teris et de Ketlitz, naturalistes de la dernière expédition
russev A Otaïti l’espèce se nèmmè parukah et hereaotaparha.
Le Chétoixm, à pojntsæt lignes«
(Chcetodon punctato-fasciatus, ntik)
Un troisième de ces chétodons mouchetés:
a sa bande oculaire pâle dans le milieu, et presque réduite a une
ligne brune sur chaque bord!. Ses taches paraissent rousses, étàil a-
en outre six bandes vçrticales_pàles et neu marquées, descencjant
jusque vers le milieu du flanc, où elles s'effacent. Sa dorsale et son-
anale ont chacune une ligne brune où koire -paraUéle;au; bord,
Ksérée d’une ligne blanche. Sur le milieu de sâ caudale ’est \me
bande noire, qui représente ùn croissant* parce,qu’elle est plus
large dans le milieu Sa dorsale et som. aéale; sont jarrqndies en
tj—arrière. La seconde épine de son anale fest îôngue et forte.
D. 13/22; A. 3/lâ; C. 17; P. llV v f^ rr
Ce cbétodon est depuîÎFtong-tèmps auCaMne.tdu Roi
sans note sur spn origine. Mais uous jen a-yons vu?une.
figure parfaitement;.rj6S&omblante parmi -les dessius de l’ex -,
podition russe.
Un grand nbSibre decbëto<^ons manqtiënt de élÉ8ïMP'
des ou de c e ip ô in ts multipliés, ‘et joignent seulement à
la bande oculaire une/bu deux bafi^ës în té ttè ^ ^iiël Ml
l’arrière du coTps, et quelquefois une bu lleuxf taeHéé'bd
ocelles plus ou moins distinctement liiélés.5
Il y en a même qui sont absolument réduits à la bande
Oculaire. Tel est
Im ;
{Chcetodon virescens, nob.)
espèce rapportée de T iiïio loe lr , eT^que M‘. Des jardins
vient d$- noià^i.,e^<|ter..dq-|l;4|lë-de-Fr'aueel!
Son norps et ees nMmfres.-nariafesent ffun. vert pmnoncé sur la
jluêt% olivâtre surléldds, et; les .ffânfcs ..glus- nâfe‘ cependant "sur un
’espacé" assez largë "en fetien arriererS® la band^focûlfiire, cl
~%iir‘ un autre*'âu4mmèiï' dù|Ppxps. ’Cette baftde Véul'e et le frcùit1 ƒ
| 'sont noirs"OU d ’ün bruïi fêff/fèŸiSéà verftFales ‘sont uïi ’pèp1 teintes
de.nofeâtre. Il' ail^çaaseau-pesu isaillant: Sa1 "dorsale sfet-sou anal#
sont arrondies.
. 0 . 13/25; A. SffOpJfcLon
Les individus 'n’onome trois ‘ponees!*'" '
Le toitade de Renard (t. I , pL&ùjik pourrait bien
être voi'si'n descelle espèce ; mais ^êë^cbulèuriS 'sont va?-
ri^éggi, def verdâtre ? d e jaun4tre$4$~d,6) ro.pgeâtre dans dés
directions longitudinales».' ~
: L è Chétôd^^ ‘ b-E KleijST.
g q,(Chcetodon Kleiniij, Bl., 2.)
Le chcetodon. Kleinit <|è®Io;cb parait re^piableii àtSélui
que nous/venons de.décrite^arega forme et par sa cou-
leur ; mais l’auteur- lui donne des nombres de rayons asSez
diffère n s , ët qui seraient mêmev uniques' dans oe'-sous-
geü're.
17/19; A. 8/20.-
Il le croit le même; que, cMui- qu’a 'représenté' Klein
(Miss. u6$>l|â^Év| fig.i;^ )4ïjeftJen.; effet èë .n#mFTëideA*dix-
sept rayons: s’observe dam cette figure ainsi que la!i forme