-, - : petites '.ett*plus'fiBepænt:.*d«ntelées. ; Le, noir dwfeqïd : membraneux
I* 4e Ti®p89®ttls est plsisvÆQPsi^t^leÿ ïWv il(s’ét^4 .'sTjù'&Iîîffl^eE«iule,
. 1 l’épaulé, et l’aisselle de-lapectorale. LéHçèrps
est rouge, glacéd’argent,, ' et vies i^geoires a.«® .plus pâles que le
. :çorp&ï , . i | D. lO^i^iS;
Page 128. Addition ^"l’article du^jripriJ^s Rexggohe.
MM. Quoy et Gaimard noüÉgpnt rapporté de Btfurou •
le'myrïpristis héxagbne, do n t nous igiftdidns la patrie. L eur
individu','long de huit'pouces, est parfaitémént bien cbu-
servé jS t il nous a-facilité'lés moyens d Apnifer e p ^ e quelque
.précision? âux caractère^qq,eMnouSi avqns, ^ssig-pés à
cette espèce.
Le erâtie est plus étroit^ qu’aux; précéJens. Lmtervalle de^’yjpux
fait le cinquième de la longueur ,deJ la têtef Les palmures, êrmæ§
comme dans le myripristis d’Amérique en cinq ou* sixTbrins, ont
'dés deritélurês beaucoup plus fortek' L’épiné ‘de l’OTierçuIe'es't plus
gr^ei? $ Je bUr<Pmffeêur deil’îàteroperctdé fortement1 dentelé'.
Le maxillaire à le bas plus Isîrger; qu’à* Sû^mi'&OtSée myripristis. Son
4 angle inférieur; est moins arrondi, et les ; dents de eeti&rïgl’é sont
grosses;^ grenues. Sesébajlies sctçt plus grandes et plus .brtemerit
, denÇil^f ., M
La couleur de eè poisson, d’après le dessin que- ces naturalistes
ont fait sur l’indiyitlu frais, est uns beau,frouge, vermillon Sÿtr Je
corps et sur les nageoires. Le bord antérieur de la portion molle
de là dorsale, de iWaleV des Tentralespet le bqVd supérieur Æbjnfé-
rieur de la caudale, sont d’un blanc pur. Le b o r d membraneux de
l'opercule est large et noir1. Il a très-peu* de'noir ‘dans faisselle
de la pèctorale , et il n’y ëù]apdlîit süin’e|iàiïite.ï/oeiirest jaunevif
Cette nouvelle comparaison nous prouve la juste|se de
notre conjecture sur ïasprp tôt us rifberde Commérsq.n,
dont M. dé Lacépéde a .fait,, cpmme nous layons d it, le
centropomev*'0ui§ei>lles:tïévi4 entqué^®’'estnotremyripri8tis
héxtfgbffé quifsi^té VU. et^ifcriÇ'par^CbmmersOn^^1
Page Addition à l’article dutB^/pmJw; kpetites dents.
MM* Quoy#e t. Gaimard o jS m trouvé le mypipristis
parvidens dans le m4ême n^vre*' d’o ù ’les^pmpagnons de
M. DupeErey nous f avaient rapporté.
Les égailles cFü'dbs sqnt bordées de vert très-foncé. Le centre Je»
écéilles est^argénie',1‘cé%di ïàît paraître 1 ^doseomme re'cotivert par
; tin réseau noirâtre au-dessus'de’ lalligne latérale. Gette bordùiè des
i4caiMés paraît 4xès'-peu’sur les flancs," et le-ventre' du? pbîsson" est
t(mt-argentéiÆeS itegeoires sont.blani^i©s- •
Ges individus ont six poqcèside longueur.'
Pagè S 9ra| ap'rèsd’article 'du mfriprtstis du Japon, ajoutëzV' !
■ X e Myrifristis axillaire. . j
‘ (Myripristis,axiïlaris , nob.)
Il 4 ious resté à parler de ttbis * espèces de l’Isle-de-
Francej qui sont reconnaissablè&pa’rcé qu elles n ont pas de
noir au Bord membraneux de T opercule.4
La première, a. une tache maire ;daiië déjà, pectorale ;
ellj a Igjjeorps unpeu^lus a|ongf qim m^epremière e^p.è&e^ la
merdes Indes,A laquelle elle ressemble.d'aifleursplu^q^’àjaiùqune
s autre;, mais elle a l’oeil,plus petit, les dents.grenues de l’ex,t^émité
... des mâchoires plusv^ss^mngtjqpae«d||ydft.^wede 4p tgoufrUlaire«
J Les palmures du crâne sont finement sp^içes^Le ^oug-qrbitair^ est
plus grossièement dentelé et plus^ élargi à la réunion de la première
pièce avec la seconde Le dos au.-dessus de(la ligbe latérale'est rouge
cuivré. Les flancs et le ventre sont argentés, quelque peu teintés de
• rose. Les nageoires paraissent avoir été d’un beau jaune.
mi^mSSfA^àâÆMità, é/13, ete.