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" ' Z /U pÉN'ÊÜS JAUNE.
( Upeneus lut eus, nob. )
M. Diissüi^îer vîçiit de rapporter degÏÏsÏ6-He-Fràp|^:W
upeneus voi&n du cyéiostonîe,
mais qui en diffère par'iés àrbuscules de la ligne latérale et par
quelques autres caractères. L’oeil de cette nouvelle espèce est un
peu moins petit que cçlui du cyclostome; le diamètre est dü sixième
de la longueur de la tete, Maquille est dû tiers4,de'la •‘l'ongifeür "du
côrps, sans y comprendre la caudale, tatidisTpife'l’deil mi cfclostome
est contenu sept fois dans là longueur" de -la; tftb. Le profil est' un
peu concave au-devantoes yeux.Les barbillons atteignent Ma nase
des ventrales. Les -écailles sont -finement striées^ Les lobes de la
caudale sont nloins longs....
D. 8*— iy8 5 A. 1/6-, etc. S*
Les couleurs décrites sur le frais par M. Dossumier étaient "du
jaune orangé sur le dos, et du jaune citron brillant sur les flancs
étle ventre. La première aorsâle est orangée, -les*autres nageoires
sont jaunes. Il y a trois lignes bleues sur la tête à la hauteur ,des
yeux, mais qui disparaissent après la mort du poisson.
L’individu a* sept pouces de longueur. <
Nous trouvons un dessin-fort exact de cette espèCéparmi
Ceux qfii nOuS%fit de MertifiÉCle
Savant naturaliste* dont la perte réçefite Vient d’affliger les
amis djss sciences. avait,peint ce poisson d’une belMc&u-
Jeur jaune .de gomme gutte clair et uniforme. Il n’indiqué
pas les raies bleues.
TOME III. trPÉNÉÜS. 393
X ’tJpÜÊimCrs’A GROSSES LIVRES.
- (■ Upeneus îâPàïssïldbri/ï msn. i | l
Un autre upénéu^ 'foisin du c f çlostomëy habité sur les
côfesdè la Nouvelle-Guinée',- doit’les gompagnoris^ du
capitaine d’Urvillel’ont ra?ppôrtéi j i
Il a l.e museap plus^çourt, le,, chanfrein plus^ bomBl, la tête plus
haute. L.e corps se yétréçit J ’arrière,,cje manière que la hauteur
de l,a;fltoûe .n’est pas moitié de,celle du corps, prise aux épaqles.
Les arbùseüles de la ligne latérale sont très-divisési Lesrdents sqnt
fortes .et coniques, surjine seule rangée-: il n’y eqa point au- ,palais,
Lçs lèvres,sqnt très-épaisses. Les barhilloq^ n’atteignqnt pas la base
des ventrales* L’épine de l’opercule est, f#te.. «
■ 1/6, êtes •*
La première dorsale est assez élevée jUi càudale'est pèh féu’rchüe;
les deux lobes sont largés et arrondis j les ventrales sont trèsr
grande^ ,
"Ce poisson paraît avoir été j'aune, avec des - ptiihts, ou d^Kgnes
peu marquées sur les cotés. -La.-première dorspej'ëst violette ; la
seconde n’a que la base ae cëtte couleur : la moitié supérieure lest
rajÿe de cinq à six raiès paralMês Ibhgitudînal^s, altêrnaweinfcnt
blanches et violettes. L’anale^ beaucoup -plus pâle,, à des points
violets et un plus grand nombrè de raiês efcJi'q'ùes. La caudale est5
plus foncée que la dorsale^et elle a des points blancs plus'km moins-
effacés. Les pectorales sont» j^Uhes, plus ou: moins olivâtres. Les-
ventrales ont les ,tretisj; ray ons. extgrn.es golpiréfi- en violet, et les.
internes jaunâtres. La membrane branchioslège et les barbillons sont
d’un brun violet plus ou moins foncé.
L’individu est longaeneufpouces.. $j|