carène élevée au-dessus dusbord «lé êltaaàè* quaud ria '.dent «nies*
pa^sieaeofe Jsi’os^teoee de- l’épaule« test en paièie Gâchées0us
;le.*bord membraneux&lde Tuperçalej il ne -parait que la plaque
triangulaire de l’hujuéraLaurdeasdus de laquelle* est insérée la pectorale
» étroite .et ■ court e:idont»le pBeB*i®iîEaÿo®i'-©sii»ez
fo rt. Lesven traies, 'àk'iBÈB» fraudeur:,-laujtis; s plusqs®i@MrêSf? et
plus fargè&f .sentiâ®âGheeë*â®x deuxt tiersodé 3£n*érvailey -*»*16® la
pectorale et jj’quvecturéfde fawnjWSbii na§eQi»«qul;te*isMlterest5 aifesi
,hautet del’avantîîque 'sa j basé est longue;« Le.1 depnier. rayon « ifa-lpas
la moitié de la .hauteur, des-»antêrieuest* La ,eau3alte est tfautefaue
etsesfohes-sontRpoiotus. La, basésdéilacdorsale .fait.les
deé plus longSjjrayons : le, pcçnjier /ayop çst.implanté sur .la mitoüfi*
i de- la. distance .en ire. le„ bout-donnez set. lamaissauté de-rié eâüdéBl
P B.'S^D. I f - À^ iëî^.-'&î
•Les écailles sont :Strices|ét,.c^^^eFt^ !^èi tFès".{^tUSrp0inlSis|ag-
.mentaires , visibles» à -,1a loupe sci^lemenqrfllpn-y^aésur l-a .pspl)i:on
radi cale aucun s .r^qns -loûgit!u>4iï8M& j ; OPf né‘«^lÿtïiqjà
concentriques des^giarqu§sp^cjoi^n*ent r^fj^s^sôptidé grandeur
médiocre,, ■ ienrtrtoi] vp. soixantef ran&éfcSfJSuj~. le ^ i ^ i dix anfedessus
et six ajUjde^sQuss.de la ligne, f ,c.el_le-ci-,.;t.é{^iiy,étngnk et
faiblemen^ q pgpayç, e^t^ragée parole? ^|pux, tjfers. idc la t%isu^^ur,
,, et.-ne se redresse pas jg, Ja {moiqéj bf4ît€U-rIstwV;leaftcQP§0n, dé,
la queue. La couleur de tpus^leiiipdipdus^qoi« ont. séj auraié- plus
ou moins de temps d^nsfl’tdtpol^pit unif^m%;etsd’j^Pibeau,blané
argenté ,lsa^pç^quelqqgs; teinte^.?griges sur. le..dos^et; des se'ries de
taches dorées, faibles-^u^pâlgg^à, peine vi§iblgs*,<t,maiÉf9roiasnt,
qqand. le pqissnn. est ..un peu, desséché', des lignes surtout faciles
àppipceipirprjs <Je prqfil infé4enB ' iéJh^Wnïteilttfl!k*>>8-
différentes, sur.le poissonyfcais, :t, tousses ; auteurs,j^jm codent* à le
peindre rembruni sur la têteqt l,e .çk>£ce& régipn^au corps sont
. quelquefois .nôîre|.:^ces ^couleurs .fondent, insensiblement„-sur
-, les.bàtps^ d ^ s lekteintés j^batreSjqins^tjéeÿduyëPtrev' La dorsale
. et la caudale. s.ont .vertes rembrunies 5 la pectorale est, d’une teinte
brune mêlée <lë rouge • les ventrales et l'anale sont rouges, tjfcant
au verfPiiion.^ JeRrouve; dans Mouvrage de Baldner, une peinture
'offrant*<e©He©uJ$*irs; mais.mnæ- autre^nou» représenté tontes-les
nageoires gpjseséou plus ou moins noirâtres/ 1$
• Cependant sur le dessin M Agassiz je nejvois pas des couleurs
au^i fenfcéestsur le'dos,*^ et-la -dorsale, et la» caudale opt quelques
teintes rougeâtres,! : .ces. différences peuvent dépendre de la saison.
Cé que le'-'pdissbù1 offre dé ^1 us Remarquable* à l’ouverture de
l’abdométt','» cfesl la couleur noire dû’*-péritoine: D’ailleurs l’intestin
fait’deiîx grands1'replis sur luilmêftaéet plusieurs sinuosités, et je
ne vois pas. de- partâcUlàiâfésîb'iénfâPôtables à ,signaler sur lés autres
vis'eèites. «Ce sont ceux des ables.
• En étudiant le /squélçtte^dë- cç;rp©issOn, on. est frappé de la
;SingiiTiSre conformationvdes mâehoires. Les «maxillaires* forment
l’extrémité du' mu^esyn; étllui donnpnfc sa forme tronquée en sou-
tenan^le^voim membraneux qui recouvre les lèvres. On peut dire
queues branchés ïhontanteâ^bnt élargies en cùilleron convexe en
déhors, co'®âaf'e'%K dedans’; _ ptï8> la branche de l’os’se contourne
pour' border PextréMté*' du'm.Weâu et‘,,ie^éé\ffer derrière le stfbs-
’’lo’tbîtaïr-e. Elle donné une apophyse asséz-large, mais courte vers
«W milieu -de sa' longueur, puis* elle se rétrécit* pour Se terminer
enqpoWSÏë éiarôiüej les'deux intermaxillaires sont réunis sur la ligne
moyenne par une à)fte-de-suture linéaire, dé sorte que les-deux
oS-* doivent avoir îm' mouvement corilmun, hécessàirè au jeu de
cettè' Sff^liérë^bOTGlie. Chaque os Ite porte horizontalement jus-
ques^sur le %ord du museàu*,’foù il se courbe eh angle droit pour
déshêndré s ods la branche du maxillaire êt's’articuler avec la mâ-
• 'éhftirt;iiîl^,ÿéafè.sLè bord de l’ôs Ist- rnincefët comme membraneux.
L^biâchb^re inférieure a un dentâife coudé à angle droit; une des
branches;5form£nt avec sa congénère le bord de la bouche, est
mêirie élargiAqpn'véxe en-dessus, Èbncave“en-dessous. A l’angle
des’ deux branches s*élève l’apophyse coronoide, plus avancée par
'conséquent que dans la carpe et les autres poissons. La portion
postérieur! forme'la palette visible à l’extérieur, dont j’ai parlé
plus haut en décrivant la bouche. L’arÙGulaire et l’angulaire, sont
très-petïts. ï 1