H du ïiïMrâtr&'à Les
teatraJesi sont blanches-, l’anale et là caudale grises:
‘ Nous" avons re^çu un Xres-bel individu de cette espace,.
long de treize^pouces, par ]JI. J. Desjardinsj deux affres ,
plus petits, Jë sont trouvés dans les AqUeQtipns faitçg dans
les mêmes parages par MM. QuÉy~etGaimaEd:ü^
L’anatomiOie cetteespèçenoüs a montré* qu’elle n’a point’de
; VëssiW^aériénne. L’èstlahâc ést étrôit, Édnf^ 'tèffiimé ' en peinte.
Le nombre des appendices ceéGales est très-considérable ;
grêles et alongées. L’intestin après le second, pli se*dilate beaucoup,
fait plusieurs sinuosités et s'élargit en un gros réctum, dont la
velputée offre des rides nombreuses fet lo/igimdihalfes. Le5 ro’ié^a-ses
lobes épais triangulaires. Le gauche est dii double plus albngë que
le droit.
L e Polt^ ème
LPoJyn^ug xani^^emus, npb, );
Une troisième espèce,, également à six brins, existe pn-
côré à1 la côte 3e Coromandel : elle fè’Ssëmble plus au
seirtarius (ypaca' sescjilis y
maïs les six rayons déposent la pointe des ventrales : ils sontcépen-
$ dant plus courts que ceux de l’héxanème, qui atteignent l’extrémité
du cofps. Quoique les lobes de la caudale n^&soient pas $ lus àlôngés
que cpné dii' sextarius ^fe'nagéojPpgsrpli$.-|mMoraaiemMt éénkn-
crée. Enfin, nous lui iroûyons deux rayons mous* de moins à la
seconde dorsale? * D \j^'.
Les couleurs^aous offrent aussi quelques différences. Le -flps est
verdâtre clair, les'flânes et le ve^tre^ont^ argentés y^ppf^eqires
jaunes, bordéés* de noir :lé§ ‘filets oh’t la même teinte (juë les
•^nageoires.;
lîbus avons deux individus de cette espèce, longs de
six pouçe^lt rapportés de Pondichéry par M. Dussumier.
L’anatomie
* distinction-de cette e§pèee^Ell^;n’aj4pas plus que la precé<|eq,te de
-^vessie aérienije:-Son egto|na.c est plus large, et moins long. Il n’y a
que douze coeq^ms;'|togés ef divisés ‘en deux paquets égaux de
chaque coté de la hranchejgiontante de l’estomsÉ|L intestin est plus
long, et le lobe gkiuché du -foi©'est.moins épaï? et se porte plus
loin dans la cavité'.abdominale.
Page 289. Addition à l’article du polynème à quatfèjilsï
M. Rang nous - a ëtfvoÿé le polynème à quatre fils de
la rade-'’de Corée. §|
m,Nous avons à ajouter que qette èsteèae^ que nous regardions
comme absolum eut - nouvelle lors de la publication
'i l notre-histoire des p6lynèmés?"eètit figuréevdans Barbot
(t. Y, pi. 6). Elle ne .parait pas portey çle1 notai particulier
à là côte de Guinée^ çarcè'voyagêur l’a désignée par les
mots de poisson incomm ( unknown ).
Page 28g. Addition à l’article du potynèpe à n eu f brins.
Nous devons également aùx! ïëcbercties de M. R&fiif* un
segpnd Polynème fort intéressant pour notre histoire de
ricbtyologië^i'“celui qui ân e u frâ ÿ o n s libres, dont nous
n’avions pu parler ,quÇ^(|’apr,ès yahl;‘^
G’eSÏ de tous les>poiybèmes ,qüeji|poS; avons vus céluiqui a le
corps le pltis haut. Par la forme il ressemblé â un cyprin a corps
élevé ' et peu épais, comme la .rosse de ngs étangs^ (cyprinus ery-
thpophtalmus, Bl.). La plus grande hauteuf mesure le quart de I3.
Itingueur totale. La tête a un peulmoïtisWfongueùr qde le corps
n’a dé haùteur. Le mùséàti est hautHèt”té?s-obtus. -L’êèS" est grand.
Les dentelures du préopercule sont égàlesiét très-fihës. Le bord près
de l’angle a une large échancrure ou un feston. Le maxillaire-est
jétjoit et arrondi. La première dorsale est haiit^ triangulaire et