et § 5 ) et fo1- 2^ r'4 4 et B i m |
sa q u eu e , prol™gée*én>deux très-longues p o in te s, 'est le
trait le plus apparent, d e s a conformation, ^djjest d après, pl}e
qu’on l’v^d^signe. On hd^donme 4<a nom hollandais de la
lavandière,ou du h©ch,e-queue^ u ick -s te e r t (queue v iv e ,
queue qui. se remue avec {vivacité).
(«Son museau est* îctmrtyfe'ôîi acl)ips soBlofijp Sa longueur Sans, la
caudale contient^eux fois sa hauteurç et en l’jh^mprenant,«trois
, fois. Les dentelures de son sôusjQrbitaire et de so^préogçr^ule sont
bien marquées * l’aiguillon de l’angle du préopercule qst long ét fort.
Sa dof&îÉe et son anale s’élèvent peu et se terminent en angle. La
pointe des ventrales est aiguë', et atteint au-delà de l’origine de l’anale.
La caudale,, y compris ses pointes ? fait le .tiers de la longueur totale;
__mais ses rayons mitoyens sont de plus de moitie moindres que c.eus-
' dés pointés."' Les écailles sont grandes ^s'&ieËs* ed c ilié es comme dans
la plupart des espèces!- ’
D.15/15; '
Dans là licfixètir il parait d’ûn jaUne-brùtt‘dpre / avec tfn'e^tache
jaune sur te^verteA en avant-de la dorsale^ bâiilles longitudinales
bruneV^qui partent d’ê d’oeil'et règiièrît jusqu'à-kCcAudale.
: La préHiièfe' êSt’rmmédiatement* ^n-dessefus de «la ligne latérâlé, la
seconde à la hauteur de l’oeil, là troisième à celle des-pectorale^. |
Les ventrales et la partie .épineuse de la mejpbçape^opt brunes; le
reste de) nageoires est, de 1$ cpnlemdu^ôéps. Xa çaudalç est cernée
de, points bruns sur toute sa partie moyenne.
D’après les figures originales dé Vlamîng (4*° bien
copiées par Renard, le poisson frais ést argenté, tirant au bleu d acier
Vers le dos. éèé bandés sôfit brtm.es j il en à quelquefois üfré'quatrième
du côté du ventre, qui ne s’avance pas jusqu'aux ventrales. La tache
de sa nuque est jaune ou verte,- selon" les individus. ^
1 . Vlàrning^ «f ies autres d’apiés lui", disent que l’iindïyidu S quatre bandes et à
tache verte est la femelle," .