n’ont rien deqiarticuliery si ee-nWstqueie premier rayon
des *rentralest.p®ait’ amplep©e?qui serait le«seul< vestige
d’organisation qpiîrappelleraîfcles.a'cantlioptéry'gieiïsn'lonteS
leurs écailles sont fortes; e t granulées ; leur ligne-latérale ne
s'interrompt- point,we.tfà$ seulement une^legèreseofflrbnré à
son qUartyfmtérieur-.;
« tesiopbie^feales<ont, ie©mme les anabas-et lés ©spfero-
mënes, au-dessus de leurs branchies de chaque côté une
cavité divisée par des lames saillantes et.propres k» retenir
Ifeàu^maiseesïlames sont mmns monrpliqnéèsfîî 'ï
- L'élargissement *dé la tête est produit-’par les frontaux
principaux et? postérieurs, le&pariétaux et les mastoïdiens,
qui s’avancent pour former de chaque; noté* du crâne ‘"Une
voûte au-dessus de la cavité qui loge les branchies^ et qui
est fermée du côté extérieur par^ fappareil temporïd^st'-pté-
rygoïdienet par les pièees operculaires. Ija branche- supérieure
de l’arceau de la premilFeijfîKnefeie ( pleureal supA*
Bienï);est daktée en une grande lâmofosÉnëe de deux plans
joints à angle^ obtus, et terminée dans le'haut en une tige
grêle , qui,- dans les autres>p®tssOnsf forme un ,dsî particulier
le pharyngien antérieur)1:-, cette tige-suspend la pre-
mière branchie au mastoïdien eterèe-eêité.- Une grande-lame
verticale de la face in terne de l’os: que j’appelle temporal\
sè* trouve placée en avant de -cette lame de la; première
branchie, et c’est par les membranes qui joignent l’une-à 1
1. Il est marqué 6q dans les figures VI et VII, pî. III ,,de l’ostéologie de la perche
(t. F) ; «t je dois fairtih-émafquei'iêî qûé Voir y* a 'dorfdé^àr 'fnégar’de sur là figure VI
Ip même.numéro au stylet qui suspend.l?os,hyoïde ou stylhyal, au lieu de 29 , qu’il
doit porter, comme sur la figure ytjdf!la..plançh.e II.
‘ '2. Marqué 23 dans les figures de l’osteologie oe -Ià perche (pl. I, II et EÛ du
tome 1 )^ ; §
l’antre qu’est' formé^leisènus, - beaucoup plusi simple que
dans ifanaîtes^îoù-leau peutrêtrê retenue. Le pleuréal 4e
la-"Sèé|ÿHdd:*b«anchipfc;@Éïfe@torbé*idesiiiÉâéàfovJ»'»^qu»;ts:on>
extiémkéteuîpjiieàrëv’arêjomdrer.tevti^isième’fpharyngionj
qui lui même Particule aveede quatrième,| lequelesrpopté
par lesi-doux dernierspleurélnax. Lê dcuxième-phairyngien
est loUg et étroit ysu®pendur&®n®d<^deuxièmepleuréal, dont
d eux d erni<ers j réunise n Utoseule plaque, -porte nt yau/éo n-
traire ,- de grosses-dents coniquesieft. uni peu crochues. Il y
entadepareillessurdebof&postétteiardes^caxphaFyngiens
inférieurs, d o n t le reste de la surface n’en a qu’en velours.
Les lames ou plutot‘.l©s*fpangès, qui formeMlorganeibran-
chial proprement ditysont sioguMèrement grêlesetgcouDfces$
il n’y a ipasîite ddmfcbranchie attadiifeiàdlo pécule., I^esteN:
mac-est un sac> charnu 'assez. loogyà foncbof) bus, "'^parois
ilîtérieures'très-plissées., ;La braneheiqulsconduit: au pylore
est voisine dû cardia. Deux èfeeeums seulement adhèrent au
pylore, maisriassez grands. L’intestin n’a quèdeux,replis*
et est mine®? Le; foie «est divisé-endetix I d b e ^ d p n tle
gauche ie&tvalongé»1
; AmsiydesopMoëpbales-n ont pasdeeanal intcstinal aussi
longetaussisenroulé quedes polyac;a>âtheS', ef surtout que
le g&nrami ; maisr leurs eeecumswsont; en meme, nonabipy
«C l’on peut rernarquer que? cesnombre est aussi ftéluL de
la plupart des mu|és.fffd
. Cette cavité, propreorà tenir- de l’eau .en :i^ervey; dont
les ophicéphales sont pourvus, four donnem comme ,aux
anabasy la- iaculté de> vivre longftemps à sec. INon-seule-
ment on peut les transporter au loin; ils sortent.euîMmêmes
volontairement des marais ou des canaux oii ils vivent,