remplie de globules ovoïdes transparens, se montrant r
sous le miçrosGÔpe et à un fort grossissement, composés
de détix petites vésicwlesrsituées* à l’une des extrémités
de c^rglobules. Ces corps n’étant pas terminés par une
queue filiforme, on no peut pas les considérer comme des
psorospermes ol^ervés par M. Muller, sur-tant de poissons
de familles et de genres divers. M; Rayer n’a paèpu; déterminer
la nature végétale- ou animale des, .petits | eorpus-
c;ules qu’il a décrits, et figurés dans ges Archives de médecine
comparée.1.^C’est un'des rares' exemples de maladie,
des poissons observée avec soin/.voilà pourquoi je ,1’aiK
ciliée à la suite ide l’histoire naturelle duvéron. Ûn des
individus ^porteurs de eeS;pustules,-a 'été déposé 'dans le
Çabinet du Roi.
Z/’A BLE A NEZ WOir R.
' (Leucîscüs atràhasus 3 nob.“}*1
On peut placer auprès du véron,. à cause.-de la pe.tir
tesse .des qcàiüës et de^nageoires, un petit cyprin des
eaux doutmJLe l’Amérique ^pj,entrionale, djebrit par le
docteur Mitchill saus le nom de. Cj^r. atrofiasus.
Il a.-le museau beaucoup plus.aigu; ladungueur de la.,têtes.'est
• comprise quatre fois,dans l’espace .entre l’extrémité,antérieur,e et
la-base de-la caudale; la hauteur fait le sixième, de la longueur
totale.
D. 9; A. 2ij P. 8.
Lés écailles sont très-petites, au nombre de quatre-vingt-cinq
rangées sur le côté. La' ligne latérale s’étend jüsques à la caudale :
elle est droite. ;
Une.* bandelette noire est étendue tout le long du côté, depuis
ï, Ràÿèry Âreh.-de m&L eemp., p7fs§$ pl. IX, fig. i3.
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