Son foie n’est pas plus volumineux ni autrenmnfrfè!|»é que celui
des autres ables , et sa vésicule da fiel est petite ou du moinS pas
plus grosse proportionnellement -que celle du foie de ,-tqus' ces
■ poissons. ...
-Je compte, à la colonne vertébrale' quatorze vertèbres abdominales
et .dix7huit*,cauda^ a treize cotés ; la première vèrtebre
abdominale n!en soutenant pas; le prémier interépineux de la uot-
sàle répond à la huitième vertèbre, et je ne compte5 qiie huit de
ces' i'
Les dents pharyngiennes de cépoisson sont au nombre de quatre
sur chaque arceau : elles ressemblent tout-à-fai t a celles des autres
>;>çÿprins de ..cette famille, pontées. _sur un pédicule; laip^pijonne-.se
dilate en une petite couronne comprimée , à bord interne, renflé
à sa base y et^çpuphèjen crochet ,aigû *à,;sa .pointe ; le bord de la
première, qt de î^gcqft.dje dent jg^devenu înéMat par l’usure-céfui
r de la troisième est denticnlé ; celui dm la quatrième l ’est un peu
moins: la cinquième a le bord touÉ^a^fâit arrondi r^oes'dénis, sont
, .sur- uuvseuî rang.
Que Font iSëFrègàrdé pafr -liés''déteriptronk■ cpinmeRéop
minutie'ufe^f caf^ si l’on pfieM "pbüï ïéelle laÿdiâgnose de
ce genrej telle* quê M.’AgalSsiz nous lV^ôrfn^ef^bn d ira it
cifûîfe que'éès?,0éganés’ taillésJëïi biseau’ diffèren€^ëssËnCÿëh
lement de eëtiî qés kuthéis* cyprinoïdél^ Jëe que je" démontre
ici'4e^pas être* et ce'qui me semble in firm e r,
ainsi:que je f^fera i pour les autïê^.groupes-, la proposition
émisé plus haut, qu’il faut considérer Comme d’un
meme gfetfrë totrtës; frëS variétés d’ables. f
La longueur du plus grand individu que j’ai observé
dans la Sèinë est de "deux ponces huit lignes : généralement
ôn ne les trouvé que de déux poncés.
La Bouvière, figurée dans latlès des Poissons^de TEu-
rOpe centrale, sera décrite dans l’ouvrage de M’. Agassiz.
L é n’est pas un poisson rare. Il me parait que sa petitesse
la fait négliger par presque tous fes ichthyologistes. Il est
bien ^évident que Bonnàterre, dans son Encyclopédie, et
Lacépèdei'Gtens son ouvrage: sur les laissons, n’en parlent
que d’après Bloch. Je te trouve mentionnée dans le çatar
logue que ,S.. A. B.^ Je' prince^ ro.yal de Danemarck avait
rédigé npjin auguste a eu
.sgii^ïdG dire quelles. esptèf#| il n’a.pas vues, quand il les
cite, il ^evient^qe^^p que la bquvière avance.au Nord
jusque dans les*40ri:ens du Holsteip.,
jJe l’ai prise* moi-Ui'êqif à LçgeJ^, nous.,en ayons reçu,
par les |$ins de, M. Hammer,- 4 es- individus pris dans le
Rhinjjpres- de Strasbourg, *$t'p$ç ‘ ceux de M. Agassiz;
daqîrè^isont5 ,veuus de Munich,-. jElfe, est commune dans
ton|ç&ïesL'énîïi? don^pjde France où j’ai recherché des
poissdns; m a f s }^ ^ impossible de limiter sa circonscrip-
d r.a.iisë>yiu. silence.que gardent sur son compte les
antpurs qui .ont fait, .connaître les antres ppiss.pus de leur
pays. Ainsi,-aucun au.teur anglaisv,.Pennant, Tusto'n, Flém-
ming, Jennyns, Yaïell'ne. la citent pas'dans, leurs Faunes
ichtky,ologiq.uesfld’ApgIe.terre : doit-on eh conclure quelle
.ütexiste pas d,ap^ce,pays ? Nilsson ne l’a pas .comptee parmi
les pqi.sspn^de la $uède., Bien q^pUe, soit,commune en
France,, ni Delarbre, ni Millet n’en parlent dans les Faunes
- qu’ils put données deLejqs dîép|rtepien|ij' Hartmann, Nen-
pkig ne l’ont pas nommée Mans leur Ich|hyplogie helvétique.
. Rfoch e^t le seulQ-chthyologiste allemand qui la cite ;
il n’en est pasLa^t mention çiams 'Siemssep. et dans les au-
Çrfe,s ichthyoJogispe&j Reisduger nçtl’a pas inscrite dans son
catalogue des Poissons deHongrie.