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Pallas d4t«ui»(deux espèces sont voisines du C j p n -
nuscultratus, et UI & «fertàSsoù; M.Nordmaim les a
placés parmi lésiÀspiuS &vcaüse d<s l e u r dentition, inais il
aurait pu a»sçi1pl]a,Q^.Slsni , P ^ n1'® 1? cypnnus cultratus
L ’Able’ ©UiVSTïmfp®A^|f,..u-
«(LeuCiSims ^mphalims, nob;) ;;
Nous devons à 'Ç Y irlet, membre ^expédition scientifique
do,'Marée, un p,etit.able remarquable
par 8a ligne latérale, par la grosseur de sa.têtè ët de son museau.
Le profil du
de sorte que la hauteur du tronc, égale àflÿloïiguéur de la tête,
est seulement du quart, de celle du5 COrpS entier.
$ . ' 9 ; A. l lf -W c T ,
La ligne latéral offre le même caractère singulier de s’arrêter
comme dan^Ia bouVière (qyprinus qmarus) ; sur la naissance du
tronc elle atteint dans ' celte pplice la septième rangée d’écailles,
dont le nombre total est de trente-huit à quarante sur chaque flanc.
La couleur est celle des ables, mais une ligne Meuâtre se montre
do ehaque de la qTkèue. ; ^
îfes ^ uleüt*s Comme par la digne latérale,'ce
petit poisson se rapproche 3e la bouvière 5 mais il ressemble trop
aux ables, que je viens de décrire, pour Fen éloigner. Cest une
preuve nouvelle qûe, dejMiS lesbrèmes juscjuWx vêtons, tôiis' ’ces
poissons ne constituent qu’uü seul genre naturel J
Cette jolie icspèm vit dans le lac Zaraco-, autrefois rsi
célèbre dans IMstoire mythologique de la Grèce sous : le
nom de lac Stymphale. ,|gos individus ne ;-dépassent pas
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