Le TiiA.sî ç goiB po ipf l/,..1
| (Zanclus cornutus, nol}. j Phcetfodon, cbrnutùs PJJiun. *BL,
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L’espèce la plus répandue^ celle que les petites p o in té
denses ®<^îtes ont fait nommer cornue, assez; semblable
aux béniochqs pfiiir les fofmes êt les couleurs, en diffère
beaucoup pour les écailles, et* pour d’autres particularités
extérieures ef intérieures,
§a§i-.corps, jruùns le museau et Jet nageoires, offre un
contour circwlaire^aife qui,lui a lait donner paillés- Hol«
landajs, des Moluques le n om d e b es an l. 11$ lui donnent
aussi ceux d e piquieï %■>, de irompette^et det porte^en-'
êeignç* 4. Sa figure extraordinaire et ses petites cornes font
rendü^l’objet de la sup e rs tition de ce rtaines peuplades,
et Renard assure que lés pécheurs des Moluques, lorsqu’il
leur àïrîvë d’en prendre u n , le rejettent;A la mer après
lui ajpir fait 4es:génufle\ioris5? et. donné d'a titres manques
de respect Cest d ’ailleurs comme la gtande^é,caille uji^ex-
cellent pojstpn, qui a le goût du tu rb o t^ e t .pAse jusqua
d o u z e e t quinze livres6 7 8. On en a-de- bonnes figures dans
Seba ^ dans Klein 9, dans Bloch (pl. fiftfipIlHN ‘Gommeièon
l’avait décrit à Otaï|r%n î j&j pM m avait fait un-genre
sous le nqm de zéMclud [tranchoir}^^dayaüfe r e td û i ^ é n
j ^ffo à l’Isle-de-Franoe^ où l’on nomme ce poisson^/’«?«-
1. Besaantje, Vlamiag, n,° ao3 5 Renard, 1 .".part., pl. 13, fig.. j[6, ^ 2. Idem,
a.' part., pl. 16, fig. ^5. — 3. Valentjn, n.° 168 bonne figure. — 4. Idem,
n.° 456Tr-^' 5. Moorse-afgodt (idole des lfeures), Renard, 2 .'part., pl. g, fig. 44-
Ruysch, pl. 1 , fig. 3. — 6. Renard, 2.epart., pl. ef, fig. 44- J
7, Copié dans l’Encyclopédie méthodique, ichtyologie, fig. 168.
8. Miss. JF , pl? 12 ,>fig. 2 et 3; ..
doS) il l’y décrivit june vSëtÈiûdé fois éémme ufo êh<éfodon,
e t à qu’il patâit ^faÛM fd^igëùre zânclus.
Dés id a iv i^ s fM f i^ e h lerit‘|em b l|i|ï^ p ttX Sfenâ o n t été
rapportes’ tf l l Cëroun('s’*,pàr' |||fk p n eVGarnot, et des
fjes. Sandwich, dé T o n ^ tabdo>, .d&:vtanicQlo e t de iQelèbes
par lVTiVt. Qiiqÿ.qt, fiaimard. Ainsi■ l’espèc^,vn,ej‘S.)étend pas
moins dans l’o cé^ îfJ^ ëifiq u e qme,, 4 Pis ,1a mer-'des Ind.es.
Nous avotts déjà dit que la forme <Mson traite èst presqueææficu-
laire ■ mais dé ce cerole sortent ua museau conique et poirfUiiStnel
dorsale et une anale pointues, et la pointé- de là dorsale se pwoijfe-
geant en filet deux fois -plus long.qus le corps j enfin-, une oaudale|
qui s’évase nia peu efi érdissa®!. ?
hauteur, prise di»defai#>âe la êofsdeàla fiaseides véntfàles,
est unevfoîs et deux cinquièmes dans sa fongueuryprise du boatidu
museau à celui de là caudafoySpn épaisseu-r est einq oti sixfbis dijms
sa hauteur. A compter de la dorsale., la nliqug 0UjplutAt dé>eéine
descend^rapidement; et ^Compter d«S!yseûiX, laupurbe-du profil’esf;
très*eeW08W*t ce qtûiait saillir le museau comme un e6he une -fois
aussi long-que large;- fei iualgré Cette saillie , la longueur toute «entière
de la tête ne fiât que les trois1 cinquièmes’ de sâ.-'hauttftif.'tLa
botmhè est tr^s^peU fefidue 8t garniô-'siesdenK en soies simplesfin-'
f cfinées en avant ;; on me âistmgUéniife maxillaire - Ui-ife soqs^orbi-
tâire au travers de la peau, sises iÉeu® bords du pré«ipiÉ!é#fe'-fo^»fent
un angle très- obtus <, et dont leî gomtoet* est arïondi» L’opercule,
irois fois phis haut que long, a son bord arrondi et sans angle,
; Ce qui donne, ardtipnc de( fce| ramgfnnume forme' circulaire, «ÿbst
surtout la ëônvexîté de la p oitran e> ■TOïSW&nas^pÿfiduite parde grand
3: élargissement des ois 'de lïépàUfo. Il enrésuimuquele mus©Iuyest
presque au milieu dé la hauteur du corps. LbfeiResfc'prês> du: préfil,
et *à peu près au milieu de la himteùr d© ia:têtej sdn> diamètre^gst
du septième deicèite hautêUR Prés de Son bord, veis le }mS(rfont
des deux Oïifices de & ïArifeft^O«; rappr^hèsy pétt- pl-èségaaât.
L’antérieur est un peu Inférieur, et a m léger renflement à