Après cés chondrostomes européens; lïotts7 plaçons les
espèces étratigerës, dont la bdüéhé^èffe ftVüf^à^fait 'semblable
a celles de nos poissons* d-Europe^ mais qui ont
tons cependant un caractère remarquable da’ns la différence
que présentent les dents pharyngiennes plutôt dans
leur nombre que dans leur forme. Lés' motifs q u o j f a t
donnés plus haut pour ne^as diyiseivlesiables, me font
croire aussi que toutes' ces espèces, doivent êfcpg faàsséel
dans le mêntfe groupe.
L e CHONDRÔscoknf’&u Nil. \
3 (Chonàrostomci âembetisis, ItüppeL)
Le Nil nourrit Un de ces diondrostemes^Cfest un
poisson
àqarofil du dgs soutenu, et dont celuï.du ventre "est presque droit»
Lâ longueur de la tête,-égale à'la hauteur dju Ligne, est/Uomprisp
cinq fois dans la longueur totale. L’espace entre^eS,*yeux ,,es,t large
et comprend deux diamètres de.» l’orbite, »contenu |roisX^fui# et
demie dans la longueur dç la tête. Le museap^est arrond%-|ailfent,
formé comme dans l’espèce d’-jEurope, paroles p&, dèdâ mâchoire
supérieure, laquelle recouvre l’inférieure. Le-vpile^membraneux
du maxillaire supérieur est frangé,; la .lèyre inférieure%st ‘assgV dé-
• veloppée en.arrière de sa, carène molle qui soutenait'1!«!-cartilage, de
la bouche. Les deux branches de la màchoire£ inf&ûaure sont moîÜs
larges et moins écartées quenelles, du nez dîWrope, mais éflés
gardent encore leur position, horizontale.'Les dents pharyngiennes
forment un petit groupe de trois rangées, serrées l’une contre
l’autre, et au nombre-de cinq sur la ligne inférieure ou externe ,
de quatre én-des§ps, et de deux “enfin. La couronne est étroite,
coupé# en biseau sans dentelures, et ne diffère de celle du nez
d’Europe que par moins d’obliquité et d’acuité à la partie infé-
G H A P . X IV I . , C H © J !ÏD R O S T OM E § ^ 2 9 7
rieuÿq. Lâ .d ongles q^t longue,; l’angle; est pointue très-étroite ;
la -oâudafç^p^fphTîchh'è.
LlpKne latérale est .presque, dpgite; jè né’ trouve, que quarante
, 'é quâHptl-^ên^ rahgéfes“a’ eeaflfé» ' klè, Msl;fcôtés/ Le dos est gris ;
le v feu p alpes, argfenM i. *
, jh^'iyidüs1 ont cinq pqi|cés^%t' défiai. Ils viennent
dd ITO jM M: mort dés suites
(i^s^at'ihhès qu^sls ^héheÿçhék^àcfiV'és'' 'èn histoire naturels
dm ontT çaùic.
M. Ruppel1 n’a^t^oru^é^j^jin^^ul individu de’h'ette
espàfeéia^oraza ; dlg|ait lopg de ^oisvpo^ce|‘ et demi, et
au direudes pêcheprsî, l'espèce" rte < pas beaucoup
plus grande.,-, v
[trsL e Ê k ' d k h R o G ange.
' ( ChoÆrohômâ) dfmgeticum
M. ^Beghaûd â' rapporté îâu «Muséum un chondrostome
dont l^uqrps! est •pïus^ra^^urba'^^^'ôutWrs ua queue; l!e museau
pl^^ig^'Jes'j^r.es Jplus'^ minces, les branches de la mâchoire
inférieure pl^ f i tfcdCTêâ, la dprsàlè plüfhpiirte.
D. 4,0
Il.y »".beaucoup, m'ôîns d’écaillîès sur ln.-ppté : -je n’en trouve que
.trente-trois1'çangéés;^ la. ligne latérale est -droite; le dos est gris
plombé ; à#restîè! du dbripîS' ‘ar^êiï#. <
t'f!'Haindividu nVpasm^t-à-fait'quatre pouces de longueur.
Il a .été .nê'cjm d'aps^lè '"G^ngeV
j&ËUeber'neue ’Nilfiscke^-^ i6^>pl. II, %. 4-
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