JNitsch.-Si ce, poisson vient de <se fleuve ^eela ippouv.erait
que, l’espè^e.est- ;asse^#'épa4n dne7
M. Agassiz,. qui a .observé**avec beaucoup de^poin tes
HàHtudç&^yee^pbis§on ,rnAus apprend que les .jrâaëçains
dtu lac d e ,-KeuchâtebCappulle nt ÊènJiqh,* qu, ri^n geut^ ' et.il
croit qu’on lui a donne Ce nom parce qfe’il lui arrive souvent
dé, s,e montrèe^k sUjfofep de l’^au^lfoïps yenversé,
mettant rarganléixté'&opÎv-entrd;du cçué'de la lumière,
ayant l’air de^chetèher, dans cette position ‘retournée,
qùelquechqsjs; autour d’un ;cbrps flottant.
Sa nourriture consiste ordinairement emvers, en insérés
eteén débns dé^èorps. végétaux. iLsé^iept habiMre||emént
dans te fond deà nâ-iix ; ,il fraie ;a.û mois d § - Â|a s e
ses oeufs sur ;.le^aiJloux à l’embouchure d|#riwï&res/A
cette iépoqü^ lestindividus, sp"^éuni&se^t en tro upes si.con-
sidérab|gg que 1e fond d e ^ au .pn panais gris.. Çtn pr|,tgpd
nrême qu-’on peutjles»pÿ%idrerà la main.
M. Agassi^,.cr<Ut que c’est le poisson <#5a^--parvjÉïapt-
mann 1 sfcais le vvôkûàe^^prihusdobula ÿécëhû4ê®' êjant
nommé dans cet ouvrage"Cfprinus c e p h a lm I
Le Ronzon eyOît l^itefoent et neéÈe ’>epaddujt qua sa_,
quatrième année;: sa chainestmolle, farpTérdarem||7aussi
esfc-elle peu 4gréabte i quoiqu’elle*’nê’ sôit^a^^manvam
goût. 7
Dans-qufelques contrées de la Suisse ouïe prend'en
assez grand nombre! pour te^sécBæri- et op te* vend alors ,
par fraude, potir le Gangfîsch (corregonus VTartmanm
qui psty un poisson .très-pstimé..
1. Ichth. helvétique., p. 202.
gj ^ ’A 5 |Æ P O fl^ p N N E T .
• > ^Leupüeus- lançastniensis, Shaw.)
/ Cetteûspbjte.j d ’aBleisè tiu u |e in ° n-se ul e m e n t en Angle-
t e r r e ^ o ^ M Y a re ll L# mieux faip connaître que Shaw,
mais .encore^en S u i s s e , e l l e a^ëté décrite par M. Agassiz
‘sous" le. ^nbm.de leuciscus Majalis.
La longueur) ,çle. la tête\est cinq fois<sdan.s celle ; du corps, et
.égale la.haujeur S u trone^La;c^uEbe du dos,-est plus soutenue
, qnBjtoille^du ronzon ; le museau est petit, obtirs, açrondi; la bouche
peu fend ue^ on peutqire dpjj^g puisson' que c’est un gardon à'pe-
' litë tête. li a aussi la dorsale plus*égale, l’anale plus large èt moins
pointue qtre ‘celle !du ron’zon.
i 'D. l h f i . t l , e$J A
” ‘ Yes’’ écames^sont plus petites" qu’au gardon jet a la vandoisfej les
™ YMleurfstmi Wraalres sur le dos , 'argeritees stir le reste du corps,
’ -‘ à M ^ Ë lëW "
bum’ e n n f p as vu d fcOhdiyidiis’.avant plus de six pouces^
M.Ajgassiz îu i en donne quelquefois huit.
.Le premier auteur qui en ait“ parlé S h aw 1 ; mais,,
su iv a it M. Jehnÿns, Pennant l’aurait observé dans le Mersey',
pril^llè W aldington.
11 faut que ce*poisson spiCbien connu en Angleterre
comme unè ^éspèûp distinhtfe/'dar il a une dénomination
pârtîçmièrefcelle de Graining, et je trouve dans les notes
de lYoël de la T^orinière qu’elle lui avaitoeté indiquée par
sës c o r r ë s p o n a ^ d’Ângleterre. M.Yarell, faisant mieux
que ses preaecessehrs , en a donné la description , d’abord
1. Gen. Zooï. , vol.'V, p. 234-