cette nageoire. Les eûtes n’ont que de frêles appendices. Les
^ u x rprepières vertèbres, jeandales unissent leurs apophyses descendantes
pour porter les premiers, interépineux de l’anale. Les
, deux premiers de ceux-ci sont ‘soudés en une seule m®e pyramidale
etanguleuse.
LIVRE HUITIÈME.
DES POISSONS A PHARYNGIENS
L AB YRINTÏÏI FORMÉS.'
. *
La famille dont'iioü^^litBi^fMiPB fhi^tBîré^t remarquable
pai*ÿ^^llî^t®ê'q|ii
dans ilùe divisl<^|iQ fèüilfets^de^a surfacë^d’une partie*
dés pharyngiens; divisionjxui produit des’cavitésPePdc
petites loges plus ou moins compliquées, mais propres à
retenir une certaine, quantité .d’eaù, a peq.ptès. comme le
résëau de la panseéfiS?chameaüx. Cet appareibèst renfermé
sous^des opfercules bombés et bien* serrés contre le corps;
en sorte ïjué, même après que le poisson est &ofti *ft$
l’eaîiy éellë qü# ^htienhent 'èl^ p lé fft^ id p f n i sWéq&ife
^ '^M ë tp f e l^® h ^ P IS P 'I ls 'j6 i^ ^ ^ 'p lé s ''em p Ic lfe
de së dpslcher ;* apssL tous l^s^pjoiæôns de cette famille
dont on a constatées habitudes, jquissent-ils de hufaeulté
de sortir des rivières et des t etangs, qui sont leur séjour
ordinaire, e t «de vise porter à d’assez grandes distances^ en
rampant dans l’herbe ou sur la terre.»-
Ce qui est étonnant, c’est que des êtres à^péme remarqués
de Béë qphrs par lés naturalisé , saiènt déjà été bien
connus des anciens. ■
Théophraste, dans Traitéries poissons qui vivent
à sec , dit-qu’il, existe dans l’Inde certains petits poissons
qui sortent des ? rivières pour quelque temps, * et qui y
retournent ensuite, et qur»<%s^oissoiis''ressemblent à
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