Les formes générales sont les mêmes; le museau est aussi saillant,
fnais les teintes-sont un peu différentes ; le dos'est brun mordoré.;
lés flancs sont argentés; la doïsalé est jaune; l’anale, bleuâtre, a
le bord jaunâtre; la pectorale, grise, a une tac.be dans son aisselle ;
les yentra^és.son^ bordel de jaune^ la bande brune rejeté feirr la queué;
car elle né dépassé pas la dorsale. *
On voit que ce-ne sont pas tout-^rfait les mêmes téjntesf
je n’oso^e.Gi.d^t1 s,ur des, textes, dans des espèces aussi,voi-^,
sinep. C© qu51 y a de certain, o’é|&jquje> suivant M. Costa,
ce poisson accompagne toujours le Cypr^ dohula.
■ La vie de ce petit pdiss'on est peu tenace, et il se,gâte
très-promptement après’ la rttôrf.'La chair est d’ailleurs peu
savoureuse. -
On le nomme Sarâëüh biahca sci/fati.
ZI’A bLE BLANC HAT Rk '
(jLeuciscus alhidup, Costa.1)
Costa a décrit, dans sàoFaæine napolitaine, ut>, ablel
dont les formes ont quelques rapports avec le Leuciscus
dcdabr&tus, et qui conduit attssi vers aotiff ablette.
ë Le corps , est assez haut^, parue que la vcouîbure du veifef est
trèfe-^ronorncée. La bsutéuri Aù tronè mesure de quart de J^ Ion-
. ,guçurtotale'; la, tête faut les deux tiers^ de cette hauteur; l’anale
esj; longue êt basse; la dorsale quadrilatèfe; la caudale fourchue.
Voici la formule des nombres tels que la donne Mi Cofta!'' r*
Di 12; A. M i P. 7jTV. 1 4 ;^ g !i8 ,
• Je pense que c’est par une értetlÿ typographique que
le nombre des rayons des ventrales- est pèrté à quatorzë,
car dans tous les ables il est de neufy et la figure ne représente
pas les ventrales plus^grandes qu’à l'ordinaire.
Z /A b l ë câ la b ro is
H ’ ( Leuciscus brulifjs, Costa.1 ), j
est ün des ables-à^oYpS afcngé 'Comme lé Leuciscus muti-
ceÛufj, Q\i comme nos àblettes ;~mais dont le museau, beaii-
çdup plusÆcmd, tient plus dé la (orme de. nos chevaines
I t p ^ 'p p s ’lgar.dôn^f “>>
JPa le corps Alohgé; la hauteur est comprise' cinq’ fois et deux
^ ’îiers'clans la lorigtieur totale?;Jlutêtèiafpresque la m|me proportion,
ne faisant quéfle^<5hqni®ni|®du.c©rps^leî l’Oeil' est petit et des trois
huitîémes-^de la' lorie'tiéur de là*t%tëte*X’èxïrémité du museau est
/ ’ arrondie ; 4a bouche est fendue droite, et la lèvre supérieure charnue,
’recouvré presque ‘l’inférieure.
D. fîq Al 8 , etc. -
La couleur est changeante en roux violet et en vert rembruni,
avec u n brillant argent^; Je .dessous es| jaunâtre;- l’oeil est tacheté^
de hrup^îa bouche jaunâtre; les n^geoire^sont pâles; la dorsale'
étant brune â’Ja Base ; la daûajïïlPp làiiâle verdâtres; la pectorale
jaune sqr les premiers rayons et pâle en dedans; les ventrales’gnt
»Aussi du jaune. -•
On trouve -ce petit pôi&sôn dans le fleuve Crati, qui
baigne la ville de Go^enz^ op.A’espeltes.esf connue sous le
riSm de Riole Ou Reoie. La plus Tgraûde longueur est de
six pouces napolitains.
X ’A b l e c p e Y.u l t u r e .
(Leuciscus IP^ulturius/Costa. ? ) |
‘ C’est un joli petit poisson du lac de Montecchio.
Sa têteçst déclive,'parce queJ’occipUt ost élevé; mais sa nuque
est basse et déprimée : elle a quelque’réssémblance, dit M. Costa, 1 2
1. Costa, Wtsctm. niap., 'p î '22, pl. XVUI.
2. ^Costa, iFemn. neap., P&hs., iS:; tab.-XV".