisom qui me portant h réunir les, .espèces
qtm levais,,décrire dpn|>ne^châp jtrç, dans un seul genre,
établi, rÿsqp par M. Agassiz sous le nom que je lui
•conserve ; mais .je ne.*fais, pas entrer dans sa caraeteris