5j
ü c ïv r e . v i l .
/ /H m m ÆHE ei^IAlRE.
[Holaçanthwciliaris^£aii^®$.-, Chcetodonçiliari's, binn. et Bl.j
‘ ïloüs commencerons par M e grande et belle espèé#du.
jgÿlfe du Mexique, qui ù’i encore été décrite que très- .
inc^arfaitéiiïeM par; nos-auteurs' méthodiques, quoiqu’ils
l’aient fort multipliée. !
; Elle* est assez bien-dessinée dans Wiüughbyf ^ljL'0 , 3,
figjtr), mais, d’aprèsmn individu-Seè et décôl'o^», ^uî%’a-
vait plus auèutiè ;dtes! marqü'es' ‘singülièî^s^ qüi^dïSritîgbènt
fespr^cèl Lirraæus paraît SrVOir r.ê|ïfés'eM
téré autrementy et qui ne montrait que les ligmjs' Mtétales
H p l : s i
sjOestsur cet individu qu’il établit soit espèce^dueAm-
toàon ciliaris, | ,
3 fiîBIbcb en a donné îéssuite ■(‘jxb '2 r‘4 )îKxflfe ^figure** t»ès-
corEectément dessinée^ màiS’faife sur ua individu* ds#cèforé
par ia- liqueii^^cpii paraissait ‘tout îgris^, et M^'éOriS'étt^t?
dautoe* linéament que Je: cercle de la nüqUe , mais teint
en noir. •'
r ElusÆardfa reproduét cette espèce une Seconde-fois,
sous lè-nomde chcetodon P a rroe ; cM Ïisa b é litti dè^î^ii’m
(pl. 7 y fig. 1 ) ne diffère du chcetodon ciÙàris de Bloch qfie
pour.n*fOMr;jét)éS figuré i d’après! le fraisa Mi
v ©esinaaefet bnïa donné un troisième nomyHébif d’e
chétodân couronnéy>àxns> sa première Décade; icfityélogu-
que, quoique lai ressemblance^eson poissomayéc le cüiçi^
ris de Bloch ait dû le frapper au premier coup d’oeil.
jL Mus. Ad. Frtd., pl, 33, fig. 1 . — 2. ûjyst-,
BgPiP
C H iE iV . If 0 E A C A K T HiES.. 117
<=’Enfin-, pai tout Jieu^die^orpjire qu’elle, en a reçu un qua-
tfième^dë fih a jw t^ ^ a ^ ^ e n s e . qiie c’est à- cetto* espèce
qu’appartienf la figure^iàéfe-1 '• yérité^'aséç^ grossière.- et mal
çdràriée^; de! 'Catës'Myi(t. I I ,$ptl3 v)> dont’ Shaw a fait son
choefiôdon Squamulosus.* ..
D’après ..cpmparaisbni^suivie qpp .nous* avons faite dé
le u p aMclç^etrJlejdégré ^ e ^ t- itu d ^ dont nous le^J^ggpns
re ^ ç tiv em e n t c a p ab le s-^ ^ n i^ o n s affirmer, que tous ces
auteurs téi’ont vu qu’une seule et- mêm^espéce ^eglle dont
nous parlons iju.!*
Maiémousfferons remarquer une faute d’un-autre, genre :
celle de^Linnæus, qui a Cite très-mal à'prépdsjla figure-4 >
planche 283- d’Edwards, comme représentant le chcetodon
ciliaris^ car, elle appartiénttàu tricolorje t néanmoins,’c é s1[î
juftnmèàl celledà que Bonnate^re, aschoisie. ponr>.iîepré-
senterle- ciliaris (fig. 179)5-en sorte que qui n%eçmsulte-
rait que les planches de ce d e r n i e r , ne parviendrait
jamais à reconnaître le <chcetodon ciliaris.-
: Nés colons’de la Martinique,'qui né s’inquiètent guère
desmomenclàtures scientifiques-de IEurope, ni des discus-
s|qm q u e lle s ^ ^ ^ o u n e n tp a rm i fesmàturàli|tes', appellent
cqrp cv&Sjrvn Ip. portugais* d’un nom qu’ils dérivent, de, sés
couleurs -jaune et bleue, mais quils etendent a b„eaupoup
d’holacarithes - eti de pomacanthes^.et même à -d è â ï^ ^ to -
dons ordinaires de leurs parages?, dont, fies, couleurs sont
fort différentes. ^ :: ’I - H$]U ?v ^ |É | ’■
Choris nous l’a aussi envoyé de la: Martinique sous le
nom de patate.
A Porto-Rico on le npmme palometa (petit pigeon),
J. Nat. Miscell,, p. 275.'