jj se 'courbant, depuis la ^pioitié postérieure de îa dorsale -épineuse
jusque tout près du commencement de la partie molle de l’anale.
Les nagediresi-sont,jeunes et. sans bordures, excepté la caudale,
qui k vers le^bëut in large bord Éoiï^t un'liséré blanc. "
D. 12/26; A. 3/16-, C. 17; P. lë'f V. 1/6.
M. Ehrenherg nomme çette esQhce chcetodon lunatus,
L’échantillon a sept pouces de longueur.
Le GHÉTODdjN BORDÉ.
\ Choetodon margifiatus, Ehrenh.)' ’
Unç autre espèce, également due à j\L Ehrenberg, et
qu’il a nommée mar.ginatus ,
a comme le lunatus un museau médiocrement sriflmt , et ïé£ nageoires
verticales arrondies. Son corps est argeqté, k stries obliques
noirâtres. Sa bande oculaire est réduite à uné ligne étroite. Il a ies
.nageoires jaunes, une tache noire à la poitrine, une Xij^ne noire
Rur la base de la caudale, dont le bord postérieur est blanc.
rtL’individu ,long de quatre pouces, a' été. pris à Massuah,
Le Ghétodoh de Desjàrdlns.
(iChoetodon Abhoriani, uon?)
M. Desjardins vient de nous envoyer de l’Isle-de-France
un chétodon qui se place içi dans la série.
Sâ qüque Se relèye. Son museau est médiocrement saillant. Son
corps, argenté, avec des reflets olivâtres, a dix-sept lignes noirâtres^
toutes au-dessous de la ligne latérale, toutes descendant obli-
quément d’arriëre en avant; une seule bande- oculaire, noiré,4wé-
. fée de.blanç; une large teinte d’un brun noirâtre sur l’arrière, du
dos et la base de la dorsale; une bande brune, mal terminée, plus
large en ayant^-le long de la base de l’-affale; une |>ande brune sur
la queue etune-lighé noire,sur la caudale : rintervalle est jaune ; le
reste ,de la caqdale grisâtre." Sur*l’arrière défia dqrsale êt de l’anale
! est une temtèwl’un orangé vif. Ces deux nagéoïres spnt lisërées de
blanc. Le6 ventrâmes*sont jaunes^, les pectorales grisâtres. .
D. ‘îfpl } i.'3/18 •' P. 16; V. 1/5.
Longueur, trois pouces^ et demp
l Le CHÉTtfbON CROISSANT, i
(Üfuetodôn lunula, nob.; Pùffiteébit&e CTOissçnt, Lacep., c IV ,
p. 507: ét)SiÇ'-J
Nous pîaÉëi^iÉ ici un deS^ôhetodons' dé la mer des*
Indes , qui est peut-êtrç le ^plus’ singulièrement ‘ Coloré.
Commerson’ en a laissé'deux individus sécs, .et une description
fort exacte, de laquelle Sf. de Lacépède a extrait
spp H | Avtépomacentre c t b is s ^ t ^ ^ m ^ â Â .. d?iiis
cette description n’indique d'autres* caractères quef ëeux
d i chétpdQns? Depuis lors .M. Mathieu nous en a rapporte
de dlslte - de - France d’autres individus dans là liqueur
, et nous en avons tu parmi des dessins conservés à
la bibliothèque de Banks une très-belle figure -, faite à
fîle du Pfmcè^de-GaleS-fehtre la ]Nau.t'plle-Guifiéè ët la
Nouvelle-Hollande; enfin, MM. Quéÿ et Gaimard viennent
de le décrire et dé le " peindre à^l’Isle-de-France.
11 y en a aussi une très-bonne%'figure dans le recueil
de Vlaming ("n.° 2*33 ; et je m’étonne beaucoup que ni
Vàlentyn ni Bénard ne l’y ai eut copiée 4 ellê fy nomme
d o ü w in g -zh a a r (cHr), titre qui convenait én^ret àja
bizarre magnificence de son vêtement.
Il est assez élevé. Sa hauteur u’est pas tout-a-fait deux fojs^dans