Les couleurs, et les habitudes ^ont cel§||j desqarécédens;
le bibiéparaît plus rare que l’autre. Il eât de même taille.
M. Agassiz le place auprès àxx Cyprinus cuîtratus j Litin.
Après les ables de l’ancien -monde, nous avons- à décrire
les espèces que nourrissent les # u x douces.de l’Amé-
rique septentrionale. Plusieurs sont très-voisines'de celles
de nos eaux douces; aussi ai-je;imaginé de-leur donner
des noms qui fassent de suite reconnaître lequel de nos
ables ces poissons représentent aux^Êtats-TJhis: Ce ne sont
pas des espèces identiques. Il_ était-utile de bien Faire
ressortir cette circonstance, à Cause deÿ'lonséquences,qui
en résultent pour l’étude de la distribution géographique
des poissons. ' ' , . . .
Z/Able nt /Boso •
(Lçuciscus Bd$cii, nob.„) ",
On doit à l’activité de M. Bosc la "connaissaneëide* èèc
cyprinoïde. Il ressemble tellement aux brèmes par la-formé'
généralela largeur du corps, la petitesse de la-tèté, qpj|
les, colons français dé'i certaines parties de l’Amefrque septentrionale
, ‘ comme sur le,sabords du lac-Pontehartrain,
ont donné, cette^espèce le nom, de Brème. E,t cependant
on ne' pourrait pas, en-suivant le système de M. Gu-
vier^et de'ses imitateurs,.ranger ce poisson dans le'genre
des Brèmes-, à cause du trop petit nombre de. rayons, de“
son anale.
La hauteur du éorps est trôJjllPoîs et' dei»ie.'.cl$nè sa longueur
totale; l’épaisseur ïéest guère que le tiers de sa hauteur ; la tête,
petite, â en longueur les deux tiers de la hauteur du tronc,-'où
elle est comprise cinq fois et demie dans la longueur tqtale.. Le