soins du prince Charles Bonaparte dê~G&nino sous le nom
de Leuçü cw roseus .^$è! Êfe^purs y tc»r?ta; plus légère diiFé-'
renee. Les dencs-d© ce îdernier individu^sônt ‘toutès1 un
peu dentelées, ce quiprouive’qîtelleg' sont plus nouvellement.
en place > que' Celles deM précéd&pêf ïmais îe^ premières
dents cqmmenÇe^ti déja* a' s’user.
L e R qvella.
( Leusiscus rîifjella, Ch. Bon. h, "J
M, le'prince Charles de Ganïno a doühïé ah^Çahinet' du
Roi une espèCë italienne voisine -duî-gardÔn, qüi ^ n distingue
* ' ^ \
par une tête plus petite, un*.oeil moins gràud, un muSeaü»rnôïns
épais, une-Louche petite.^1'
Les dents pharyngiennes&ont grêles, un peu crenelêës^tvsur .un
seul rang. i -
Dr 10; A. 1% C. É& P.
Le dos est d’u îc^ r t assez fcmteé^à ‘ reflets dorésjîsàr-le milieu Fdës
cotes, et'qui servent «Libndrëles téintés“Su pêrîeurès avec le -jlm-
nâtre, à reflets tr^niéa'mu^.véhir^r^^
La caudale est verte, {a dorsale est 'plus grêlé * la -.péêtùnalela
ventrale et l’anale ont. leurs rayons ex'tern^^ïciplëiïés".en un-hreau
i açc^e. yifv ^parnoin j les autres;, .rayons ,sont jaunâtres : pn ne lui
compte que trente vertèbres,-,
N d sh n d iv id u s v a rien t die cinq à 's e p t 'p u u c ^ ^
Le naturaliste que je' v ien n e citer Ta nommée Èeîtàîs-
cus rubella. J’en trouve dësindividus ‘parlaîlëmènt sèm-
Mables aux siens parmi ceux que MM. Pentland et Ricketts
ontrapportés du lac dé Côme Sousle pOtn de Pigaï
Ils ont le corps, et surtout la tête-, couverts de tuber-
cules cornés très - gros y beaucdiip plus encore que ne le
sont; ceux du vengèron. On peut facilement reconnaître
que ce n’és-t rjb‘|k'|pr cette espèce qu’il faut rapporter les
figures du pigus 1 |isséies par Salviàni ou par Rondelet. .
Le prin^Charles Bonaparte fait observer, en fixant la
.^nienclatm’e vulgaire (je ce poiss.on, que dans une partie
de Rome, ;qji le nomme Pardiglia ,.e t dans l’autre Ro-
vèlM’, dénomination qùe l’an .retrouve à Viterbe. Dans le
r,oyaumé dé;TN«ples le nom change en Buvella, et à Terni
ori dit Âoseibïa. Tous,lees, noms expriment la couleur
roséë de cette ' espè'céi
. ’Zf’ÂBLE de Gené.‘
{(,Leuciscus Grenei, Ch. Bon.) .
*M. le prince Charles;Bonaparte a dédié à M. Gêné, s£éié
naturaliÿte>dc Turin, un a b le dont on doit encore la dé--
»iïve^té'à-M. Savignÿ.
Ce poisson a le corps alongé, la hauteur comprise quatre fois
et un cinquième dans la longueur totale ; plus longue que la tête,
dont le mùs’eau‘ est obtus,"la lèvre inférieure plus courte. Les dents
ph^vngiennés sur un seul rang, et des cinq, les deux premières
sei^R sont crénelées, les autres sont un peu courbées.
D. l î ; A. i l .
Le dos est vert foncé;- à l’aisselle de la pectorale il y a une tache
d’un rouge de minium vif-, les nageoires sont transparentes.
MM. Ricketts et Pentland ont rapporté aussi ce poisson
du lac de*Çôme, et nous l’ont-donné sous la dénomination
vulgaire de Truglia. -Hous en possédons d’autres exemplaires
des mêmes, gaux, envoyés par M. Major de Lausanne,
et qui portent pour nom vulgaire celui de Trollo.
Quand ce poisson est décoloré par l’action de l’alcool, on