C’est d’,âülëurs*ürï‘ able pOéftMes atltS^'s ds?'de lâ ; 'fa'cë du 'du
crâne ; lâ: base' '£xté¥nè ^du " ^àéê '#âb^ sa
position naturelle1,%st plûs fepgte ?que daris aâc'ttn aïitfe ; l'apophyse'
horizontale du basilaire est longue et éfcrroté’pibs1 apôpfaysés ïtrans-
verses de la première et de la seconde Vertèbre" ^otit1 horizrâhfàles
et- grêles; celles dej-lh'troisième et hs^pgÉelMs- de Webber-BéSsem-
blent à ce que inoiitre léiehevaine ensuite* dix-neuf’vlMèhres
qui portent des Coîêfe^.et ensuite^ qüâïre yêrtèbres'pôuf-eompléter
un nombre de vingt-six TOttëbres’ rauôrnifia'les*,’ suivies *âë dix-neuf
vertébrës>rcàuaâ'les‘; fa dernière élargie'etrévfentai l ’cbïrûrië à l’ordinaire.
Les’veftèbrèsJâb‘dbrinna'l'^!i*^ubportérifcia,^ëÔï^ ont dmneurf
une' fort ’johe' combinaison'd%pophyses épirieûseS^avèc|hürs âp.o-
pbysesi articulaires ;, ces„ vertèbre»' s’articulent ^eqmrnè^elles des
autres poissons1- çn së iUMichant par la bâse.des deux cônes' hater-
vettébraux. De départie antérieure et ^ap'éjrieurgs’élèvp xJe,”chaque
côté une apophyse ^qui^se -réîînit bientôt, à celle du, côté’ opposé
pour former le stylet osseux et uniqu^ae3 rapophyse-’ epin élise,
reculée obliquèment ét 'en'1 arrière ; sur Iey,^^ps*delaT^ me TOrtèbre
s’ëlèvèV,éii arrière l^pophyse'Wticulair^qurs* rearerae^ii!siafonge
en üïi petit*|ïylet,'lequel, réuni’à *Eelûi dû cca^lppôs'é, fcicae'un
second anneâü pourle^pasiâgë'de là moellê^ëpihièré. Celte^a^ophyse
-articulaire postérieure se-porte vefs rapd^nysè^^pm^ire'ânt#néure
de la vertèbre ^suivante! lJfjullîtejnaît du pied de,dife,gr aûfdef<f|k> |5Jiy se
ëpineusp, et forme comme l’apophyserartTculaife db la \$çtêbre.
Un stylet lïnique paése sur sjyjlet de réunion deJ^^ertpJreju’é-
cédente,^ët7sè;p?o^q obliquement et en ajymt jusmxa’^f grande
apophyse épineuse. Ue- système est bien développe suF lès mnttze
premières vertèbres abdominales, et’Yëst^eaucckip plus que daris
tous l’ëâautrés cyjimiôïdès, quoic^e l’bifMtlferVe jonfe’ aispomion
semblable, à la grandeur près, dansées carpes, !clàns lés ables, et
pour cëlies-ci la bordelrèr è ^cÿf>r.Bliccà’) dst^éspete' pu cet arrangement
se voit le mieux. Jë signale cette ^Organisation ,âux zqplo-
gistes qui auratènt' à.déterminer <3es.y§f^èbres fossiles jde^jpoissons.
On péût fpilement reconnaître une vertèbre cyprinmdiè,'entre
toutes lés autres à leurs apophyses articulairès.-
CBLAJP. ,XLV. C RO N'D*R,Q;S TOMES. 2 9 1
. Jjpl.gn.ra ptf. dmizainteyépineux à la dorsale et à l’anale» L ’fiuméral,
étroit ç^erèfô,# r^tréiqué^pe.,,touche lensqipulaire, est large et
dilaté, et ^p-^essus de la
pectorale» .Le radiaLèwgcubital sam lfujges j le Jt,rou cubital est
petit et, rond.
Cette dèscription;e^t faite sur uü bel1 exemplaire long
de quatorze pbpies. bien conservé\ ûnvpÿé de Strasbourg
par M» Hammer; et sur un qutre? semblable aussi pour la
tailip p A în é e s détails, pegM aussi- dans le Rhin et
envi%& de ^Slrasb.QUÿ^par Levp|ilt.
J ’en aL§pusJies{tf vpn? d’^pt^gs,|.exemplaires, venant du
lac dèi.Zjjg-J par-;M.. Major; du PQ^p&ÇsjVfc. S.avigoyj du
Tibre,;,jp^r lé prince.jpbarles Bonaparte. M. de Humboldt
eij >|yàonné de£ exemplaires qui viennent de Moscou,
et' uous' l’jiyons ^ssiMgsl’eâux dqiices de la Crimée par
M.^fordmann.^j^tre* l ^ ’1 exemplaires, pêche.s' dans »le
Rhi^, riou&en avops ,d’aujrès jiris |lans^lps ,eaüx du nord
deOa Trancq.^nsi poùs devons à M. Rodolphe, Cuvier,,
alojSL pùfôçf à J$ancy, J^yonndihsance^u^SchiJfé de la
Mpurthe :;rà»elest Je Gyprinus- nasus; mais je dois faire
observer que l’individu envoyé à M.’ Cuvier par son parent
et -âpii ? -a -le museau plus gros, la tête' plus courte et le
corps plus trapu que^fceux du Rhin. On prend àussi cette
espège dans la. Somme : M.. Baifton en a envoyé dgs exemplaires
au Cabipet dju Roi.
On con4oits qu’un , poisson aussi répandu a éçécpnnu
4p presque tf>ns les, ichthyologistes. Aussi nous le voyons
déjVÛécrit ou figuré paroles auteurs du seizième siècle.
Belon1 parlé d’un Sueta, qu’il caractérise bien pour
1. Bel., De aquaiil-, p. 3i5.