H se d» dos; La caudale eut arromdî&iou.
; tt^qiiéfe,,et a s^ie JEayeas. Les pectorales sont oMyiay *s- et jné-
diocres ; o n y eomptequatorze rayons. Les ventrales missent an
peu plus en prière :qua les pectorales ; leur épine est médiocre; mais
leur premier rayon mou, simple et semblable, «somme le dit <3epi-
merson, à une antenne d’éerevisse, atteint presque jusqu’au, bout
de l’anale. Le deuxième a’est pas plus grand que l’épine, et les Crois
autres vont en diminuant. €e poisson a de grandes écailles; on rfen
compte que trente grandes et quelques petites sur une ligne entre
l’ouïe et la caudale. Sur une ligne verticale au milieu il y en a dix-
huit. Elles ne se portent pas très-loin sur la base de la caudale, ni
sur ceïle des parties molles de la dorsale et de l’anale. Elles sont
< arrondies tout autour^ fiant» ent pointillées, ..et ciliées à leur p^tie
i estemej l’éventail de leur partie cachée a mvironjqniaze stries, e®
les parties latérales sent striées si finement, qu’une forte loupe peut
seule Le faire apercevoir j la ligne latérale, est à .peu près au tiers, d#
la hauteur, et se continue jusqu’à la caudale sans interruption' ni
courbure. g, 0 f£Mjj % ll/W; C. M pAM N É PH
Losphremène, dans la liqueur, paraît^ d’un hrun-doré, clair des
. reflets, semblent y former des lignes verticales plus brunes; les bords
des écaifles .paraissent aussi plus foncés que leur, milieu ,jétvles na-
; poires le sont jéeUemenfc
Commersong qui l’a vu frais, dit qu’d a la tête, le dos et toutes--
les nagçpires d’unhronT-rougeâtre obscur; qpé lesréeaiÜes ^de son
front et de son ventre ont le disque argenté ét%hft^ brun; ce qui
• . produit autant de taches ou. de- xnaUles. rhqa^oïdale^ qu'il y u
d’éçailles.
Noms avons, maantenairt sotts les yénx de® gOurami>\e&
uns rapportés de l’Isle-de-Fraueie par MM. -Qu:ëy et Grhi-
marrl, ou envoyés du même parage par M. Desjardins}
les autres pris à Batavia piÿM. Raynaud5 enifin, un dernier
envoyé de Cayenne par l&Poiteau, et qui est de ceux que
le capitaine Philibert .y a transportés »de llsle-de-France.
Ils ont trius - une >t®ehe brune sur la base de là pectôrale, èt un
trait noirâtre allantHçterceil aubojit du/mn^te La plupart offrent
des bandes }verticaWul«is brunes et; plus, claires, au nombre de huit
à dix wdule^u* > ’noirâtre, plus ou
mefins marquée, se voit.sur le côté 3 e la ,queué.au-dessous de là
ligne' latérale* .
Les lames en labyrinthe du gai/r’arfn‘èànt presque atlSsi compii-
4pïêëb que celles Âe’Vtthabas , et beaucoup plus que daitfs BPISnlig
polyacahthes et autres poissons de la famille. «Commerson, en les
pnwwmt poar-dss: edahoïdésv éfâii^’appë de ièrir ress^nMantâe avec
les cornets supérieur» du. aez de plusieurs quadrupèdes, qui est en
.effet très-grand. Leur appareil se composé :4 e quatre lames principales
en arrière, qui en avant se réduisent à deux » et se contournent
un peu, et dont l’externe en porte cinq èut six de, transversales, guji
vont en diminuant d’avant en arrière; niais la vue seule peut donner
-nnMdêële ce que cès lâmes pfodUiééift prleUrs replis de dèHulés
;etdffù^^ÿtèeinpîicatioàs;
. Le fine de ce poisson est de grandeur médiocre , divisé en deux
lobes; Û y adhère une très-grande et.très-longue vésieuie'du fiel.
L’estomae a la forine d’une cornue ; sa jmtanbraûe est. opaque, mais
non trè$-épaisse. Le pylore n’a que deux appendices, .mais assez
longues. Le canal intestinal est très-long, mince, plusieurs foxR
roulé sur lui-même en spirale. Il se dilaté' un. peu dans le dernier
quart de sà longueur. La vessie natatoire est simple, argentée^ sans
grande épaisseur. 1
Le squelette du gouramt a douze-vertèbres abdominales et dix-
huit caudales. La tnêtemitoyenne desoh crâne es‘t »élevée- celle de
son ba basilaire, qui descend pour séparer les cavités des labyrinthes,
a son angle postérieur dwisé ea<lenxâfl y a six haterép&neux
avant celui de la. première épine dorsale. Les interosseux des sept
premières épines anales^ de plus eji plqs lpngs, sç grpnp.ent en
avant dé l’apophyse descendante de la première vertèbre caudale,
apophyse' qui est très-forte. Lés côtes sont grêles, et n’embrassent pas
toute la hauteur deTabdoniéh.