^epoinlue^ la ^seconde, qst un peu. moinshéleyéq.que ,laqareoeière, et
légèrement-éçhancréev L’anale a moins de hauteur. La caudalejest
fourcl^e,%e sillon du dessous jdelq .pe^pralfi à l%thme est plus
profond que dans aucun autre polynème. Iæs: ventrales*(Sf)n^*-|t|a-
mïees. soùs Ta^femb du deuxième figrs de la pectorale. Les filets
dépasfeût sà peine la hase de lai ventrale.
Voici les nomlhes des ray.pnts àggs
B. 7; B. JS — f/14 J A. m t J Ç. n ; P. 13 - 9ë ÉÉÉil
Les écailles sont grandes et lisses,. comme celles de ncp. cyprins.
La èfoSiîeùr paraît avoir été verdâtre-, à reflets argentés. La première
dorsale est plombée et finement pointillée dehoirâtr'e. >
L’anatomie de ce polynème* nous a montré un foie peu? eonsi-
dérable, composé de deqx fixbes j aplati^,. .triangul%ijçes, .pcpu^s; :
le plus court, celui d©> droite, porté pne petite vésicule «Je fiel
oblongue. L’estomac e§t ^ovoïde. assez large, peualongé. Les appendices
coecales ne parâîssènt jpal^tre en nombre considérable t
mais nous ïrâvôns pu les compter. La vessie aérienne est, simple',
énorme, occupant toute radm^gdèOT ou doVaepm's^ïès.^iM^p
prolongée en pointe cQjficme |K aiguë; jusque, sur interépineux
de l’anale. Ses parois sont fibreuses etairgehtees. Les laitances’ forment
deux longs rubans d’un beau blanc. .
Page 335, après l’article de ï’upéaéus de J^Jaming^ajoutez : ^
< L ’UPÉNÉÜê A '
( Vpmeus^ivitjtfltüS^N^a. )
Oü trouve à la èdte dè Coromandel utl upéneus qui
ressemble beaucoup par ses formés au ra yé .
Il a de même, les dents ett‘>âôtirs,W'‘w t mâchoires, àu vomer
et aux palatin^. La ligne; latérale est.formée d’une série d’arhps-
cules composés de^quâtre branches.
D.1<- l/8j A. 1/é, etc.
M, ©ussumier, qui. l’a Vu'frais, nous apprend que le dos est ÇauVe,
nuancé de verdftfe’, lê’s flafacs èt‘té ventre argentés; deux raies
longitudinales jaune doré 'courent Te long des flancs. Les deux dorsales
sont blariches} yar^ë|'de verdâtre; la première est terminée
par une tache ndire^ La caudale Iséf verdâtre clair ; les pectorales
sont transparentes^ l’anale êTms vpntralés sont.)aimes.
La taille dès in^adus rapportés parJM. Dus|umier varie de cinq
à six pouces. , .
Page 33g. Addition à l’article de Vupénéus de Ceilan.
MM. Quoÿ et Gaimard prît retrouve cette espèce àt la
Nouvelle-Guinée : leurs individus bien conserves ont confirmé
la |iaStMéte de nos observatioiisV *
Les appendices cèëçales sont au nombre de seize, diviséesi.en
deux paquets égaux de chaque côté dé l’eStomac.
Page 339, apres l’article cir0e^îs, ajcütor
Z /U pênéus de'Vaisticolo.
i» ( Upeneus vanicplensis, nob.)
Les mêmes naturalistes ’ ont rapporté de Yanicolo un
petit upénéus assez -semblable à* celui de Ceilan,
mais- qui en diffère,.par,,un museau plus court, un profil plus déclive
| un oeil plué graÉÉlÿL’espace qqi sépare les yenix est plus
bombé. La première dorsale est moins pointue, parce que le
troisième et le quatrième^ra^on épineux sqnt^ plus hauts que ceux
de jjÿitre e s p è c e ^ Kg g gjL .
Le corps paraît a v o r t é plus ou jmoing doré sur le-dos<
Lëà nagëoirés sont jaunes.
Les individus n’ont pas cinq pouces de-long.