toùtes lds eaux de la Prusse,£èâ; nous enlavoas aussi ïéeït-:
dés différentes parties de l’Italie,
La description qu’on viêrçt de lire e'sf faite surtdès individus
que p⥠vüs et examinés ^souvent dans la Seine, où
ï’espècei>est très - abondante/ût elle ; cori;esi)ônâ; entgust
points à'la figure jfîe Bloch.\
Il me paraît que le poisson mentionné >pa»M.Reisipgera.
a des mêmes couleurs; queeeux d^ûiotre Seine ; de sorte
que je rapporte encore eëtte description à notre éperlan
-.CiéJkketear le place dans le-Wang; un deÉ
âffluens’ du Danube, .et observe‘qu’il aimèdif chaleur, qu’il
estr trèSH-prolifère, domî^sa chair Çôrtimê l!e b^h?|elut.-
Noüs avons remarqué ^>au. contraire, que idàns fe||©ine
ce poissdp /C * }uy,eÙtV!Un goÙLamer très-sehsibleï
Il ne paraît pas que l’espèce avance be^ucoup^yers le
Nord; car-aucun auteur de Suède ou èjpTJorvvège^ni
même aucun auteur anglais n’én font mention; aussi 'Âi~
tédi n’a pas connu cette-espèce, qui n’a pasLété non plus
établie dantf lesrçkmzè éditions du Systema natüroe. Cés||
Bloch qui, le pïë doter, l’a fiiît,connaître, et en a donne'1;
unê figure^ asSel|/récbnnaissable dans des catalogués >|stér
matiques. „
M. Nordmann 3, jpi^ un aspius hipunctatus, Aga.ssiz,
sans rien dire des couleurs., qui se trouvp^çlans les petits
ruisseaux de% Bessarabie ; et M. Eiçhwald le compte aussi
parmi les poissons des eaux du Gaucàs.e’; mais il est difficile
de savoir s’il faut rapporter ce’pgîsson à cètte espèce
1. B l., tab^ 8 v fig j i v t . *
2. ' Pisé- Hung., pW ï, n.° 18,
3. Faun.pont., §p£g||PP9